Le 24 octobre 2013, Astérix chez les Pictes débarque dans toutes les librairies du Monde Connu ! Les Pictes ? Oui, les Pictes ! Ces peuples de l'ancienne Ecosse, redoutables guerriers aux multiples clans, dont le nom, donné par les Romains, signifie littéralement « les hommes peints ». Astérix chez les Pictes, c'est donc, dans la meilleure tradition des aventures du plus célèbre des Gaulois, un voyage épique vers une contrée riche de traditions, et la découverte d'un peuple dont les différences culturelles se traduiront en gags et jeux de mots mémorables. Sur les forums de lecteurs, les paris sont ouverts et les discussions impatientes s'enchaînent... Du whisky ? Des lancers de troncs ? Des cornemuses ? Des noms en Mac ? Les origines du mur d'Hadrien et du monstre du Loch Ness enfin dévoilées ? Et même, qui sait, des Gaulois en kilts... Le suspense est entier !
Fiche de lecture
Il y a parfois des coïncidences étranges. Je suis né à peine un an avant le décès de Goscinny et donc aussi juste avant la sortie du dernier album conjoint. Et cet album, c'est justement « Astérix chez les Belges ». J'ai donc grandi avec, d'une part, les « classiques » du duo Goscinny-Uderzo et, d'autre part, les nouveautés dues au seul Uderzo. Autant dire que j'ai vite compris la différence...
J'étais donc comme bon nombre de lecteurs : j'attendais avec impatience qu'Uderzo passe la main, tout en redoutant un héritage foireux. Quand j'ai entendu le nom de Conrad cité pour la première fois, je l'avoue, j'étais sceptique. Je me trompais : cet Astérix est le meilleur depuis 40 ans !
Avec le duo Ferri-Conrad, c'est le retour aux fondamentaux. Les nouveaux auteurs comprennent bien l'univers d'Astérix, et ça se sent.
En premier lieu, il y a le dessin, on dirait du Uderzo au meilleur de sa forme, soit entre 1970 et 1985. C'est très fidèle et en même temps on sent une nouvelle patte agréable.
Ensuite, il y a l'histoire. Elle est bien construite, sans une tarabiscotée ou inutilement compliquée. En fait, elle est très classique : les héros sont entraînés dans une aventure à l'étranger, ce qui va les confronter à une culture bizarre.
Enfin, il y a l'humour. Enfin on retrouve le calembour bien fait, de l'anachronisme finaud, le comique de répétition savamment dosé, le cocasse de situation... J'ai franchement rit en lisant certains jeux de mots.
Je terminerai simplement par un énorme MERCI aux nouveaux auteurs. J'ai hâte de lire le prochain !
J'étais donc comme bon nombre de lecteurs : j'attendais avec impatience qu'Uderzo passe la main, tout en redoutant un héritage foireux. Quand j'ai entendu le nom de Conrad cité pour la première fois, je l'avoue, j'étais sceptique. Je me trompais : cet Astérix est le meilleur depuis 40 ans !
Avec le duo Ferri-Conrad, c'est le retour aux fondamentaux. Les nouveaux auteurs comprennent bien l'univers d'Astérix, et ça se sent.
En premier lieu, il y a le dessin, on dirait du Uderzo au meilleur de sa forme, soit entre 1970 et 1985. C'est très fidèle et en même temps on sent une nouvelle patte agréable.
Ensuite, il y a l'histoire. Elle est bien construite, sans une tarabiscotée ou inutilement compliquée. En fait, elle est très classique : les héros sont entraînés dans une aventure à l'étranger, ce qui va les confronter à une culture bizarre.
Enfin, il y a l'humour. Enfin on retrouve le calembour bien fait, de l'anachronisme finaud, le comique de répétition savamment dosé, le cocasse de situation... J'ai franchement rit en lisant certains jeux de mots.
Je terminerai simplement par un énorme MERCI aux nouveaux auteurs. J'ai hâte de lire le prochain !