Le Tardis se matérialise sur la Lune, en face du LEM d’une des missions Apollo. Euh… minute : non, il s’agit d’un décor, qui fait partie du Monde des Merveilles, un parc d’attraction gigantesque sur une planète lointaine du nom d’Hedgewick. Le Docteur a choisi ce lieu pour le premier voyage d’Angie et Artie, les enfants dont Clara est la « nounou » et qui viennent de découvrir son secret (la jeune femme voyage dans le temps). Il a été jusqu’à apporter un ticket en or (clin d’œil à « Charlie et la Chocolaterie » ?) en guise de billet d’entrée. Malheureusement, le parc a été abandonné, et hormis l’une ou l’autre attraction encore utilisable, tout ce qu’ils trouvent, c’est une petite unité militaire, chargée de garder les lieux (enfin, ce qu’il en reste). Grâce à son papier psychique, le Docteur se fait passer pour un consul impérial, à la recherche de l’Empereur de leur peuple, porté disparu.
En dehors des soldats, le Seigneur du Temps et ses compagnons font la connaissance d’un civil, « l’Imprésario Webley ». Celui-ci les conduit à ce qu’il appelle « Webley’s World of Wonders », mais qui n’est qu’une accumulation de vieilleries – parmi lesquelles un Cyberman ! Heureusement, cela fait longtemps que celui-ci ne fonctionne plus. Webley l’a transformé en un joueur d’échec mécanique. Mais le Docteur a vite compris l’astuce : sous la table se cache un complice, un nain du nom de Porridge (bizarre de porter le nom d’une bouillie, non ?), qui fait bouger les pièces de l’échiquier par ce qui n’est plus qu’une coquille vide. Alors que Webley leur fait découvrir le reste de sa collection (dont 2 autres Cybermen désactivés), ses visiteurs préfèrent emmener les enfants vers l’une des rares attractions encore utilisables.
Il se fait tard, et Clara aimerait bien ramener Angie et Artie chez eux, mais le Docteur est intrigué par d’étranges insectes métalliques et décide de rester sur place pour la nuit. Les enfants en sont réduits à dormir dans la maison de Webley. Alors que ce dernier remet de l’ordre dans la salle qui abrite ses « antiquités », il est soudain attaqué par le Cyberman de son échiquier, dans lequel se cachaient d’autres insectes métalliques, et est « upgradé » par l’apport d’éléments électroniques sur sa tête.
En dehors des soldats, le Seigneur du Temps et ses compagnons font la connaissance d’un civil, « l’Imprésario Webley ». Celui-ci les conduit à ce qu’il appelle « Webley’s World of Wonders », mais qui n’est qu’une accumulation de vieilleries – parmi lesquelles un Cyberman ! Heureusement, cela fait longtemps que celui-ci ne fonctionne plus. Webley l’a transformé en un joueur d’échec mécanique. Mais le Docteur a vite compris l’astuce : sous la table se cache un complice, un nain du nom de Porridge (bizarre de porter le nom d’une bouillie, non ?), qui fait bouger les pièces de l’échiquier par ce qui n’est plus qu’une coquille vide. Alors que Webley leur fait découvrir le reste de sa collection (dont 2 autres Cybermen désactivés), ses visiteurs préfèrent emmener les enfants vers l’une des rares attractions encore utilisables.
Il se fait tard, et Clara aimerait bien ramener Angie et Artie chez eux, mais le Docteur est intrigué par d’étranges insectes métalliques et décide de rester sur place pour la nuit. Les enfants en sont réduits à dormir dans la maison de Webley. Alors que ce dernier remet de l’ordre dans la salle qui abrite ses « antiquités », il est soudain attaqué par le Cyberman de son échiquier, dans lequel se cachaient d’autres insectes métalliques, et est « upgradé » par l’apport d’éléments électroniques sur sa tête.
Pendant ce temps, Angie, fort déçue par ce premier voyage spatio-temporel, décide d’ignorer les recommandations du Docteur et quitte leur chambre de fortune. Quant à Clara, elle se retrouve avec Porridge, en train d’admirer les étoiles. Elle est intriguée par un « trou » dans le ciel. Porridge lui explique que l’endroit abritait autrefois la galaxie Tibérienne. Dans leur guerre contre les Cybermen, l’Empire a pris une mesure extrême, détruisant la galaxie tout entière pour s’assurer la destruction totale de leur ennemi, entraînant, par la même occasion, la mort d’un million de milliards (!) d’innocents. Ils sont interrompus par le Docteur, qui vient de remarquer l’absence d’Angie. Celle-ci est allée rendre visite aux militaires. Tout à coup, un Cyberman apparaît et kidnappe l’adolescente sous les yeux des autres. Alors que son frère, resté seul, s’est fait capturer à son tour, le Docteur empêche Clara d’aller à la poursuite du kidnappeur d’Angie, promettant à sa compagne de la ramener.
Usant de son autorité de « consul impérial », le Docteur transfère le leadership de l’unité militaire à Clara, au grand dam de la capitaine qui la dirigeait jusqu’alors. Le Seigneur du Temps s’explique : les soldats disposent d’une bombe d’une puissance telle qu’elle peut faire exploser la planète toute entière, et leur capitaine risquerait bien de la déclencher ! Il lui conseille aussi de prendre position en un endroit qu’ils pourront défendre en cas d’attaque. Une tâche qui risque de s’avérer difficile : ces soldats n’ont rien d’une unité d’élite. Bien au contraire : s’ils sont ici, c’est par mesure disciplinaire…
Pendant que les Cybermen équipent Angie et Artie « d’oreillettes de contrôle », Clara, désormais à la tête de la petite unité militaire, emmène ses hommes vers un château-fort (une attraction du parc, bien sûr), emportant tout ce qu’ils peuvent comme armes en vue de préparer une offensive contre l’ennemi. Comme l’avait prévu le Docteur, elle doit jouer de son autorité pour les empêcher d’activer la « super-bombe ».
Usant de son autorité de « consul impérial », le Docteur transfère le leadership de l’unité militaire à Clara, au grand dam de la capitaine qui la dirigeait jusqu’alors. Le Seigneur du Temps s’explique : les soldats disposent d’une bombe d’une puissance telle qu’elle peut faire exploser la planète toute entière, et leur capitaine risquerait bien de la déclencher ! Il lui conseille aussi de prendre position en un endroit qu’ils pourront défendre en cas d’attaque. Une tâche qui risque de s’avérer difficile : ces soldats n’ont rien d’une unité d’élite. Bien au contraire : s’ils sont ici, c’est par mesure disciplinaire…
Pendant que les Cybermen équipent Angie et Artie « d’oreillettes de contrôle », Clara, désormais à la tête de la petite unité militaire, emmène ses hommes vers un château-fort (une attraction du parc, bien sûr), emportant tout ce qu’ils peuvent comme armes en vue de préparer une offensive contre l’ennemi. Comme l’avait prévu le Docteur, elle doit jouer de son autorité pour les empêcher d’activer la « super-bombe ».
Le Docteur, lui, a déjà compris que les insectes métalliques sont liés aux Cybermen. Grâce son inséparable tournevis sonique, il sonde l’une de ces minuscules machines et parvient à se téléporter auprès des deux enfants, désormais contrôlés par les « oreillettes », mais pas encore entièrement « intégrés » ; il peut encore espérer les récupérer. Pour Webley, il est, par contre, déjà trop tard : le malheureux est désormais le « porte-parole » des Cybermen, annonçant que ceux-ci avaient « besoin d’enfants » (dont les cerveaux ont un bien plus grand potentiel que ceux des adultes). Le parc d’attraction était l’endroit idéal : alors que la guerre faisait rage entre l’Empire et les Cybermen, ces derniers ont installé un bunker sous-terrain, kidnappant régulièrement des visiteurs pour réparer leurs soldats – avant que le parc ne soit définitivement fermé. Ils ont ainsi reconstitué toute une armée, prête à reprendre le combat. Mais aujourd’hui plus besoin des enfants : ils ont à leur portée un cerveau « de pointe » capable de contrôler et diriger leurs troupes : celui du Docteur !
« Mais comme je ne suis pas humain, vous ne pouvez pas m’assimiler », déclare le Seigneur du Temps. Erreur : les Cybermen ont évolué et les « cyber-insectes » que lui lance Webley infiltrent son cerveau et le connectent au « Cyber-réseau ». Deux personnalités luttent dans sa tête : le Docteur et le « Cyber-Planner ». De force équivalente, aucune ne parvient à prendre le dessus. De plus, le Docteur menace de lancer une régénération, ce qui détruirait les cyber-implants, visibles sur le côté gauche de son visage (le Docteur contrôlant la moitié droite de son corps). Face à cette impasse, le Cyber-Planner accepte l’offre du Docteur : une partie d’échecs décidera laquelle des deux personnalités prendra le contrôle. De plus, si le Seigneur du Temps l’emporte, Angie et Artie seront libérés.
De son côté, Clara a fait le point sur l’armement disponible. Cela fait mil ans que les Cybermen ont été vaincu et il ne reste plus grand-chose comme équipement à même de les vaincre. L’inventaire n’est donc pas long à faire, se limitant à une seule arme anti-Cyberman et à quelques générateurs d'impulsions manuels - en dehors de la bombe « planétaire ». Clara s’empare de la télécommande de cette dernière, s’assurant que personne ne pourra encore la faire exploser sans qu’elle en donne l’ordre. Seule la capitaine dispose d’une commande vocale pouvant également lancer le compte-à-rebours, et Clara insiste bien qu’elle est désormais son autorité et doit obéir à ses instructions.
« Mais comme je ne suis pas humain, vous ne pouvez pas m’assimiler », déclare le Seigneur du Temps. Erreur : les Cybermen ont évolué et les « cyber-insectes » que lui lance Webley infiltrent son cerveau et le connectent au « Cyber-réseau ». Deux personnalités luttent dans sa tête : le Docteur et le « Cyber-Planner ». De force équivalente, aucune ne parvient à prendre le dessus. De plus, le Docteur menace de lancer une régénération, ce qui détruirait les cyber-implants, visibles sur le côté gauche de son visage (le Docteur contrôlant la moitié droite de son corps). Face à cette impasse, le Cyber-Planner accepte l’offre du Docteur : une partie d’échecs décidera laquelle des deux personnalités prendra le contrôle. De plus, si le Seigneur du Temps l’emporte, Angie et Artie seront libérés.
De son côté, Clara a fait le point sur l’armement disponible. Cela fait mil ans que les Cybermen ont été vaincu et il ne reste plus grand-chose comme équipement à même de les vaincre. L’inventaire n’est donc pas long à faire, se limitant à une seule arme anti-Cyberman et à quelques générateurs d'impulsions manuels - en dehors de la bombe « planétaire ». Clara s’empare de la télécommande de cette dernière, s’assurant que personne ne pourra encore la faire exploser sans qu’elle en donne l’ordre. Seule la capitaine dispose d’une commande vocale pouvant également lancer le compte-à-rebours, et Clara insiste bien qu’elle est désormais son autorité et doit obéir à ses instructions.
Alors que les deux personnalités ont entamé leur partie d’échecs, le Docteur se souvient que les Cybermen ne supportent pas l’or (!). Il utilise alors son « ticket doré » pour bloquer les cyber-implants. Reprenant le contrôle de son corps tout entier, il emmène les enfants et Webley. Au château, Clara et les soldats se préparent à l’assaut. Mais la capitaine prend tout le monde de vitesse. Alors qu’elle vient de tenir un étrange discours avec Porridge, se rappelant de l’époque où elle faisait partie de la garde impériale, elle tente, dans un acte de bravoure suicidaire, de déclencher la super-bombe par commande vocale. Mais avant qu’elle puisse y arriver, elle est tuée par un Cyberman.
Le Cyber-Planner pouvant à tout moment contourner le blocage provoqué par le « ticket doré », le Docteur demande à Clara qu’on l’attache devant la table de l’échiquier, ne lui laissant que les mains libres pour continuer la partie. Il se doute que « l’ennemi dans sa tête » ne tiendra pas sa promesse en cas de défaite, mais pour l’instant il n’a pas d’alternative. Dès qu’il retire le ticket de son visage, les deux personnalités reprennent leur bras de fer, tandis que Clara retourne dans la cours du château pour en renforcer les défenses. Il était temps, car, dès son réveil, le cyber-Planner prépare ses troupes à l’assaut des quelques malheureux humains qui tentent de les arrêter.
Alors que le Docteur l’a rappelée auprès de lui, Clara se fait piéger par le Cyber-Planner, qui détruit la télécommande de la super-bombe (que seule une commande vocale de l’Empereur pourrait encore lancer ; mais comme ce dernier a disparu …). Désormais, plus rien ne peut arrêter ses troupes.
Tout semble effectivement perdu. Clara et les soldats sont sur le point d’être balayés par l’assaut des Cybermen (qui, tels les Borgs de Star Trek, parviennent à s’adapter à tout type d’attaque). Le Docteur va bientôt être vaincu dans la partie d’échecs. Le Cyber-Planner, comme il le craignait, n’est pas fiable. Après avoir libéré Angie et Artie après que le Docteur ait sacrifié sa reine, il lance Webley pour tuer les deux enfants. Mais Porridge arrive à ce moment-là et, à l’aide d’un générateur d'impulsions manuel, « grille » les circuits de Webley, le tuant par la même occasion. Mais le nain est mis K.O., s’affalant aux pieds de la table supportant le jeu d’échecs.
Le Cyber-Planner pouvant à tout moment contourner le blocage provoqué par le « ticket doré », le Docteur demande à Clara qu’on l’attache devant la table de l’échiquier, ne lui laissant que les mains libres pour continuer la partie. Il se doute que « l’ennemi dans sa tête » ne tiendra pas sa promesse en cas de défaite, mais pour l’instant il n’a pas d’alternative. Dès qu’il retire le ticket de son visage, les deux personnalités reprennent leur bras de fer, tandis que Clara retourne dans la cours du château pour en renforcer les défenses. Il était temps, car, dès son réveil, le cyber-Planner prépare ses troupes à l’assaut des quelques malheureux humains qui tentent de les arrêter.
Alors que le Docteur l’a rappelée auprès de lui, Clara se fait piéger par le Cyber-Planner, qui détruit la télécommande de la super-bombe (que seule une commande vocale de l’Empereur pourrait encore lancer ; mais comme ce dernier a disparu …). Désormais, plus rien ne peut arrêter ses troupes.
Tout semble effectivement perdu. Clara et les soldats sont sur le point d’être balayés par l’assaut des Cybermen (qui, tels les Borgs de Star Trek, parviennent à s’adapter à tout type d’attaque). Le Docteur va bientôt être vaincu dans la partie d’échecs. Le Cyber-Planner, comme il le craignait, n’est pas fiable. Après avoir libéré Angie et Artie après que le Docteur ait sacrifié sa reine, il lance Webley pour tuer les deux enfants. Mais Porridge arrive à ce moment-là et, à l’aide d’un générateur d'impulsions manuel, « grille » les circuits de Webley, le tuant par la même occasion. Mais le nain est mis K.O., s’affalant aux pieds de la table supportant le jeu d’échecs.
Alors que Clara, elle, croit sa dernière heure venue, le Docteur n’a pas dit son dernier mot, affirmant au Cyber-Planner qu’il peut emporter la partie d’échecs en trois coups. Après tout, « les Seigneurs du Temps ont inventé ce jeu », ajoute-t-il. (NB : en réalité, l’origine des échecs reste assez obscure. Ils viendraient d’Inde, avant d’être codifiés au 12e siècle en Europe. Mais les légendes se mêlent à l’histoire, embrouillant la plupart des pistes.)
Voulant à tout prix l’emporter, son adversaire utilise toutes ses ressources pour trouver la parade, arrêtant net, par la même occasion, l’avancée de ses troupes. A quelques secondes près, c’en était fini de Clara…
Alors que « l’adversaire dans sa tête » cherche en vain comment il pourrait gagner en si peu de coups, le Docteur exécute son attaque.
Coup n° 1 : activer le tournevis sonique.
Coup n° 2 : activer le générateur d'impulsions manuel laissé par Porridge à ses pieds.
Coup n° 3 : appliquer le générateur d'impulsions manuel sur les cyber-implants !
Les implants sont détruits – et le Cyber-Planner également !
Voulant à tout prix l’emporter, son adversaire utilise toutes ses ressources pour trouver la parade, arrêtant net, par la même occasion, l’avancée de ses troupes. A quelques secondes près, c’en était fini de Clara…
Alors que « l’adversaire dans sa tête » cherche en vain comment il pourrait gagner en si peu de coups, le Docteur exécute son attaque.
Coup n° 1 : activer le tournevis sonique.
Coup n° 2 : activer le générateur d'impulsions manuel laissé par Porridge à ses pieds.
Coup n° 3 : appliquer le générateur d'impulsions manuel sur les cyber-implants !
Les implants sont détruits – et le Cyber-Planner également !
Une fois libéré, le Docteur comprend qu’il n’y a malheureusement qu’une seule solution pour arrêter les Cybermen pour de bon : faire exploser la super-bombe et pulvériser la planète. Mais comment faire, puisque la télécommande est détruite et que la capitaine qui pouvait activer la commande vocale est morte ? La solution est pourtant simple : demander à l’Empereur de s’en charger ! L’Empereur ? Oui – Porridge, si vous préférez. Ce dernier tombe le masque : en effet, il est l’Empereur. Il ne voulait pas monter sur le trône. Mais on n’échappe pas à son destin…
Porridge active la super-bombe. Un ordre qui amène immédiatement le vaisseau amiral de son Empire en orbite. Tous les survivants (et le Tardis) sont téléportés à bord, tandis que la planète est pulvérisée sous leurs yeux, détruisant tous les Cybermen par la même occasion. Porridge, sous le charme de Clara, la demande alors en mariage, mais la jeune femme décline, n’ayant aucune envie d’être impératrice. Angie, elle, trouve stupide de refuser, déclarant qu’un jour, elle sera la Reine de l’Univers (rien que ça !).
Alors que le Tardis ramène Clara et les enfants à leur époque, le vaisseau amiral de l’Empereur Porridge scanne une dernière fois l’espace environnant pour s’assurer qu’il ne reste plus aucune trace de Cybermen, avant de rentrer chez eux. Mais, échappant aux scanners pourtant puissants, un cyber-insecte a bel et bien survécu…
Porridge active la super-bombe. Un ordre qui amène immédiatement le vaisseau amiral de son Empire en orbite. Tous les survivants (et le Tardis) sont téléportés à bord, tandis que la planète est pulvérisée sous leurs yeux, détruisant tous les Cybermen par la même occasion. Porridge, sous le charme de Clara, la demande alors en mariage, mais la jeune femme décline, n’ayant aucune envie d’être impératrice. Angie, elle, trouve stupide de refuser, déclarant qu’un jour, elle sera la Reine de l’Univers (rien que ça !).
Alors que le Tardis ramène Clara et les enfants à leur époque, le vaisseau amiral de l’Empereur Porridge scanne une dernière fois l’espace environnant pour s’assurer qu’il ne reste plus aucune trace de Cybermen, avant de rentrer chez eux. Mais, échappant aux scanners pourtant puissants, un cyber-insecte a bel et bien survécu…