D'un bout à l'autre de l'univers, les vaillants gardes-pêche de l'Unité livrent une guerre sans merci aux braconniers pilleurs d'océans. Xhan était l'un des meilleurs. Mais le voici mis d'office à la retraite, et sa vie perd tout son sens. Un jour, pourtant, un inconnu lui parle d'un poisson non répertorié, d'une taille dépassant toutes les créatures connues ou même, imaginables, vivant sur une planète sauvage qui ne figure sur aucune carte : Canisse. Xhan ressent un appel mystérieux vers cet animal que personne - ou presque - n'a jamais approché. Il part aussitôt à sa recherche. Mais gare : les braconniers eux aussi sont en chasse.
Point de vue de l'éditeur
Pour sa première incursion dans la science-fiction, Olivier Bleys livre avec Canisse un planet opera riche en aventures et en dépaysement. Un roman qui évoque les meilleurs textes de Jack Vance.
Fiche de lecture
Depuis des temps reculés, les gardes-pêche de l’Unité parcourent l’espace en pourchassant les braconniers. Xhan était le meilleur des gardes-pêches. Mais à présent pour lui sonne l’heure de la retraite. Et bientôt sa dernière heure sonnera aussi: il est en effet atteint d’une tumeur au foie. Mais il apprend l’existence du plus grand poisson de tout l’univers: le mégathalos. Un spécimen qui ne vit que dans les profondeurs de l’étrange, lointaine, et dangereuse planète Canisse. Avec l’aide du mystérieux Moox, il s’engage dans une expédition pour voir ce spécimen incroyable avant de mourir.... mais il ignore que derrière cet animal extraordinaire, sorte de Leviathan du futur, se cachent de biens mystérieux secrets, jalousement gardés par les Canissiens, natifs de la planète....
Un roman qui se lit très bien (un peu trop court cependant). Olivier Bleys nous offre ici un morceau d’originalité qui mélange astucieusement roman d’aventure et planet opéra, une sorte de croisement entre Avatar, Moby Dick et...Le Meilleur des Mondes!
La faune et les coutumes qu'il à créés sont très originales et un petit corpus de textes en fin d'ouvrage permet d'approfondir un peu l'univers.... mais pas assez à mon goût.
A s’offrir ou à offrir!
La faune et les coutumes qu'il à créés sont très originales et un petit corpus de textes en fin d'ouvrage permet d'approfondir un peu l'univers.... mais pas assez à mon goût.
A s’offrir ou à offrir!