La résidence Caliburn n’a rien de rassurant. Et pour cause, on la dit hantée…
C’est, en tout cas, ce que le professeur Alec Palmer et son assistante Emma Grayling tentent de prouver. Voilà tout un temps qu’il essaie d’établir le contact avec le fantôme qui habite les lieux. Soudain, on frappe à la porte. Ce n’est pas un visiteur de l’au-delà, mais le Docteur et Clara, qui, grâce au papier psychique du Docteur, se font passer pour des membres du Renseignement – même si Clara préfère dire qu’ils sont des « Ghosbusters » ! Un clin d’œil que ne comprennent pas leurs hôtes – et pour cause, nous sommes en 1974, dix ans avant la sortie de ce film.
Alec Palmer fait donc des travaux sur celle qu’on appelle la « Sorcière du Puits » grâce aux puissants pouvoirs psychique d’Emma. Une certaine tension émotionnelle existe entre les deux chercheurs ; il est clair qu’il y a des sentiments plus profonds entre eux, et Clara rassure Emma : Alec ressent pour elle la même chose qu’elle pour lui. Emma, elle, s’inquiète d’un « côté glacial » qu’elle a repéré dans le cœur du Docteur (enfin, DES cœurs du Docteur).
Le quatuor continue les travaux pour en savoir plus sur le « fantôme », découvrant au passage un endroit particulièrement froid dans la maison. Comme si quelque chose se trouvait à cet endroit … De retour dans la pièce où Alec et Emma mènent leurs expériences, il constate que le fantôme, en tout cas, n’est pas une légende : un disque obscur se matérialise devant eux, et Emma ressent, grâce à ses capacités psychiques, que quelque chose appelle à l'aide avant que le disque ne disparaisse et que la maison retourne à la normale. Depuis le début de ces expériences, Alec a réussi à prendre plusieurs photos de l’ectoplasme. Clara constate que celui-ci apparaît toujours de la même manière et au même endroit, même sur des photos plus anciennes, certaines remontant à bien avant le début des travaux d’Alec.
C’est, en tout cas, ce que le professeur Alec Palmer et son assistante Emma Grayling tentent de prouver. Voilà tout un temps qu’il essaie d’établir le contact avec le fantôme qui habite les lieux. Soudain, on frappe à la porte. Ce n’est pas un visiteur de l’au-delà, mais le Docteur et Clara, qui, grâce au papier psychique du Docteur, se font passer pour des membres du Renseignement – même si Clara préfère dire qu’ils sont des « Ghosbusters » ! Un clin d’œil que ne comprennent pas leurs hôtes – et pour cause, nous sommes en 1974, dix ans avant la sortie de ce film.
Alec Palmer fait donc des travaux sur celle qu’on appelle la « Sorcière du Puits » grâce aux puissants pouvoirs psychique d’Emma. Une certaine tension émotionnelle existe entre les deux chercheurs ; il est clair qu’il y a des sentiments plus profonds entre eux, et Clara rassure Emma : Alec ressent pour elle la même chose qu’elle pour lui. Emma, elle, s’inquiète d’un « côté glacial » qu’elle a repéré dans le cœur du Docteur (enfin, DES cœurs du Docteur).
Le quatuor continue les travaux pour en savoir plus sur le « fantôme », découvrant au passage un endroit particulièrement froid dans la maison. Comme si quelque chose se trouvait à cet endroit … De retour dans la pièce où Alec et Emma mènent leurs expériences, il constate que le fantôme, en tout cas, n’est pas une légende : un disque obscur se matérialise devant eux, et Emma ressent, grâce à ses capacités psychiques, que quelque chose appelle à l'aide avant que le disque ne disparaisse et que la maison retourne à la normale. Depuis le début de ces expériences, Alec a réussi à prendre plusieurs photos de l’ectoplasme. Clara constate que celui-ci apparaît toujours de la même manière et au même endroit, même sur des photos plus anciennes, certaines remontant à bien avant le début des travaux d’Alec.
Le Docteur décide d’en savoir plus. Il embarque à bord du Tardis et se matérialise à plusieurs époques, souvent éloignées les unes des autres, allant aussi bien au moment de la naissance de la Terre que dans le lointain futur qui verra notre planète vivre ses derniers moments, sur le lieu des manifestations de la « Sorcière du Puits ». A chaque fois, il prend une photo de l’époque.
De retour en 1974, il montre le résultat de son travail à Clara, Alec et Emma. La « Sorcière » n’est pas un fantôme, mais une voyageuse temporelle. Une pionnière dans son domaine, nommée Hila Tacorien, si l’on en juge du nom indiqué sur sa combinaison. Hila a dû avoir un accident lors d’une expérience et est bloquée dans un mini-univers (pocket universe), où le temps s’écoule différemment que dans notre monde. C’est pour cette raison qu’à l’échelle humaine, elle semble toujours apparaître de la même manière et au même endroit. Quelques secondes pour elle représente des millions d’années ici !
Il faut faire quelque chose pour la sortir de là. Le Docteur branche des câbles sur le Tardis pour permettre, en combinaison avec les pouvoirs d’Emma, d’ouvrir un vortex vers le mini-univers, et « aligner » provisoirement les deux mondes. L’opération réussit et le Docteur saute « de l’autre côté », relié à notre monde par une simple corde, avant de partir à la recherche d’Hila.
L’univers qu’il découvre ressemble à une forêt baignant dans un brouillard représentant les limites des lieux. Il finit par trouver Hila. Le temps presse (un comble pour deux voyageurs temporels !), car, de l’autre côté, Emma arrive aux limites de ses forces et ne pourra plus garder le vortex ouvert très longtemps. De plus, il s’avère qu’ils ne sont pas seuls : une créature erre en ces lieux, et il vaut mieux fuir au plus vite. Une sorte de « miroir » de la résidence Caliburn leur permet de trouver refuge, avant qu’ils ne trouvent la corde, qui permet de renvoyer Hila, mais la « porte » se referme avant que le Docteur ne puisse la rejoindre.
De retour en 1974, il montre le résultat de son travail à Clara, Alec et Emma. La « Sorcière » n’est pas un fantôme, mais une voyageuse temporelle. Une pionnière dans son domaine, nommée Hila Tacorien, si l’on en juge du nom indiqué sur sa combinaison. Hila a dû avoir un accident lors d’une expérience et est bloquée dans un mini-univers (pocket universe), où le temps s’écoule différemment que dans notre monde. C’est pour cette raison qu’à l’échelle humaine, elle semble toujours apparaître de la même manière et au même endroit. Quelques secondes pour elle représente des millions d’années ici !
Il faut faire quelque chose pour la sortir de là. Le Docteur branche des câbles sur le Tardis pour permettre, en combinaison avec les pouvoirs d’Emma, d’ouvrir un vortex vers le mini-univers, et « aligner » provisoirement les deux mondes. L’opération réussit et le Docteur saute « de l’autre côté », relié à notre monde par une simple corde, avant de partir à la recherche d’Hila.
L’univers qu’il découvre ressemble à une forêt baignant dans un brouillard représentant les limites des lieux. Il finit par trouver Hila. Le temps presse (un comble pour deux voyageurs temporels !), car, de l’autre côté, Emma arrive aux limites de ses forces et ne pourra plus garder le vortex ouvert très longtemps. De plus, il s’avère qu’ils ne sont pas seuls : une créature erre en ces lieux, et il vaut mieux fuir au plus vite. Une sorte de « miroir » de la résidence Caliburn leur permet de trouver refuge, avant qu’ils ne trouvent la corde, qui permet de renvoyer Hila, mais la « porte » se referme avant que le Docteur ne puisse la rejoindre.
Désespérée, Clara fonce vers le Tardis, mais celui-ci est fermé. Il fait apparaître une interface holographique, parfait sosie de la jeune femme, pour dialoguer avec elle. La jeune compagne parvient à convaincre le Tardis de se téléporter dans le mini-univers, une manœuvre des plus dangereuses pour le vaisseau, qui risque d’être détruit s’il s’attarde là-bas.
De l’autre côté, le Docteur se retrouve seul face à la créature qui rôde, mais le Tardis arrive juste à temps, lui permettant de s’y accrocher, d’échapper à la « bête » et de revenir dans notre univers.
Tout est donc bien qui finit bien. Le Docteur avoue à Emma qu’il était venu ici, non pas pour le soi-disant fantôme, mais parce qu’il voulait qu’elle « sonde » Clara pour voir en quoi elle est si spéciale. Emma ne détecte rien : Clara est tout à fait normale.
Pour en revenir à Hila, son voyage temporel est un moment important de la ligne temporelle, un point fixe de l’Histoire. Le Docteur ne peut donc pas la ramener chez elle, car elle a officiellement disparu à jamais. Mais il peut l’amener n’importe où et quand – du moment que ce soit « ailleurs » que sa propre époque.
De l’autre côté, le Docteur se retrouve seul face à la créature qui rôde, mais le Tardis arrive juste à temps, lui permettant de s’y accrocher, d’échapper à la « bête » et de revenir dans notre univers.
Tout est donc bien qui finit bien. Le Docteur avoue à Emma qu’il était venu ici, non pas pour le soi-disant fantôme, mais parce qu’il voulait qu’elle « sonde » Clara pour voir en quoi elle est si spéciale. Emma ne détecte rien : Clara est tout à fait normale.
Pour en revenir à Hila, son voyage temporel est un moment important de la ligne temporelle, un point fixe de l’Histoire. Le Docteur ne peut donc pas la ramener chez elle, car elle a officiellement disparu à jamais. Mais il peut l’amener n’importe où et quand – du moment que ce soit « ailleurs » que sa propre époque.
Alec et Emma s’avèrent être les lointains ancêtres d’Hila, ce qui explique pourquoi Emma parvenait à entrer en contact avec elle : c’était les liens du sang, bien plus que ses pouvoirs intrinsèques qui le lui ont permis.
« Les liens du sang ! », s’exclame le Docteur. Il vient de comprendre que la créature du mini-univers n’avait rien d’hostile. Elle voulait seulement rejoindre sa compagne, bloquée dans la résidence Caliburn, dans l’endroit particulièrement froid de la demeure. Utilisant une dernière fois les pouvoirs d’Emma combinés au Tardis, il retourne dans le mini-univers et ramène la créature auprès de son semblable.
« Les liens du sang ! », s’exclame le Docteur. Il vient de comprendre que la créature du mini-univers n’avait rien d’hostile. Elle voulait seulement rejoindre sa compagne, bloquée dans la résidence Caliburn, dans l’endroit particulièrement froid de la demeure. Utilisant une dernière fois les pouvoirs d’Emma combinés au Tardis, il retourne dans le mini-univers et ramène la créature auprès de son semblable.