Darwinia @ Folio SF | Illustration de couverture @ Sparth
Illustration et quatrième de couverture
Mars 1912, l'Europe et une partie de l'Angleterre disparaissent subitement, remplacées par un continent à la faune et à la flore non terrestres que l'on ne tarde pas à nommer la Darwinie. Pour le jeune Guilford Law, cette tragédie n'a rien d'un miracle ou d'une punition divine ; plutôt une énigme que la science pourra un jour résoudre. Fort de cette certitude, il va tout sacrifier pour faire partie de la première grande expédition d'exploration destinée à s'enfoncer au cœur du continent inconnu ; une expédition qui, de mort violente en mort violente, le mènera plus loin qu'il ne pouvait l'imaginer...
Fiche de lecture
L'histoire commence en mars 1912. Un soir, d'étranges phénomènes atmosphériques intriguent le monde entier. Le lendemain, le mystère s'épaissit : l'Europe a disparu. Ou plutôt, c'est l'Europe telle qu'on la connaissait qui a disparu. A sa place se trouve un continent qui est l'Europe mais où la faune et la flore ne correspondent à rien de connu et où toute trace de l'homme a disparu.
L'auteur des Chronolithes arrive ici à mêler uchronie et anticipation dans une œuvre à la portée quasi métaphysique.
Ce livre va plus loin que "Chronolithes" au niveau métaphysique. Trop loin ? Ca dépend des goûts. Personnellement, j'aime les ouvrages où les auteurs osent se mouiller, donc j'ai aimé "Darwinia".
L'intrigue est très mystérieuse, et un peu lente à se mettre en place. Pendant la première moitié du livre, on a l'impression d'un roman d'exploration, mais cette impression change quand on aborde la dernière partie. Juste un petit bémol : avec un tel thème l'auteur aurait pu bâtir tout un cycle. On reste donc un peu sur notre faim. En tant que paléontologue, j'aurais apprécié plus de détails sur les espèces "intruses".
L'auteur des Chronolithes arrive ici à mêler uchronie et anticipation dans une œuvre à la portée quasi métaphysique.
Ce livre va plus loin que "Chronolithes" au niveau métaphysique. Trop loin ? Ca dépend des goûts. Personnellement, j'aime les ouvrages où les auteurs osent se mouiller, donc j'ai aimé "Darwinia".
L'intrigue est très mystérieuse, et un peu lente à se mettre en place. Pendant la première moitié du livre, on a l'impression d'un roman d'exploration, mais cette impression change quand on aborde la dernière partie. Juste un petit bémol : avec un tel thème l'auteur aurait pu bâtir tout un cycle. On reste donc un peu sur notre faim. En tant que paléontologue, j'aurais apprécié plus de détails sur les espèces "intruses".