Illustration et quatrième de couverture
Les Bâtisseurs du monde @ 1976 Fleuve Noir | Illustration de couverture @ René Brantonne
Voilà donc les hommes de Dieu, ou plutôt de Frahal, comme on dit ici ! A croire qu'aucune Evolution ne peut se faire sans religion...
Déjà les prêtres se sont ressaisis et ont dégainé leur épée en fonçant. Lou, le robot, lève son arc et, à la vitesse de l'électronique, décoche trois flèches. Trois soldats sont tombés. Cal le Terrien sort à son tour son épée...
C'est une lutte à mort contre le fanatisme qu'entreprend Cal le Terrien, aidé par sa garde prétorienne de Robots humanoïdes...
Brève de lecture
Cal vient de se réveiller. C’est HI qui en a pris la décision, elle-même motivée par les ordres de Cal. Il y a danger pour la population du continent I, celui de la race Vahussie. Un fléau vient de s’abattre sur sa civilisation. Elle a pour nom : religion, importée avec violence par les hommes de l’Ouest, les Porsages. Cal va user des immenses ressources laissées par les Loys pour contrer cette calamité, mais il y aura un prix à payer.
Un peu déçu, bien que l’écriture soit parfaite dans cette nouvelle aventure de Cal, où tout lui réussi, même si la fin lui est douloureuse. J’ai préféré d’autres ouvrages de P.-J. Hérault.
Déjà les prêtres se sont ressaisis et ont dégainé leur épée en fonçant. Lou, le robot, lève son arc et, à la vitesse de l'électronique, décoche trois flèches. Trois soldats sont tombés. Cal le Terrien sort à son tour son épée...
C'est une lutte à mort contre le fanatisme qu'entreprend Cal le Terrien, aidé par sa garde prétorienne de Robots humanoïdes...
Brève de lecture
Cal vient de se réveiller. C’est HI qui en a pris la décision, elle-même motivée par les ordres de Cal. Il y a danger pour la population du continent I, celui de la race Vahussie. Un fléau vient de s’abattre sur sa civilisation. Elle a pour nom : religion, importée avec violence par les hommes de l’Ouest, les Porsages. Cal va user des immenses ressources laissées par les Loys pour contrer cette calamité, mais il y aura un prix à payer.
Un peu déçu, bien que l’écriture soit parfaite dans cette nouvelle aventure de Cal, où tout lui réussi, même si la fin lui est douloureuse. J’ai préféré d’autres ouvrages de P.-J. Hérault.