L’épisode débute par la vue, en orbite, d’une planète entièrement couverte de nuages. L’image recule et nous découvrons le pont d’un croiseur de luxe en train de descendre à pleine vitesse dans la haute atmosphère de la planète. Le pilote informe son capitaine que les conditions à la surface ne leur permettront pas de se poser et qu’ils ne tiendront pas plus d’une heure avant de s’écraser.
Soudain apparaît Amy Pond, à bord pour son voyage de noce. La capitaine du vaisseau lui demande pourquoi elle est habillée de la sorte (le costume « kissogramme-policière » vu dans le premier épisode de la saison dernière), ce qui la met un peu dans l’embarras (on se doute qu’elle et Rory ont été interrompus, dans la suite nuptiale, en plein dans un jeu « privé », d’autant que Rory, lui, a revêtu son costume de légionnaire romain !). Mais le temps presse : Amy appelle de l’aide en catastrophe. Apparaît alors la célèbre cabine bleue et un message de la part du Docteur.
Sur la planète, on découvre une immense bâtisse surplombée d’un mât énergétique, qui génère l’énorme couverture nuageuse de la planète. A l’intérieur, une famille supplie le maître des lieux de permettre à Abigail, une de leurs parentes enfermée dans une capsule cryogénique (comme gage d’une dette à rembourser), d’être réveillée au moins pour le réveillon de Noël. Mais leur hôte, Kazran Sardick, refuse, en argumentant que Noël est une ineptie, dont il ne faut rien espérer.
Arrive le Docteur – par la cheminée ! – qui tente de le convaincre de sauver les 4.000 passagers du vaisseau grâce au mât énergétique, mais il n’a pas plus de succès. Le Seigneur du Temps essaie de passer outre un premier refus en voulant manœuvrer lui-même le mât énergétique, mais les contrôles ne répondent qu’à l’empreinte biologique de son propriétaire, et le Docteur fait donc chou blanc (ce qui est un peu un contresens, vu qu’il est tout noir suite à la suie de la cheminée !). Kazran, comme son père, est un être aigri qui ne voit les habitants de sa planète que comme du bétail et les passagers sont sans valeur pour lui.
Alors que les domestiques font sortir la famille d’Abigail, le plus jeune d’entre eux jette une pierre à la tête de Kazran, qui se lève brutalement et se dirige vers l’enfant. Alors qu’il est sur le point de le frapper, il s’arrête à la dernière seconde, figé comme par une énorme douleur. Ce fait n’échappe pas au Docteur, qui, après une rapide analyse des lieux, comprend que Kazran a vécu sous la coupe d’un père écrasant (au point de tourner toutes les chaises, y compris son fauteuil, le dos tourné vers le portrait paternel, pour ne pas subir son regard) et qu’il ne fait que répéter la même chose aujourd’hui. En quittant la pièce, le Docteur constate que Kazran n’est pas comme son père, car, lui, n’a pas frappé l’enfant : il a déjà fait la moitié du chemin pour « sortir de l’obscurité ». Comme bien souvent, c’est dans l’enfance qu’on peut trouver les origines de nos peurs, angoisses et douleurs. Nous ne pouvons pas revenir en arrière pour changer cela : il faut apprendre à vivre avec ce passé et tenter de le dépasser. Mais quand on possède un Tardis, rien n’est impossible !
Le Docteur informe Amy qu’il n’a pas encore résolu le problème, mais qu’il existe bel et bien une possibilité de dégager le ciel et leur permettre d’atterrir en douceur (« Bonne nouvelle ! », répond Amy), mais qu’il ne peut contrôler la machine (ce qui ennuie sérieusement Mrs. Pond !), mais qu’il connaît un homme qui peut le faire (ouf !) … et que ce dernier déteste le Docteur (raaah !!). Là, le père de la famille d’Abigail le félicite d’avoir tenu tête à Kazran, ce que personne n’ose faire, mais qu’il ferait mieux de rentrer en raison des poissons : « Quand Monsieur Sardick est de mauvaise humeur, il les laisse toujours descendre vers la surface. » Alors que son amie s’inquiète qu’il soit distrait dans son travail, le Docteur comprend alors que les poissons de cette planète peuvent littéralement « nager » dans le brouillard. Mais pourquoi les gens seraient-ils effrayés par de mignons petits poissons ?
Alors qu’Amy s’inquiète de plus en plus, le Seigneur du Temps vient d’avoir une idée…
Kazran, qui s’est assoupi dans son fauteuil, réalise soudain qu’une projection est diffusée sur le mur en face de lui : c’est lui-même enfant, qui vient d’être frappé par son père alors qu’il avait voulu tenter une expérience pour attirer des poissons « nageant dans l’air », tout émerveillé qu’il est de les voir ainsi flotter. Pour son père, les poissons sont dangereux ! Le Docteur réapparaît dans le présent en se décrivant comme le fantôme des Noël passés et évoque l’image sur l’écran. Kazran se souvient encore de ce qui s’est produit ce soir-là : il a pleuré toute la nuit et il en a retenu une leçon essentielle, celle que « personne ne vient ». Kazran lui crie de sortir de sa maison, ce que le Docteur accepte de faire, mais il ajoute qu’il va revenir. Ce qu’il fait, le quittant pour réapparaître soudain dans l’image projetée du passé ! Au jeune Karan, le Docteur annonce qu’il est son nouveau baby-sitter, car son ancienne baby-sitter a gagné à la loterie « Mais il n’y a pas de loterie ! », déclarent les 2 Kazran, de chaque côté de l’image.
Soudain apparaît Amy Pond, à bord pour son voyage de noce. La capitaine du vaisseau lui demande pourquoi elle est habillée de la sorte (le costume « kissogramme-policière » vu dans le premier épisode de la saison dernière), ce qui la met un peu dans l’embarras (on se doute qu’elle et Rory ont été interrompus, dans la suite nuptiale, en plein dans un jeu « privé », d’autant que Rory, lui, a revêtu son costume de légionnaire romain !). Mais le temps presse : Amy appelle de l’aide en catastrophe. Apparaît alors la célèbre cabine bleue et un message de la part du Docteur.
Sur la planète, on découvre une immense bâtisse surplombée d’un mât énergétique, qui génère l’énorme couverture nuageuse de la planète. A l’intérieur, une famille supplie le maître des lieux de permettre à Abigail, une de leurs parentes enfermée dans une capsule cryogénique (comme gage d’une dette à rembourser), d’être réveillée au moins pour le réveillon de Noël. Mais leur hôte, Kazran Sardick, refuse, en argumentant que Noël est une ineptie, dont il ne faut rien espérer.
Arrive le Docteur – par la cheminée ! – qui tente de le convaincre de sauver les 4.000 passagers du vaisseau grâce au mât énergétique, mais il n’a pas plus de succès. Le Seigneur du Temps essaie de passer outre un premier refus en voulant manœuvrer lui-même le mât énergétique, mais les contrôles ne répondent qu’à l’empreinte biologique de son propriétaire, et le Docteur fait donc chou blanc (ce qui est un peu un contresens, vu qu’il est tout noir suite à la suie de la cheminée !). Kazran, comme son père, est un être aigri qui ne voit les habitants de sa planète que comme du bétail et les passagers sont sans valeur pour lui.
Alors que les domestiques font sortir la famille d’Abigail, le plus jeune d’entre eux jette une pierre à la tête de Kazran, qui se lève brutalement et se dirige vers l’enfant. Alors qu’il est sur le point de le frapper, il s’arrête à la dernière seconde, figé comme par une énorme douleur. Ce fait n’échappe pas au Docteur, qui, après une rapide analyse des lieux, comprend que Kazran a vécu sous la coupe d’un père écrasant (au point de tourner toutes les chaises, y compris son fauteuil, le dos tourné vers le portrait paternel, pour ne pas subir son regard) et qu’il ne fait que répéter la même chose aujourd’hui. En quittant la pièce, le Docteur constate que Kazran n’est pas comme son père, car, lui, n’a pas frappé l’enfant : il a déjà fait la moitié du chemin pour « sortir de l’obscurité ». Comme bien souvent, c’est dans l’enfance qu’on peut trouver les origines de nos peurs, angoisses et douleurs. Nous ne pouvons pas revenir en arrière pour changer cela : il faut apprendre à vivre avec ce passé et tenter de le dépasser. Mais quand on possède un Tardis, rien n’est impossible !
Le Docteur informe Amy qu’il n’a pas encore résolu le problème, mais qu’il existe bel et bien une possibilité de dégager le ciel et leur permettre d’atterrir en douceur (« Bonne nouvelle ! », répond Amy), mais qu’il ne peut contrôler la machine (ce qui ennuie sérieusement Mrs. Pond !), mais qu’il connaît un homme qui peut le faire (ouf !) … et que ce dernier déteste le Docteur (raaah !!). Là, le père de la famille d’Abigail le félicite d’avoir tenu tête à Kazran, ce que personne n’ose faire, mais qu’il ferait mieux de rentrer en raison des poissons : « Quand Monsieur Sardick est de mauvaise humeur, il les laisse toujours descendre vers la surface. » Alors que son amie s’inquiète qu’il soit distrait dans son travail, le Docteur comprend alors que les poissons de cette planète peuvent littéralement « nager » dans le brouillard. Mais pourquoi les gens seraient-ils effrayés par de mignons petits poissons ?
Alors qu’Amy s’inquiète de plus en plus, le Seigneur du Temps vient d’avoir une idée…
Kazran, qui s’est assoupi dans son fauteuil, réalise soudain qu’une projection est diffusée sur le mur en face de lui : c’est lui-même enfant, qui vient d’être frappé par son père alors qu’il avait voulu tenter une expérience pour attirer des poissons « nageant dans l’air », tout émerveillé qu’il est de les voir ainsi flotter. Pour son père, les poissons sont dangereux ! Le Docteur réapparaît dans le présent en se décrivant comme le fantôme des Noël passés et évoque l’image sur l’écran. Kazran se souvient encore de ce qui s’est produit ce soir-là : il a pleuré toute la nuit et il en a retenu une leçon essentielle, celle que « personne ne vient ». Kazran lui crie de sortir de sa maison, ce que le Docteur accepte de faire, mais il ajoute qu’il va revenir. Ce qu’il fait, le quittant pour réapparaître soudain dans l’image projetée du passé ! Au jeune Karan, le Docteur annonce qu’il est son nouveau baby-sitter, car son ancienne baby-sitter a gagné à la loterie « Mais il n’y a pas de loterie ! », déclarent les 2 Kazran, de chaque côté de l’image.
Le Docteur annonce que l’histoire va changer, donc que les souvenirs du vieux Kazran vont changer. Ce dernier s’exclame que tout ceci ne s’est jamais produit … ou cela est-il vraiment arrivé ? Le vieux Kazran devient alors spectateur de ce qui arrive au Docteur et à lui-même encore enfant. Pour prouver qu’il est bien un baby-sitter, le Docteur montre son papier spécial au jeune Kazran, qui montre ce que l’on veut que les autres voient. Mais l’enfant n’y voit que des lignes ondulées. Le Docteur concède qu’il n’est pas vraiment un baby-sitter, mais qu’il est celui qu’il lui faut en ce réveillon de Noël. Et heureusement que l’enfant n’a pas vu « Mary Poppins », parce qu’il n’y a pas de comparaison entre elle et le Docteur !
Le jeune Kazran explique que son père met au point une machine (le fameux mât énergétique) qui contrôlera l’atmosphère et les poissons ne pourront descendre au niveau du sol uniquement que s’il le leur permet. Le Docteur propose alors au jeune Kazran de voir un poisson – et ce n’est pas dangereux, contrairement à ce que dit son père.
Utilisant son tournevis sonique pour attirer un poisson, le Docteur demande pourquoi le gamin s’intéresse tant aux poissons : « Parce qu’ils font peur. », répond l’enfant. « Bonne réponse », réplique le Docteur. (En fait, lors d’une visite en montagne, un filet protecteur avait lâché, et l’enfant n’avait jamais vu autant de poissons s’infiltrer que cette fois-là.) Le vieux Kazran murmure qu’il se souvient de ce qui s’est passé (avec le Docteur essayant d’attirer un poisson) et que, non, le Docteur ne doit pas sortir du placard.
Ce dernier part alors voir si la technique utilisée a réussi à attirer un poisson. Mais le père de Kazran avait raison : sous les yeux terrifiés du vieux Kazran, l’expérience du Docteur avec le petit poisson attire rien de moins qu’un requin, qui les attaque tous les deux. « Quelle couleur le poisson a-t-il ? », demande l’enfant. « Une grande couleur », répond le Seigneur du Temps avant de rejoindre Kazran dans le placard.
L’animal a avalé le tournevis sonique du Docteur et se blesse au point de ne pouvoir retourner nager dans les nuages. Il parvient à récupérer une partie de son tournevis, le reste se trouvant toujours dans l’estomac de l’animal mais celui-ci a quelques ratés après cette expérience ! Le Docteur constate que le requin, une femelle, ne peut survivre très longtemps sans retourner en altitude, et qu’il ne survivra pas au transport. Mais il y a une solution : il peut être ramené dans les nuages en toute sécurité s’il est transporté dans un système de survie.
Le jeune Kazran suggère alors d’utiliser une capsule de cryogénisation. Ils se rendent donc dans la salle de congélation cryogénique de son père, qui conserve les nombreuses personnes laissées en garantie pour les prêts octroyés. Après un bref retour dans le présent pour obtenir le code d’accès, ils se préparent à libérer Abigail (que le jeune Kazran aime bien car elle est, elle aussi, fascinée par les poissons).
Mais le Docteur remarque que la moitié de son tournevis réagit comme si l‘autre moitié se rapproche d’eux : le requin revient à la charge ! Alors qu’il cherche à se mettre à l’abri, Abigail s’est réveillée et son chant calme l’animal. « Evidemment ! », s’exclame le Docteur, le mât énergétique contrôle les nuages, donc les cristaux de glace qui s’y trouvent, ce qui permet donc aussi de contrôler les poissons. »
Tous trois parviennent à reconduire le requin dans les nuages. Sur le conteneur, le Docteur remarque un compteur indiquant une série de nombre : 0008. Quand Abigail lui demande s’il est un docteur, ce dernier lui demande si elle a besoin d’un médecin. Mais la conversation s’arrête là.
Avant de la remettre dans son conteneur, Kazran promet à Abigail qu’ils reviendront chaque année pour fêter la veille de Noël avec elle. Lorsqu’ils la réveillent, un an plus tard, ils ne remarquent pas que le compteur de sa capsule passe de 0008 à 0007. La moitié du tournevis sonique est toujours dans le ventre du requin, qui revient à cette occasion, ce qui permet au trio de faire un tour mémorable en carrosse volant tiré par le squale !
Ensuite, à chaque Noël, le Docteur bondit avec le TARDIS et réapparaît à chaque réveillon pour retrouver Kazran, d’abord enfant, puis adolescent et enfin jeune homme : ils réveillent Abigail, et parcourent ainsi le monde à chaque fois. Une idylle naît entre les deux jeunes gens. Le vieux Kazran continue à suivre les événements via la projection du Docteur et réalise qu’il possède de nouveaux souvenirs ainsi qu’une boîte de photos qu’il se met à regarder avec bonheur. Le portrait de son père a disparu ; à sa place se trouve celui d’Abigail. Le compteur de sa capsule continue à diminuer …
Abigail choisit, lors d’un des réveillons de le passer avec sa famille, en compagnie de Kazran et du Docteur. Mais, lors d’un Noël suivant, à Hollywood, chez rien moins que Marylin Monroe, elle livre un secret à Kazran, devenu jeune homme et qui est éperdument amoureux d’elle. Le Docteur vient leur dire qu’ils doivent partir sur le champ parce qu’il s’est fiancé « accidentellement » à Marylin Monroe, alors que les deux jeunes gens échangent un baiser. Le Seigneur du Temps ne remarque pas que quelque chose a changé. Après qu’ils ont remis Abigail dans sa capsule, Kazran lui demande de ne plus continuer cette tradition : « Noël, c’est pour les enfants. », et qu’il doit travailler avec son père désormais. « Les choses changent avec le temps », ajoute Kazran.
Le jeune Kazran explique que son père met au point une machine (le fameux mât énergétique) qui contrôlera l’atmosphère et les poissons ne pourront descendre au niveau du sol uniquement que s’il le leur permet. Le Docteur propose alors au jeune Kazran de voir un poisson – et ce n’est pas dangereux, contrairement à ce que dit son père.
Utilisant son tournevis sonique pour attirer un poisson, le Docteur demande pourquoi le gamin s’intéresse tant aux poissons : « Parce qu’ils font peur. », répond l’enfant. « Bonne réponse », réplique le Docteur. (En fait, lors d’une visite en montagne, un filet protecteur avait lâché, et l’enfant n’avait jamais vu autant de poissons s’infiltrer que cette fois-là.) Le vieux Kazran murmure qu’il se souvient de ce qui s’est passé (avec le Docteur essayant d’attirer un poisson) et que, non, le Docteur ne doit pas sortir du placard.
Ce dernier part alors voir si la technique utilisée a réussi à attirer un poisson. Mais le père de Kazran avait raison : sous les yeux terrifiés du vieux Kazran, l’expérience du Docteur avec le petit poisson attire rien de moins qu’un requin, qui les attaque tous les deux. « Quelle couleur le poisson a-t-il ? », demande l’enfant. « Une grande couleur », répond le Seigneur du Temps avant de rejoindre Kazran dans le placard.
L’animal a avalé le tournevis sonique du Docteur et se blesse au point de ne pouvoir retourner nager dans les nuages. Il parvient à récupérer une partie de son tournevis, le reste se trouvant toujours dans l’estomac de l’animal mais celui-ci a quelques ratés après cette expérience ! Le Docteur constate que le requin, une femelle, ne peut survivre très longtemps sans retourner en altitude, et qu’il ne survivra pas au transport. Mais il y a une solution : il peut être ramené dans les nuages en toute sécurité s’il est transporté dans un système de survie.
Le jeune Kazran suggère alors d’utiliser une capsule de cryogénisation. Ils se rendent donc dans la salle de congélation cryogénique de son père, qui conserve les nombreuses personnes laissées en garantie pour les prêts octroyés. Après un bref retour dans le présent pour obtenir le code d’accès, ils se préparent à libérer Abigail (que le jeune Kazran aime bien car elle est, elle aussi, fascinée par les poissons).
Mais le Docteur remarque que la moitié de son tournevis réagit comme si l‘autre moitié se rapproche d’eux : le requin revient à la charge ! Alors qu’il cherche à se mettre à l’abri, Abigail s’est réveillée et son chant calme l’animal. « Evidemment ! », s’exclame le Docteur, le mât énergétique contrôle les nuages, donc les cristaux de glace qui s’y trouvent, ce qui permet donc aussi de contrôler les poissons. »
Tous trois parviennent à reconduire le requin dans les nuages. Sur le conteneur, le Docteur remarque un compteur indiquant une série de nombre : 0008. Quand Abigail lui demande s’il est un docteur, ce dernier lui demande si elle a besoin d’un médecin. Mais la conversation s’arrête là.
Avant de la remettre dans son conteneur, Kazran promet à Abigail qu’ils reviendront chaque année pour fêter la veille de Noël avec elle. Lorsqu’ils la réveillent, un an plus tard, ils ne remarquent pas que le compteur de sa capsule passe de 0008 à 0007. La moitié du tournevis sonique est toujours dans le ventre du requin, qui revient à cette occasion, ce qui permet au trio de faire un tour mémorable en carrosse volant tiré par le squale !
Ensuite, à chaque Noël, le Docteur bondit avec le TARDIS et réapparaît à chaque réveillon pour retrouver Kazran, d’abord enfant, puis adolescent et enfin jeune homme : ils réveillent Abigail, et parcourent ainsi le monde à chaque fois. Une idylle naît entre les deux jeunes gens. Le vieux Kazran continue à suivre les événements via la projection du Docteur et réalise qu’il possède de nouveaux souvenirs ainsi qu’une boîte de photos qu’il se met à regarder avec bonheur. Le portrait de son père a disparu ; à sa place se trouve celui d’Abigail. Le compteur de sa capsule continue à diminuer …
Abigail choisit, lors d’un des réveillons de le passer avec sa famille, en compagnie de Kazran et du Docteur. Mais, lors d’un Noël suivant, à Hollywood, chez rien moins que Marylin Monroe, elle livre un secret à Kazran, devenu jeune homme et qui est éperdument amoureux d’elle. Le Docteur vient leur dire qu’ils doivent partir sur le champ parce qu’il s’est fiancé « accidentellement » à Marylin Monroe, alors que les deux jeunes gens échangent un baiser. Le Seigneur du Temps ne remarque pas que quelque chose a changé. Après qu’ils ont remis Abigail dans sa capsule, Kazran lui demande de ne plus continuer cette tradition : « Noël, c’est pour les enfants. », et qu’il doit travailler avec son père désormais. « Les choses changent avec le temps », ajoute Kazran.
« Oui, mais pas comme elles le devraient », répond le Docteur, qui lui laisse son tournevis sonique : si nécessaire, Kazran n’aura qu’à l’activer. Mais ce dernier, même s’il accepte le cadeau, répond qu’il n’en aura pas besoin. Quand le Docteur lui demande ce qu’il lui cache, Kazran s’en va sans répondre. Pendant ce temps, la capsule d’Abigail indique : 0001. Dans le présent, le portrait du père de Kazran a repris sa place … Un autre Noël, mais cette fois la machine du père de Kazran est terminée et les deux hommes trinquent à sa réalisation : on peut désormais contrôler le temps, les nuages, le ciel, les poissons et donc les gens (« du bétail », pour le père). Le fils s’excuse un instant et va retirer le tournevis du Docteur pour appeler ce dernier, qui réapparaît derrière la fenêtre. Mais Kazran ne lui ouvre pas et range l’appareil dans un tiroir pour ne plus jamais l’en ressortir.
Le vieux Kazran le retire finalement du tiroir. Il a plein de nouveaux souvenirs, bien agréables, mais il refuse toujours d’utiliser le mât de contrôle pour aider le vaisseau à se poser, malgré la demande du Ministre en personne. Il lui répond que le vaisseau ne va pas s’écraser sur sa maison, et que de toute façon la vie n’est pas juste !
Le Docteur fait alors appel à Amy (et Rory, qui dit d’arrêter de regarder la jupe de sa femme, mais qui laisse vite la place à son épouse). Sous la forme d'un hologramme, elle se présente comme le fantôme du Noël présent et, après son départ, il entend (puis voit) des gens chanter des chants de Noël, dans son coffre cryogénique. Ce sont, en fait, des hologrammes des passagers du vaisseau en perdition, espérant profiter de l’atmosphère si particulière de la planète et ouvrir ainsi un passage au vaisseau. Mais Kazran ne change pas d’avis, malgré qu’Amy insiste que lui seul qui peut permettre à l’appareil de se poser. Le Docteur a tenté de changer la vie de Kazran, mais ce dernier réplique que si on peut modifier le passé, on ne peut pas changer les gens !
Devant la capsule d’Abigail, il avoue qu’il ne l’aurait jamais connue si le Docteur n’avait pas modifié le cours de son existence. Alors qu’Amy lui dit que c’était une bonne chose, il réplique que non ! Pourquoi, au fait, la jeune femme est-elle toujours en cryogénie ? Kazran aurait pu la libérer depuis bien longtemps… Il lui apprend alors la vérité : Abigail était malade, sur le point de mourir, quand elle fut cryogénisée. Il ne lui restait plus que quelques jours à vivre. Aujourd’hui, il ne lui en reste plus qu’un seul si elle sort de la capsule cryogénique. Si elle devait se réveiller, ce serait pour la toute dernière fois – et Kazran n’a pu se résoudre à la condamner. Amy est bouleversée, mais elle lui dit que, malgré tout, un jour à vivre, c’est plus qu’il ne reste aux passagers du vaisseau. Kazran réplique que c’est très bien ainsi ! Elle lui montre alors le poste de pilotage du vaisseau, pour lui montrer ce qui va se passer. Les passagers continuent à chanter. Il n’y a sans doute aucune chance que cela sauve le vaisseau, mais l'équipage ne l’a pas dit pour que les gens ne perdent pas espoir. La capitaine essaie en vain de le convaincre. « Personne ne doit mourir. », dit-elle. Elle aussi échoue : « Tout le monde doit mourir », répond-il.
Le vieux Kazran le retire finalement du tiroir. Il a plein de nouveaux souvenirs, bien agréables, mais il refuse toujours d’utiliser le mât de contrôle pour aider le vaisseau à se poser, malgré la demande du Ministre en personne. Il lui répond que le vaisseau ne va pas s’écraser sur sa maison, et que de toute façon la vie n’est pas juste !
Le Docteur fait alors appel à Amy (et Rory, qui dit d’arrêter de regarder la jupe de sa femme, mais qui laisse vite la place à son épouse). Sous la forme d'un hologramme, elle se présente comme le fantôme du Noël présent et, après son départ, il entend (puis voit) des gens chanter des chants de Noël, dans son coffre cryogénique. Ce sont, en fait, des hologrammes des passagers du vaisseau en perdition, espérant profiter de l’atmosphère si particulière de la planète et ouvrir ainsi un passage au vaisseau. Mais Kazran ne change pas d’avis, malgré qu’Amy insiste que lui seul qui peut permettre à l’appareil de se poser. Le Docteur a tenté de changer la vie de Kazran, mais ce dernier réplique que si on peut modifier le passé, on ne peut pas changer les gens !
Devant la capsule d’Abigail, il avoue qu’il ne l’aurait jamais connue si le Docteur n’avait pas modifié le cours de son existence. Alors qu’Amy lui dit que c’était une bonne chose, il réplique que non ! Pourquoi, au fait, la jeune femme est-elle toujours en cryogénie ? Kazran aurait pu la libérer depuis bien longtemps… Il lui apprend alors la vérité : Abigail était malade, sur le point de mourir, quand elle fut cryogénisée. Il ne lui restait plus que quelques jours à vivre. Aujourd’hui, il ne lui en reste plus qu’un seul si elle sort de la capsule cryogénique. Si elle devait se réveiller, ce serait pour la toute dernière fois – et Kazran n’a pu se résoudre à la condamner. Amy est bouleversée, mais elle lui dit que, malgré tout, un jour à vivre, c’est plus qu’il ne reste aux passagers du vaisseau. Kazran réplique que c’est très bien ainsi ! Elle lui montre alors le poste de pilotage du vaisseau, pour lui montrer ce qui va se passer. Les passagers continuent à chanter. Il n’y a sans doute aucune chance que cela sauve le vaisseau, mais l'équipage ne l’a pas dit pour que les gens ne perdent pas espoir. La capitaine essaie en vain de le convaincre. « Personne ne doit mourir. », dit-elle. Elle aussi échoue : « Tout le monde doit mourir », répond-il.
Le Docteur a tout entendu de la conversation. Après s’être excusé de n’avoir pas réalisé ce qu’il avait provoqué, il ajoute qu’il vaut mieux avoir le cœur brisé que de ne pas en avoir du tout. Il décide alors de lui montrer son futur. Kazran le défie encore, se doutant qu’il finira froid, seul et effrayé, comme tout le monde. Et s’il préfère laisser les passagers mourir, ce n’est pas un acte volontaire, mais simplement parce qu’il s’en fiche : Kazran n’est pas comme le Docteur et il ne veut pas être comme lui d’ailleurs. « Montrez-moi mon avenir ! », fait-il « C’est ce que je suis en train de faire à l’instant ! », réplique le Seigneur du Temps.
En effet, ce n’est pas au vieux Kazran qu’il montre ce qui l’attend, mais bien au Kazran enfant, qu’il vient de ramener du passé. L’enfant croit voir son père, ce qui choque l’adulte qu’il est aujourd’hui. Tout son passé lui revient et il finit par craquer. Désolé pour tout ce qu’il a pu faire, le vieux Kazran accepte enfin de manœuvrer le mât énergétique pour sauver le vaisseau.
Il reste tout au plus cinq minutes pour sauver les passagers. Le Docteur prévient Amy qu’il vient de sauver Noël et qu’ils n’ont qu’à attendre son signal. Malheureusement, le Docteur a tellement changé le vieux Kazran que sa machine, conçue par son père pour ne répondre qu’à son empreinte biologique, ne le reconnaît plus. Impossible d’encore utiliser la machine pour sauver les 4.000 vies sur le point de disparaître !
Il reste une dernière chance, en utilisant une moitié du tournevis sonique comme un micro et l’autre moitié, toujours dans le ventre du requin, pour faire voler celui-ci et d’autres poissons. Mais pour cela il faut envoyer autre chose que le signal du tournevis… Il faut libérer Abigail, pour la toute dernière fois, et la faire chanter, comme elle le fit autrefois pour le requin. Sous le chagrin de perdre sa bien-aimée, Kazran demande au Docteur : « Si vous deviez choisir le seul jour qu’il vous reste avec celle que vous aimez, lequel serait-ce ? » « Le Jour de Noël », répond Abigail en sortant de sa capsule. La jeune femme reconnaît Kazran malgré son grand âge, ajoutant qu’il a dû attendre un peu trop longtemps depuis leur dernier Noël.
Elle émet alors un chant qui influence les requins : ceux-ci se déplacent de telle sorte qu’ils font résonner les particules de glace de l’atmosphère pour dégager les nuages et permettre enfin au vaisseau de se poser sans encombre.
Le Docteur ramène le jeune Kazran à son époque, sous les yeux de l’adulte qui le salue en compagnie d’Abigail.
Alors que les habitants s’émerveillent de voir la neige tomber pour la première fois depuis bien longtemps, le Docteur retrouve Amy et Rory, un peu étonné de leurs accoutrements. Rory lui demande s’il a encore d’autres idées pour une lune de miel, à quoi le Docteur répond qu’il connaît une lune vraiment faite en miel – en fait, ce n’est pas vraiment une lune, mais un être vivant!
Voyant son ami peiné et soucieux, Amy évoque le fait que c’est le dernier jour pour Abigail demain; le Docteur répond que tout doit s’arrêter un jour, sinon cela ne pourrait pas débuter non plus... Rory vient de répondre au téléphone dans le Tardis et dit au Docteur qu’une certaine Marylin veut lui parler (Souvenez-vous du réveillon hollywoodien qu’il avait passé chez elle). Le Seigneur du Temps promet de rappeler plus tard, ajoutant, quelque peu embarrassé, que “de toute façon, ce n’était pas non plus une ‘vraie’ chapelle” (!!).
Amy demande où peuvent être Kazran et Abigail : « À mi-chemin pour sortir de l’obscurité », évoque le Docteur. L’histoire se termine sur le vieux Kazran et Abigail, profitant des dernières heures qu’il reste à la jeune femme, pour faire une ballade à bord d’un carrosse tiré par le requin volant.
En effet, ce n’est pas au vieux Kazran qu’il montre ce qui l’attend, mais bien au Kazran enfant, qu’il vient de ramener du passé. L’enfant croit voir son père, ce qui choque l’adulte qu’il est aujourd’hui. Tout son passé lui revient et il finit par craquer. Désolé pour tout ce qu’il a pu faire, le vieux Kazran accepte enfin de manœuvrer le mât énergétique pour sauver le vaisseau.
Il reste tout au plus cinq minutes pour sauver les passagers. Le Docteur prévient Amy qu’il vient de sauver Noël et qu’ils n’ont qu’à attendre son signal. Malheureusement, le Docteur a tellement changé le vieux Kazran que sa machine, conçue par son père pour ne répondre qu’à son empreinte biologique, ne le reconnaît plus. Impossible d’encore utiliser la machine pour sauver les 4.000 vies sur le point de disparaître !
Il reste une dernière chance, en utilisant une moitié du tournevis sonique comme un micro et l’autre moitié, toujours dans le ventre du requin, pour faire voler celui-ci et d’autres poissons. Mais pour cela il faut envoyer autre chose que le signal du tournevis… Il faut libérer Abigail, pour la toute dernière fois, et la faire chanter, comme elle le fit autrefois pour le requin. Sous le chagrin de perdre sa bien-aimée, Kazran demande au Docteur : « Si vous deviez choisir le seul jour qu’il vous reste avec celle que vous aimez, lequel serait-ce ? » « Le Jour de Noël », répond Abigail en sortant de sa capsule. La jeune femme reconnaît Kazran malgré son grand âge, ajoutant qu’il a dû attendre un peu trop longtemps depuis leur dernier Noël.
Elle émet alors un chant qui influence les requins : ceux-ci se déplacent de telle sorte qu’ils font résonner les particules de glace de l’atmosphère pour dégager les nuages et permettre enfin au vaisseau de se poser sans encombre.
Le Docteur ramène le jeune Kazran à son époque, sous les yeux de l’adulte qui le salue en compagnie d’Abigail.
Alors que les habitants s’émerveillent de voir la neige tomber pour la première fois depuis bien longtemps, le Docteur retrouve Amy et Rory, un peu étonné de leurs accoutrements. Rory lui demande s’il a encore d’autres idées pour une lune de miel, à quoi le Docteur répond qu’il connaît une lune vraiment faite en miel – en fait, ce n’est pas vraiment une lune, mais un être vivant!
Voyant son ami peiné et soucieux, Amy évoque le fait que c’est le dernier jour pour Abigail demain; le Docteur répond que tout doit s’arrêter un jour, sinon cela ne pourrait pas débuter non plus... Rory vient de répondre au téléphone dans le Tardis et dit au Docteur qu’une certaine Marylin veut lui parler (Souvenez-vous du réveillon hollywoodien qu’il avait passé chez elle). Le Seigneur du Temps promet de rappeler plus tard, ajoutant, quelque peu embarrassé, que “de toute façon, ce n’était pas non plus une ‘vraie’ chapelle” (!!).
Amy demande où peuvent être Kazran et Abigail : « À mi-chemin pour sortir de l’obscurité », évoque le Docteur. L’histoire se termine sur le vieux Kazran et Abigail, profitant des dernières heures qu’il reste à la jeune femme, pour faire une ballade à bord d’un carrosse tiré par le requin volant.