Affiche et synopsis
Il était une fois… Edward, un jeune homme issu de la création d’un savant génial. Il vit seul dans un château, coupé du reste du monde. Jusqu’au jour où une représentante en cosmétiques découvre le jeune homme et l’invite à vivre dans son foyer. Grâce à ses mains-ciseaux, Edward devient vite l’attraction principale des gens du quartier. La vie aurait pu suivre son cours paisiblement, si la jalousie et la peur de la différence n’avaient pas fini par gagner le voisinage…
Présentation
Tim Burton nous livre ici un film personnel, puisque il a eu l’idée de cette histoire en s’inspirant de son adolescence, une période difficile durant laquelle il avait de la peine à communiquer et se sentait différent des autres.
L’histoire d’Edward est donc un conte moderne, traitant de la différence, de l’exclusion, mais aussi de la découverte de soi. Il confronte le fantastique au conformisme. Le film alterne entre comédie, drame et sentiments. C’est une jolie histoire, toute simple, et assez prévisible. Mais c’est un divertissement sympa, que j’aime bien, avec de beaux décors et une belle musique, saupoudré d’une bonne dose d’humour. Les nanas du quartier des Boggs sont vraiment cinglées !
Ce qui me touche à chaque fois que je regarde le film, c’est l’émotion que transmet Edward, avec peu de mots, mais des attitudes révélatrices des sentiments qui l’anime. On doit bien sûr ceci au talent de l’acteur Johnny Depp.
Ce film, qui date de 1990, a d’ailleurs lancé la carrière de l’acteur, qui jusque là était connu des ados (comme moi à l’époque) pour son rôle principal de « Tom Hanson » dans la série « 21 Jumpstreet ». En incarnant Edward, il a réussi à briser cette image du jeune officier de police rebelle qui lui collait à la peau.
A cette époque, le film a aussi clairement associé Tim Burton au mouvement gothique. Il suffit de voir le look d’Edward, et vous comprendrez pourquoi !
Il est à noter également que c’est la dernière apparition de Vincent Price (l’inventeur d’Edward) à l’écran. L’acteur était connu pour ses rôles dans des films d’épouvantes, comme par exemple un film que j’aime bien : « L’Homme au Masque de Cire ». Il s'agit aussi de la première collaboration entre Tim Burton et Johnny Depp.
L’histoire d’Edward est donc un conte moderne, traitant de la différence, de l’exclusion, mais aussi de la découverte de soi. Il confronte le fantastique au conformisme. Le film alterne entre comédie, drame et sentiments. C’est une jolie histoire, toute simple, et assez prévisible. Mais c’est un divertissement sympa, que j’aime bien, avec de beaux décors et une belle musique, saupoudré d’une bonne dose d’humour. Les nanas du quartier des Boggs sont vraiment cinglées !
Ce qui me touche à chaque fois que je regarde le film, c’est l’émotion que transmet Edward, avec peu de mots, mais des attitudes révélatrices des sentiments qui l’anime. On doit bien sûr ceci au talent de l’acteur Johnny Depp.
Ce film, qui date de 1990, a d’ailleurs lancé la carrière de l’acteur, qui jusque là était connu des ados (comme moi à l’époque) pour son rôle principal de « Tom Hanson » dans la série « 21 Jumpstreet ». En incarnant Edward, il a réussi à briser cette image du jeune officier de police rebelle qui lui collait à la peau.
A cette époque, le film a aussi clairement associé Tim Burton au mouvement gothique. Il suffit de voir le look d’Edward, et vous comprendrez pourquoi !
Il est à noter également que c’est la dernière apparition de Vincent Price (l’inventeur d’Edward) à l’écran. L’acteur était connu pour ses rôles dans des films d’épouvantes, comme par exemple un film que j’aime bien : « L’Homme au Masque de Cire ». Il s'agit aussi de la première collaboration entre Tim Burton et Johnny Depp.