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Affiche et synopsis
Le monde sait désormais que l'inventeur milliardaire Tony Stark et le super-héros Iron Man ne font qu'un. Malgré la pression du gouvernement, de la presse et du public pour qu'il partage sa technologie avec l'armée, Tony n'est pas disposé à divulguer les secrets de son armure, redoutant que l'information atterrisse dans de mauvaises mains. Avec Pepper Potts et James "Rhodey" Rhodes à ses côtés, Tony va forger de nouvelles alliances et affronter de nouvelles forces toutes-puissantes...
Présentation
Tony Stark était incapable de garder un tel secret : devant la presse, il n’a guère tardé à reconnaître qu’il est Iron Man. Conséquence : une commission du Congrès américain le somme de partager les plans de son armure avec l’armée américaine.
Mais, ayant toujours réponse à tout, le milliardaire ridiculise ses interlocuteurs (et au passage, Justin Hammer, l’un de ses concurrents), en démontrant qu’il a des années d’avance technologique sur les projets tentant de l’imiter. « J’ai privatisé la paix mondiale. », conclue-t-il en quittant les lieux.
Mais, derrière la façade de l’homme sûr de lui, Tony cache un grave problème : le palladium, la matière qui alimente le mini-réacteur dans sa poitrine est lentement en train de l’empoisonner. Il lui faut trouver une alternative au palladium. Malheureusement, il n’en existe aucune.
Comme si cela ne suffisait pas, alors qu’il participe à une course automobile, Stark voit débarquer un individu pourvu de fouets électriques qui découpent les voitures comme du beurre. Alors que la course tourne au cauchemar, Stark parvient à enfiler son armure et à stopper l’agresseur. Mais son équipement également est fortement endommagé, démontrant qu’il n’est pas invincible.
Comme le hurle son agresseur, Iron Man vient de perdre la bataille...
Reprenant les mêmes ingrédients, « Iron Man » n’apporte guère plus que le premier opus. Il permet surtout de mettre en place plusieurs éléments et personnages qui seront repris dans les films suivants. Robert Downey Jr, lui, est toujours aussi impeccable dans le rôle du héros qu’on déteste et adore en même temps. Dans le rôle du méchant, Mickey Rourke mérite aussi les bravos.
Mais, ayant toujours réponse à tout, le milliardaire ridiculise ses interlocuteurs (et au passage, Justin Hammer, l’un de ses concurrents), en démontrant qu’il a des années d’avance technologique sur les projets tentant de l’imiter. « J’ai privatisé la paix mondiale. », conclue-t-il en quittant les lieux.
Mais, derrière la façade de l’homme sûr de lui, Tony cache un grave problème : le palladium, la matière qui alimente le mini-réacteur dans sa poitrine est lentement en train de l’empoisonner. Il lui faut trouver une alternative au palladium. Malheureusement, il n’en existe aucune.
Comme si cela ne suffisait pas, alors qu’il participe à une course automobile, Stark voit débarquer un individu pourvu de fouets électriques qui découpent les voitures comme du beurre. Alors que la course tourne au cauchemar, Stark parvient à enfiler son armure et à stopper l’agresseur. Mais son équipement également est fortement endommagé, démontrant qu’il n’est pas invincible.
Comme le hurle son agresseur, Iron Man vient de perdre la bataille...
Reprenant les mêmes ingrédients, « Iron Man » n’apporte guère plus que le premier opus. Il permet surtout de mettre en place plusieurs éléments et personnages qui seront repris dans les films suivants. Robert Downey Jr, lui, est toujours aussi impeccable dans le rôle du héros qu’on déteste et adore en même temps. Dans le rôle du méchant, Mickey Rourke mérite aussi les bravos.