Contes de pirates, format numérique @ Bibebook
"Quand le traité d'Utrecht eut mis fin aux longues guerres de la succession d'Espagne, les nombreux corsaires qui avaient été utilisés par les nations en lutte se trouvèrent sans emploi. Certains prirent goût aux habitudes paisibles, mais moins lucratives, du commerce ordinaire. D'autres furent absorbés par les flottes de pêche. Quelques téméraires hissèrent le pavillon noir à la misaine et le drapeau rouge au grand mât ; pour leur propre compte ils déclaraient la guerre à toute l'humanité."
(Arthur Conan Doyle)
(Arthur Conan Doyle)
Fiche de lecture
Voici un recueil composé de cinq contes de pirates écrits par Sir Arthur Conan Doyle entre 1897 et 1918. Cet ouvrage est du domaine public et, de ce fait, il peut être téléchargé gratuitement au format numérique.
Les contes :
Le Gouverneur de Saint Kitts
Titre original : Captain Sharkey : How the Governor of Saint Kitt's came Home (1897)
Résumé : Sir Charles Ewan doit faire pendre le pirate Sharkey, avant d’embarquer sur le bateau du capitaine Scarrow…
Les contes :
Le Gouverneur de Saint Kitts
Titre original : Captain Sharkey : How the Governor of Saint Kitt's came Home (1897)
Résumé : Sir Charles Ewan doit faire pendre le pirate Sharkey, avant d’embarquer sur le bateau du capitaine Scarrow…
Les Rapports du Capitaine Sharkey avec Stephen Craddock
Titre original : The Dealing of Captain Sharkey with Stephen Craddock (1897)
Résumé : Son navire étant en cale sèche, Sharkey en profite pour prendre un canot et aller à la chasse au boeuf sauvage sur une île. Stephen Craddock utilise le White-Rose pour tenter de le capturer…
La Flétrissure de Sharkey
Titre original : The Blighting of Sharkey (1911)
Résumé : Sharkey s'empare du Portobello, prend la cargaison et tue tous les hommes sauf une jeune fille qui était enfermée dans une cabine…
Résumé : Sharkey s'empare du Portobello, prend la cargaison et tue tous les hommes sauf une jeune fille qui était enfermée dans une cabine…
Comment Copley Banks extermina le Capitaine Sharkey
Titre original : How Copley Banks slew Captain Sharkey (1897)
Résumé : Copley Banks veut se venger de Sharkey car il a tué sa femme et ses deux fils. Pour ce faire, il se fait ami avec le pirate et le fait boire…
"La Claquante"
Résumé : Copley Banks veut se venger de Sharkey car il a tué sa femme et ses deux fils. Pour ce faire, il se fait ami avec le pirate et le fait boire…
"La Claquante"
Titre original : "The Slapping Sail" (1893)
Résumé : Bataille d'honneur entre la Leda et La Claquante.
Résumé : Bataille d'honneur entre la Leda et La Claquante.
Un Pirate de la Terre
Titre original : A Pirate of the Land (1918)
Résumé : Sir Henry, magistrat, est à bord de sa voiture et une nuit, il se fait voleur dans un but bien précis…
Résumé : Sir Henry, magistrat, est à bord de sa voiture et une nuit, il se fait voleur dans un but bien précis…
Contes de pirates suivi de Contes de terreur, format papier @ 2017 PRNG éditions
Je suis une amatrice des textes de Sir Conan Doyle, et pas seulement de ceux narrant les enquêtes du célèbre détective du 221B Baker Street. J'ai eu le plaisir de lire d'autres histoires que j'ai beaucoup appréciées, d'un genre tout différent, relevant de l'Imaginaire. Des aventures telles que Le Monde perdu, Le Monde perdu sous la Mer, La Machine à désintégrer ou Quand la Terre hurla. Alors, quand par hasard je suis tombée sur ce recueil ayant pour thème des contes de pirates, je n'ai pas pu résister à l'appel de la mer.
Je dirais de ces cinq histoires qu’elles ont pour fil conducteur une expression bien connue : « Tel est pris qui croyait prendre ».
Les trois premières mettent en scène divers protagonistes qui, volontairement ou accidentellement, vont être amenés à croiser la route du commandant du Happy Delivery, le terrible pirate Sharkey. Ce dernier est une infâme crevure qui ne fait pas de quartier. Le quatrième récit se passe en mer et narre une bataille entre deux galions, mais à la sauce britannique, c’est-à-dire avec toutes les bonnes manières et le royalisme dont les Anglais ont le secret. Pour finir, le dernier texte met le lecteur en présence d’un bandit de grand chemin moderne, qui conduit son véhicule à la manière d’un bateau pirate et charge pour couper la route des belles automobiles qu’il veut arraisonner, en les obligeant à s’arrêter.
En peu de lignes et avec des mots bien choisis, Sir Conan Doyle pose ses décors et crée des ambiances dont on s’imprègne aisément. De même, il sait rendre ses personnages charismatiques. Les trois premières histoires sont mes préférées ; les deux autres sont sympas, mais sans la présence du terrible Sharkey, c’est moins… corsé.
Les chutes des récits sont succulentes, même si certaines sont parfois prévisibles. À ce sujet, dans la présentation des contes que vous pouvez lire ci-dessus, j’ai volontairement remanié les résumés de l’éditeur, car ils révélaient trop d’éléments. Si je peux me permettre une suggestion, si vous souhaitez lire cet ouvrage, ne consultez pas la quatrième de couverture au préalable.
En conclusion, j’ai passé un très bon moment de lecture. Ces histoires de banditisme et de fourberies sont intemporelles et savoureuses. Je vous les recommande chaleureusement, paroles de pirate !
Je dirais de ces cinq histoires qu’elles ont pour fil conducteur une expression bien connue : « Tel est pris qui croyait prendre ».
Les trois premières mettent en scène divers protagonistes qui, volontairement ou accidentellement, vont être amenés à croiser la route du commandant du Happy Delivery, le terrible pirate Sharkey. Ce dernier est une infâme crevure qui ne fait pas de quartier. Le quatrième récit se passe en mer et narre une bataille entre deux galions, mais à la sauce britannique, c’est-à-dire avec toutes les bonnes manières et le royalisme dont les Anglais ont le secret. Pour finir, le dernier texte met le lecteur en présence d’un bandit de grand chemin moderne, qui conduit son véhicule à la manière d’un bateau pirate et charge pour couper la route des belles automobiles qu’il veut arraisonner, en les obligeant à s’arrêter.
En peu de lignes et avec des mots bien choisis, Sir Conan Doyle pose ses décors et crée des ambiances dont on s’imprègne aisément. De même, il sait rendre ses personnages charismatiques. Les trois premières histoires sont mes préférées ; les deux autres sont sympas, mais sans la présence du terrible Sharkey, c’est moins… corsé.
Les chutes des récits sont succulentes, même si certaines sont parfois prévisibles. À ce sujet, dans la présentation des contes que vous pouvez lire ci-dessus, j’ai volontairement remanié les résumés de l’éditeur, car ils révélaient trop d’éléments. Si je peux me permettre une suggestion, si vous souhaitez lire cet ouvrage, ne consultez pas la quatrième de couverture au préalable.
En conclusion, j’ai passé un très bon moment de lecture. Ces histoires de banditisme et de fourberies sont intemporelles et savoureuses. Je vous les recommande chaleureusement, paroles de pirate !
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