Affiche et synopsis
New York dans les années 30. Alors que des scientifiques renommés commencent à disparaître et que Manhattan est attaqué par des machines volantes et de gigantesques robots, le reporter Polly Perkins décide d'enquêter. Elle est aidée par l'héroïque pilote capitaine Sky. Ils découvrent que la personne qui est derrière ce complot est le Dr. Totenkopf. Son but est la destruction du monde...
Présentation
En 1939, le zeppelin Hindenburg III arrive à New York. A son bord, le Docteur Jorge Vargas, terrorisé, demande à un membre de l’équipage de remettre un petit colis contenant deux fioles à son collègue le Docteur Walter Jennings.
Peu après, on apprend la disparition de Vargas. Polly Perkins, une journaliste qui n’a pas froid aux yeux, rencontre Jennings. Ce dernier l’informe que c’est un certain Totenkopf (Tête de Mort) qui est derrière tout cela. Ce dernier dirigeait une équipe sur un mystérieux projet en Allemagne en 1918. Jennings est le seul de cette équipe à n’avoir pas encore disparu.
C’est alors que la ville est attaquée par de gigantesques robots, que rien ne semble arrêter. En désespoir de cause, les autorités font appel à l’escadrille privée de Jo Sullivan, mieux connu sur le nom de Capitaine Sky, qui parvient à stopper l’attaque et à sauver Polly d’une mort certaine. Disposant d’informations livrées par Jennings, Polly force le Capitaine (son ex-petit ami, par ailleurs) à l’embarquer avec lui pour la suite de l’enquête.
Alors que Jennings a disparu à son tour, la base du Capitaine Sky est attaquée également, cette fois par des « oiseaux mécaniques ». Le bras droit du Capitaine, Dex, est enlevé pendant l’attaque, mais il parvient à lui laisser une information vitale, qui va mener les deux héros, dans un premier temps, dans l’Himalaya, afin de découvrir les plans du mystérieux Totenkopf...
Peu après, on apprend la disparition de Vargas. Polly Perkins, une journaliste qui n’a pas froid aux yeux, rencontre Jennings. Ce dernier l’informe que c’est un certain Totenkopf (Tête de Mort) qui est derrière tout cela. Ce dernier dirigeait une équipe sur un mystérieux projet en Allemagne en 1918. Jennings est le seul de cette équipe à n’avoir pas encore disparu.
C’est alors que la ville est attaquée par de gigantesques robots, que rien ne semble arrêter. En désespoir de cause, les autorités font appel à l’escadrille privée de Jo Sullivan, mieux connu sur le nom de Capitaine Sky, qui parvient à stopper l’attaque et à sauver Polly d’une mort certaine. Disposant d’informations livrées par Jennings, Polly force le Capitaine (son ex-petit ami, par ailleurs) à l’embarquer avec lui pour la suite de l’enquête.
Alors que Jennings a disparu à son tour, la base du Capitaine Sky est attaquée également, cette fois par des « oiseaux mécaniques ». Le bras droit du Capitaine, Dex, est enlevé pendant l’attaque, mais il parvient à lui laisser une information vitale, qui va mener les deux héros, dans un premier temps, dans l’Himalaya, afin de découvrir les plans du mystérieux Totenkopf...
Tourné en 2004, « Capitaine Sky et le Monde de Demain », film américano-italo-britannique (!), est une uchronie : il est situé en 1939 dans une période où l'on ne se prépare pas à une nouvelle Guerre Mondiale. Il a la particularité d’avoir été entièrement filmé en studio, les acteurs évoluant sur un fond bleu : tous les décors sont des images de synthèse.
Les créateurs réussirent à compléter le tournage avec les acteurs en 26 jours – un vrai exploit-, mais c’est ensuite que le vrai travail commença, à savoir les images de synthèse dans lesquelles les acteurs furent ajoutés ensuite.
Parmi les acteurs présents, on fit appel à une légende du cinéma : Laurence Olivier. Particularités : Sir Olivier était décédé depuis de nombreuses années au moment du tournage ! En réalité, on utilisa des images d’archives pour l’insérer, dans le rôle du mystérieux Totenkopf. On voit aussi la brève apparition de Michael Gambon (Dumbeldore, dans les derniers « Harry Potter »).
Le style et le look rappellera plus le style des « pulp magazines » de la première moitié du siècle dernier ou le cultissime « Métropolis » que les films contemporains, mais c’était un peu le but recherché par ses créateurs, qui passèrent deux ans à rédiger le scénario.
Les critiques furent largement positives face à cette œuvre, mais le public ne fut pas de cet avis. Avec un budget de 70.000.000 USD (somme toute modeste comparé à ce qu’on fait désormais), il en rapporta moins de 60 millions … Le choc fut rude, à tel point que Kerry Conran, son réalisateur n’a plus dirigé de film depuis lors. Dommage, car le film ne manque pas de charme...
Les créateurs réussirent à compléter le tournage avec les acteurs en 26 jours – un vrai exploit-, mais c’est ensuite que le vrai travail commença, à savoir les images de synthèse dans lesquelles les acteurs furent ajoutés ensuite.
Parmi les acteurs présents, on fit appel à une légende du cinéma : Laurence Olivier. Particularités : Sir Olivier était décédé depuis de nombreuses années au moment du tournage ! En réalité, on utilisa des images d’archives pour l’insérer, dans le rôle du mystérieux Totenkopf. On voit aussi la brève apparition de Michael Gambon (Dumbeldore, dans les derniers « Harry Potter »).
Le style et le look rappellera plus le style des « pulp magazines » de la première moitié du siècle dernier ou le cultissime « Métropolis » que les films contemporains, mais c’était un peu le but recherché par ses créateurs, qui passèrent deux ans à rédiger le scénario.
Les critiques furent largement positives face à cette œuvre, mais le public ne fut pas de cet avis. Avec un budget de 70.000.000 USD (somme toute modeste comparé à ce qu’on fait désormais), il en rapporta moins de 60 millions … Le choc fut rude, à tel point que Kerry Conran, son réalisateur n’a plus dirigé de film depuis lors. Dommage, car le film ne manque pas de charme...