Mortellement blessé par un Cyberman (voir 10.12 The Doctor falls), le Docteur arrive sur Terre, au cœur du Pôle Sud. Sans doute préfère-t-il le froid pour contrer le phénomène qui le frappe : bien que disposant encore de plusieurs incarnations, il refuse de se régénérer. Sortant péniblement du Tardis, il voit s’avancer une ombre. Quelle n’est pas sa surprise quand il réalise qu’il se retrouve nez-à-nez avec sa toute première incarnation !
Le 1er Docteur, lui aussi, refuse de se régénérer. Il a quitté son propre Tardis (enfin, le même Tardis, mais d’une autre époque bien sûr !) et Polly et Ben, ses compagnons de l’époque. Pourtant, le moment est venu, pour tous les deux, de laisser la place à leur « successeur » respectif. C’est évidemment essentiel dans le cas du 1er Docteur : s’il ne se régénère pas, tous les événements qui doivent suivre ne se produiront jamais ! (Et nous, pauvres téléspectateurs, n’auront jamais la chance de connaître la plus longue série de télévision de SF au monde !)
Mais « Numéro 12 » n’a guère le temps de parler des paradoxes que cela entraînerait (d’autant que « Numéro 1 » met un peu de temps à réaliser qui est en face de lui). En effet, ils ont à peine entamé leur conversation qu’ils se rendent compte que tout s’est figé autour d’eux. Pas seulement le paysage (là, rien d’étonnant en Antarctique). Les flocons de neige restent suspendus dans l’air !
Nouvelle surprise, quand apparaît alors un officier de l’armée britannique, qui se demande lui aussi ce qu’il fait là ! Quelques instants auparavant, il se trouvait encore sur un champ de bataille près de la ville d’Ypres, en Belgique ! (Durant la Première Guerre Mondiale – « pourquoi « Première » ? », s’étonne-t-il d’ailleurs, ignorant bien sûr qu’une autre suivra quelques décennies plus tard …) Tout ce dont il se souvient, c’est que, là aussi, tout, à part lui-même, s’était figé. Alors qu’il faisait face à un soldat allemand, les deux hommes étant sur le point de s’entretuer. En fait, non, tout n’était pas figé : juste avant d’arriver ici, il a vu une étrange forme humanoïde, transparente comme du verre !
Mais décidément, on se bouscule en Antarctique. Voilà maintenant qu’un énorme vaisseau apparaît au-dessus du Tardis (celui de « N° 12 ») et embarque tout le monde de force ! À bord, les deux Docteurs retrouvent Bill Potts ! Mais le 12e Docteur se méfie. Ce ne peut pas être son ex-compagne : la dernière fois qu’il l’a vue, la jeune femme avait été transformée en Cyber(wo)man…
Au poste de pilotage du mystérieux vaisseau, les deux Docteurs découvrent une forme humanoïde, transparente comme du verre (tiens donc ? …). Celle-ci leur explique qu’ils doivent lui livrer le militaire. C’est l’unique condition pour qu’elle les libère. Mais cela reviendrait à condamner l’officier à retourner sur le champ de bataille et à y mourir.
Refusant de céder à ce diktat, le 12e Docteur bondit hors du vaisseau, en compagnie du « Numéro 1 », du militaire et de « Bill Potts », utilisant les câbles qui ont amené le Tardis à bord, pour redescendre sur la terre (enfin, la glace) ferme. À quelques mètres du sol, le quatuor doit sauter du Tardis, avant que celui-ci ne soit à nouveau hissé à bord du vaisseau.
Qui sont donc ces humanoïdes ? Et pourquoi ont-ils kidnappé un soldat avant de vouloir le renvoyer exactement au même endroit et avec le même destin ? Il faut tirer tout cela au clair. Oui, mais comment ?
Le Tardis vient de lui être repris. Facile : qui dit deux Docteurs, dit deux Tardis…
Reste un problème : le Tardis « N°1 » n’a pas accès à des sources d’information suffisantes. Il ne reste une solution. Une source d’informations à nulle autre pareille : la mémoire collective … des Daleks !
Le 1er Docteur, lui aussi, refuse de se régénérer. Il a quitté son propre Tardis (enfin, le même Tardis, mais d’une autre époque bien sûr !) et Polly et Ben, ses compagnons de l’époque. Pourtant, le moment est venu, pour tous les deux, de laisser la place à leur « successeur » respectif. C’est évidemment essentiel dans le cas du 1er Docteur : s’il ne se régénère pas, tous les événements qui doivent suivre ne se produiront jamais ! (Et nous, pauvres téléspectateurs, n’auront jamais la chance de connaître la plus longue série de télévision de SF au monde !)
Mais « Numéro 12 » n’a guère le temps de parler des paradoxes que cela entraînerait (d’autant que « Numéro 1 » met un peu de temps à réaliser qui est en face de lui). En effet, ils ont à peine entamé leur conversation qu’ils se rendent compte que tout s’est figé autour d’eux. Pas seulement le paysage (là, rien d’étonnant en Antarctique). Les flocons de neige restent suspendus dans l’air !
Nouvelle surprise, quand apparaît alors un officier de l’armée britannique, qui se demande lui aussi ce qu’il fait là ! Quelques instants auparavant, il se trouvait encore sur un champ de bataille près de la ville d’Ypres, en Belgique ! (Durant la Première Guerre Mondiale – « pourquoi « Première » ? », s’étonne-t-il d’ailleurs, ignorant bien sûr qu’une autre suivra quelques décennies plus tard …) Tout ce dont il se souvient, c’est que, là aussi, tout, à part lui-même, s’était figé. Alors qu’il faisait face à un soldat allemand, les deux hommes étant sur le point de s’entretuer. En fait, non, tout n’était pas figé : juste avant d’arriver ici, il a vu une étrange forme humanoïde, transparente comme du verre !
Mais décidément, on se bouscule en Antarctique. Voilà maintenant qu’un énorme vaisseau apparaît au-dessus du Tardis (celui de « N° 12 ») et embarque tout le monde de force ! À bord, les deux Docteurs retrouvent Bill Potts ! Mais le 12e Docteur se méfie. Ce ne peut pas être son ex-compagne : la dernière fois qu’il l’a vue, la jeune femme avait été transformée en Cyber(wo)man…
Au poste de pilotage du mystérieux vaisseau, les deux Docteurs découvrent une forme humanoïde, transparente comme du verre (tiens donc ? …). Celle-ci leur explique qu’ils doivent lui livrer le militaire. C’est l’unique condition pour qu’elle les libère. Mais cela reviendrait à condamner l’officier à retourner sur le champ de bataille et à y mourir.
Refusant de céder à ce diktat, le 12e Docteur bondit hors du vaisseau, en compagnie du « Numéro 1 », du militaire et de « Bill Potts », utilisant les câbles qui ont amené le Tardis à bord, pour redescendre sur la terre (enfin, la glace) ferme. À quelques mètres du sol, le quatuor doit sauter du Tardis, avant que celui-ci ne soit à nouveau hissé à bord du vaisseau.
Qui sont donc ces humanoïdes ? Et pourquoi ont-ils kidnappé un soldat avant de vouloir le renvoyer exactement au même endroit et avec le même destin ? Il faut tirer tout cela au clair. Oui, mais comment ?
Le Tardis vient de lui être repris. Facile : qui dit deux Docteurs, dit deux Tardis…
Reste un problème : le Tardis « N°1 » n’a pas accès à des sources d’information suffisantes. Il ne reste une solution. Une source d’informations à nulle autre pareille : la mémoire collective … des Daleks !
Autour de l'épisode
Cet épisode spécial nous offre une rencontre inédite entre les premières et dernières incarnations (en date) du Docteur, à un double moment décisif de la vie du Seigneur du Temps. En effet, pour chacune de ces deux incarnations, le Docteur est sur le point de se régénérer, mais il refuse de le faire. L’épisode comble d’ailleurs ainsi un vide entre la fin du 1er Docteur et l’apparition de son successeur, qui n’avait pas été expliqué à l’époque. Et pour cause : on ne savait pas encore trop si le 2e Docteur était le même personnage que le 1er !
Quant au contexte de l’histoire, il aborde une époque bien sombre de notre histoire avec la soi-disant « Grande Guerre ». Et pourtant, l’esprit de Noël finit par s’imposer…
Quant au contexte de l’histoire, il aborde une époque bien sombre de notre histoire avec la soi-disant « Grande Guerre ». Et pourtant, l’esprit de Noël finit par s’imposer…