Aquamarine @ 2017 L'Atalante | Illustration de couverture @ Killian Prévost
2151, côte nord de l’Australie. La mer joue un rôle prépondérant dans la vie des hommes, qui exploitent les fonds océaniques. Méfie-toi de l’eau ! Évite la mer ! Ne va jamais nager ! Telles sont les mises en garde que Saha Leeds, 16 ans, a entendues durant toute son enfance, car une étrange blessure héritée du temps où elle était bébé lui interdit toute activité sportive aquatique. Élevée, depuis son plus jeune âge, par sa tante sourde et muette après la mort de sa mère, elle ignore tout de son père. À Seahaven, zone régie par les règles néo-traditionalistes, sa particularité physique fait d’elle une marginale, car tout le monde nage, plonge ou fait de la voile, et quiconque ne peut participer à ces activités s’exclut d’entrée de jeu de la vie sociale. Saha a presque fini par accepter cette existence solitaire lorsque, poussée dans un bassin par des camarades de classe, elle manque se noyer. L’examen médical qui s’ensuit et l’amitié qu’elle noue avec le condisciple qui l’a sauvée après plus de quinze minutes d’immersion la conduisent à s’interroger sur sa nature. Bravant l’interdit, elle se risque en mer – et fait une découverte incroyable…
Fiche de lecture
Ce qu’il y a de bien avec les romans d’Andreas Eschbach, c’est que je ne suis jamais déçue, parce que c’est un auteur qui écrit bien et qui ne manque jamais d’imagination.
Cette histoire nous emmène dans un futur proche, soit en 2151, en Australie. Nous allons faire la connaissance de la jeune Saha Leeds, qui va se découvrir un don pour le moins particulier. En sa compagnie, nous allons plonger au fond des océans pour y faire une rencontre surprenante. De même, autour de problèmes liés au surpeuplement des continents, nous allons être embarqués dans une sombre aventure ayant trait à la génétique et au passé même de Saha. A ce stade, je ne vous en dirai pas plus pour ne point gâcher votre plaisir de lecture.
Les thèmes abordés dans cet ouvrage ne sont pas forcément mes sujets préférés, mais force m’est de constater qu’Andreas Eschbach s’y colle très bien, et n’adopte jamais un ton moralisateur, même si les questions qu’il soulève sont fondamentales et plus que jamais d'actualité. Son style agréable et rythmé, et son sens du mystère, font que la lectrice que je suis ne peut résister à l’appel de ses récits.
Bien que cet ouvrage soit destiné à de jeunes lecteurs, ce qui explique certaines facilités scénaristiques, je ne me suis pas ennuyée un seul instant. J’ai dévoré ce roman. Et quand il s’agit de dépeindre une scène, de décrire ce qu’est un livre « papier », ou de vous parler des sentiments humains, Andreas Eschbach est un virtuose !
En conclusion, ce n’est pas mon roman préféré d’Andreas Eschbach, mais c’est une lecture que je recommande chaleureusement à tous les jeunes lecteurs.
Cette histoire nous emmène dans un futur proche, soit en 2151, en Australie. Nous allons faire la connaissance de la jeune Saha Leeds, qui va se découvrir un don pour le moins particulier. En sa compagnie, nous allons plonger au fond des océans pour y faire une rencontre surprenante. De même, autour de problèmes liés au surpeuplement des continents, nous allons être embarqués dans une sombre aventure ayant trait à la génétique et au passé même de Saha. A ce stade, je ne vous en dirai pas plus pour ne point gâcher votre plaisir de lecture.
Les thèmes abordés dans cet ouvrage ne sont pas forcément mes sujets préférés, mais force m’est de constater qu’Andreas Eschbach s’y colle très bien, et n’adopte jamais un ton moralisateur, même si les questions qu’il soulève sont fondamentales et plus que jamais d'actualité. Son style agréable et rythmé, et son sens du mystère, font que la lectrice que je suis ne peut résister à l’appel de ses récits.
Bien que cet ouvrage soit destiné à de jeunes lecteurs, ce qui explique certaines facilités scénaristiques, je ne me suis pas ennuyée un seul instant. J’ai dévoré ce roman. Et quand il s’agit de dépeindre une scène, de décrire ce qu’est un livre « papier », ou de vous parler des sentiments humains, Andreas Eschbach est un virtuose !
En conclusion, ce n’est pas mon roman préféré d’Andreas Eschbach, mais c’est une lecture que je recommande chaleureusement à tous les jeunes lecteurs.