« La vie d’écrivain est parfois bien cruelle. Vous baissez le nez à peine quelques minutes pour cramponner papier et stylo et noter une idée géniale avant qu’elle ne s’envole. Quand vous relevez la tête, votre femme et vos enfants vous ont quitté. Et la voiture est bonne pour la casse. »
Une bonne nouvelle n’arrive jamais seule. Une micronouvelle non plus. Et lorsque ce n’est pas une, ni deux ni trois, mais cent micronouvelles qui tombent en pluie fine sur le papier, caustiques, comiques ou corrosives, inutile de courir se mettre à l’abri, nul ne passera entre les gouttes.
Une bonne nouvelle n’arrive jamais seule. Une micronouvelle non plus. Et lorsque ce n’est pas une, ni deux ni trois, mais cent micronouvelles qui tombent en pluie fine sur le papier, caustiques, comiques ou corrosives, inutile de courir se mettre à l’abri, nul ne passera entre les gouttes.
Fiche de lecture
100 micronouvelles.
100 histoires qui cisèlent tour à tour notre humanité et notre inhumanité.
100 textes allant de la demi-page à 3 ou 4 pages pour les plus grandes.
Frédéric Gaillard, barbu parfois échevelé, a, par quelque étrange miracle dans notre folle société, gardé sa verve et ses yeux pétillants. Il nous livre ici ses « brèves », y alternant ou y mêlant poésie, causticité, émotions, calembours, allitérations, coups de bistouri, drames, espoirs, vengeances, jeux de mots, bêtise humaine, travers d’époque, caricatures, éclats de rire, historique, doubles sens…
Et j’arrête là, bien que l’envie de mettre 100 qualificatifs me démange horriblement. À la place, j’ajouterai simplement que chaque page s’accompagne de la tache laissée par l’une de ces gouttes d’acide, tombée chaque fois en bonne place.
Un petit plaisir que nous offre l’auteur et lisseur de plume qui trempe celle-ci dans le français et la verdeur pour nous offrir ce qu’il a observé de notre époque, de nos travers et de nos qualités. Un opuscule pour se changer les idées et profiter de quelques phrases pour rire, sourire, se sentir peiné ou perdu, tout en réfléchissant à ce qu’il a caché derrière ces mots.
100 histoires qui cisèlent tour à tour notre humanité et notre inhumanité.
100 textes allant de la demi-page à 3 ou 4 pages pour les plus grandes.
Frédéric Gaillard, barbu parfois échevelé, a, par quelque étrange miracle dans notre folle société, gardé sa verve et ses yeux pétillants. Il nous livre ici ses « brèves », y alternant ou y mêlant poésie, causticité, émotions, calembours, allitérations, coups de bistouri, drames, espoirs, vengeances, jeux de mots, bêtise humaine, travers d’époque, caricatures, éclats de rire, historique, doubles sens…
Et j’arrête là, bien que l’envie de mettre 100 qualificatifs me démange horriblement. À la place, j’ajouterai simplement que chaque page s’accompagne de la tache laissée par l’une de ces gouttes d’acide, tombée chaque fois en bonne place.
Un petit plaisir que nous offre l’auteur et lisseur de plume qui trempe celle-ci dans le français et la verdeur pour nous offrir ce qu’il a observé de notre époque, de nos travers et de nos qualités. Un opuscule pour se changer les idées et profiter de quelques phrases pour rire, sourire, se sentir peiné ou perdu, tout en réfléchissant à ce qu’il a caché derrière ces mots.
