Illustration et quatrième de couverture
Au-delà du "Comment est-ce arrivé ?", la question qu'on va finalement se poser est la suivante : un esprit humain transféré dans le corps d'une machine perd-il son humanité ?
Le destin d'une jeune fille que rien de prédisposait à cela, de Moscou jusqu'à Vénus.
Une novella dans l'univers de SysSol.
Le destin d'une jeune fille que rien de prédisposait à cela, de Moscou jusqu'à Vénus.
Une novella dans l'univers de SysSol.
Fiche de lecture
Sacrée histoire qu'on a là !
Trois parties, trois époques sans liens apparents (et ce n'est pas moi qui vais dévoiler ce fameux lien).
Première partie, on découvre une chercheuse en robotique et IA, la meilleure de son domaine, appelée à la rescousse pour enquêter sur un faux meurtre et une jeune fille persuadée d'être un robot venu du futur... Mais point de Terminator ici, la réalité est bien plus complexe.
La deuxième partie nous fait retrouver notre chercheuse bien des années plus tard, faisant des expériences pour copier des souvenirs dans un androïde, essayant de voir s'il est possible de copier une personnalité complète, recherches qui vont avoir une fin tragique.
La dernière partie enfin se déroule sur Vénus, encore quelques années plus tard, mais je préfère laisser la découverte au lecteur...
Que dire de tout ça ? Pour le lecteur habitué à JC Gapdy, on est en terrain connu avec SysSol, aucun problème de ce côté. L'auteur s'amuse à s'insérer les habituelles références plus ou moins cachées qu'il aime à intégrer, là en faisant référence à la première nouvelle de son recueil Aliens, Vaisseau & Cie. L'amateur de rock lui se prendra à siffler lors d'une ballade moscovite de notre chercheuse.
Mais en dehors de ces petites joyeusetés, l'histoire est dure, violente et triste, mais aussi très belle, pleine d'amour.
Dernier intérêt, et pas des moindres, la dernière ligne de la chronologie à la fin nous révèle un lien avec un pan de l'univers syssolien, celui de Gerulf (La Reine du Diable Rouge) et une enquête à venir.
On en parle ailleurs :
👉 Gynoïdes - Le chien critique
Trois parties, trois époques sans liens apparents (et ce n'est pas moi qui vais dévoiler ce fameux lien).
Première partie, on découvre une chercheuse en robotique et IA, la meilleure de son domaine, appelée à la rescousse pour enquêter sur un faux meurtre et une jeune fille persuadée d'être un robot venu du futur... Mais point de Terminator ici, la réalité est bien plus complexe.
La deuxième partie nous fait retrouver notre chercheuse bien des années plus tard, faisant des expériences pour copier des souvenirs dans un androïde, essayant de voir s'il est possible de copier une personnalité complète, recherches qui vont avoir une fin tragique.
La dernière partie enfin se déroule sur Vénus, encore quelques années plus tard, mais je préfère laisser la découverte au lecteur...
Que dire de tout ça ? Pour le lecteur habitué à JC Gapdy, on est en terrain connu avec SysSol, aucun problème de ce côté. L'auteur s'amuse à s'insérer les habituelles références plus ou moins cachées qu'il aime à intégrer, là en faisant référence à la première nouvelle de son recueil Aliens, Vaisseau & Cie. L'amateur de rock lui se prendra à siffler lors d'une ballade moscovite de notre chercheuse.
Mais en dehors de ces petites joyeusetés, l'histoire est dure, violente et triste, mais aussi très belle, pleine d'amour.
Dernier intérêt, et pas des moindres, la dernière ligne de la chronologie à la fin nous révèle un lien avec un pan de l'univers syssolien, celui de Gerulf (La Reine du Diable Rouge) et une enquête à venir.
On en parle ailleurs :
👉 Gynoïdes - Le chien critique