Affiche et synopsis
Autre(s) article(s) :
Dix ans après les événements surréalistes survenus lors de sa visite au Jurassic Park du richissime John Hammond, le paléontologue Alan Grant se rappelle toujours de sa rencontre, d'abord magique puis effroyable, avec ces dinosaures ramenés à la vie grâce aux incroyables progrès de la génétique. À l'origine, ces créatures de la Préhistoire n'étaient pas censées se reproduire ni survivre, mais elles ont déjoué les plans des scientifiques. Elles sont probablement toujours en vie sur l'île Isla Sorna...
Présentation
Le monde entier connaît désormais l’existence des dinosaures ressuscités par InGen, mais personne n’a le droit de les voir : interdiction absolue d’accéder ou même de survoler les lieux. Une interdiction qui ne peut que tenter quelques têtes brûlées …
Le Docteur Alan Grant est devenu une célébrité : ses conférences réunissent un public nombreux. Pas vraiment pour ses travaux et recherches en paléontologie, mais surtout pour avoir survécu, 8 ans plus tôt, aux dangers de Jurassic Park ! Sa vie sentimentale, par contre, n’est pas au mieux : sans doute fatiguée d’attendre de fonder une famille, Ellie Sattler, son ex-compagne, s’est mariée avec un autre, et est désormais la mère de deux jeunes enfants.
Pour Alan, célébrité ne rime pas non plus avec entrée d’argent : le site sur lequel il travaille manque cruellement de moyens. Aussi, poussé par son assistant, Bill, il finit par accepter la somme rondelette proposée par Paul et Amanda Kirby, un couple fortuné, en échange d’un survol de « l’île aux dinosaures » (survol obtenu par le couple grâce à leurs relations – et à leurs dollars).
Mais de survol, il n’en est guère question : à peine a-t-il commencé à décrire les animaux qu’ils voient du ciel, qu’Alan réalise que l’avion va se poser ! Voulant les en empêcher, il est mis K.O. par l’un des passagers. A son réveil, Amanda Kirby, sortie de l’appareil, est en train d’utiliser un porte-voix pour appeler Eric, son fils, disparu il y a plusieurs semaines en survolant l’île en parachute ascensionnel. Les chances sont minces de le retrouver, mais les parents n’ont pu se résoudre à abandonner tout espoir. Leur expédition n’a évidemment pas du tout été accordée par les autorités, et les « mercenaires » qu’ils ont engagés ne sont que des aventuriers, peu conscients du danger qui les guette ici.
Et le danger ne tarde pas, quand une créature encore plus impressionnante que le T-Rex apparaît pour dévorer l’un des mercenaires, avant de provoquer la chute de l’avion qui tentait de quitter l’île en catastrophe. Bloqué au milieu d’Isla Sorna (qu’Alan ne connaît pas : le premier film se déroulait sur Isla Nublar), les survivants vont tenter de rejoindre les côtes de l’île tout en espérant retrouver le jeune Eric.
Si Steven Spielberg a, cette fois, cédé les commandes à Joe Johnston, on retrouve toujours le même « pitch » : une poignée d’humains, dépourvus de moyens de défense, se retrouvent face à des dinosaures prêts à les dévorer. Cette fois, toutefois, le T-Rex cède la place à quelque chose de plus gros et de plus affamé encore.
Cela dit, on n’a pas vraiment le temps de s’ennuyer, car il y a peu de temps morts et que l’histoire est des plus courtes (moins de 90 minutes).
Tout de même, si la faune varie enfin par rapport aux deux films précédents, on peut se demander, à l’instar de ce que dit John Hammond à la fin du long métrage précédent, s’il ne vaudrait pas mieux laisser ces animaux tranquilles – et ne plus faire de film « jurassique » …
A noter, d’autre part, la brève apparition de Linda Park (Hoshi Sato dans Star Trek Enterprise) en tant que secrétaire d’Ellie.
Le Docteur Alan Grant est devenu une célébrité : ses conférences réunissent un public nombreux. Pas vraiment pour ses travaux et recherches en paléontologie, mais surtout pour avoir survécu, 8 ans plus tôt, aux dangers de Jurassic Park ! Sa vie sentimentale, par contre, n’est pas au mieux : sans doute fatiguée d’attendre de fonder une famille, Ellie Sattler, son ex-compagne, s’est mariée avec un autre, et est désormais la mère de deux jeunes enfants.
Pour Alan, célébrité ne rime pas non plus avec entrée d’argent : le site sur lequel il travaille manque cruellement de moyens. Aussi, poussé par son assistant, Bill, il finit par accepter la somme rondelette proposée par Paul et Amanda Kirby, un couple fortuné, en échange d’un survol de « l’île aux dinosaures » (survol obtenu par le couple grâce à leurs relations – et à leurs dollars).
Mais de survol, il n’en est guère question : à peine a-t-il commencé à décrire les animaux qu’ils voient du ciel, qu’Alan réalise que l’avion va se poser ! Voulant les en empêcher, il est mis K.O. par l’un des passagers. A son réveil, Amanda Kirby, sortie de l’appareil, est en train d’utiliser un porte-voix pour appeler Eric, son fils, disparu il y a plusieurs semaines en survolant l’île en parachute ascensionnel. Les chances sont minces de le retrouver, mais les parents n’ont pu se résoudre à abandonner tout espoir. Leur expédition n’a évidemment pas du tout été accordée par les autorités, et les « mercenaires » qu’ils ont engagés ne sont que des aventuriers, peu conscients du danger qui les guette ici.
Et le danger ne tarde pas, quand une créature encore plus impressionnante que le T-Rex apparaît pour dévorer l’un des mercenaires, avant de provoquer la chute de l’avion qui tentait de quitter l’île en catastrophe. Bloqué au milieu d’Isla Sorna (qu’Alan ne connaît pas : le premier film se déroulait sur Isla Nublar), les survivants vont tenter de rejoindre les côtes de l’île tout en espérant retrouver le jeune Eric.
Si Steven Spielberg a, cette fois, cédé les commandes à Joe Johnston, on retrouve toujours le même « pitch » : une poignée d’humains, dépourvus de moyens de défense, se retrouvent face à des dinosaures prêts à les dévorer. Cette fois, toutefois, le T-Rex cède la place à quelque chose de plus gros et de plus affamé encore.
Cela dit, on n’a pas vraiment le temps de s’ennuyer, car il y a peu de temps morts et que l’histoire est des plus courtes (moins de 90 minutes).
Tout de même, si la faune varie enfin par rapport aux deux films précédents, on peut se demander, à l’instar de ce que dit John Hammond à la fin du long métrage précédent, s’il ne vaudrait pas mieux laisser ces animaux tranquilles – et ne plus faire de film « jurassique » …
A noter, d’autre part, la brève apparition de Linda Park (Hoshi Sato dans Star Trek Enterprise) en tant que secrétaire d’Ellie.