Affiche et synopsis
L'Indominus Rex, un dinosaure génétiquement modifié, pure création de la scientifique Claire Dearing, sème la terreur dans le fameux parc d'attraction. Les espoirs de mettre fin à cette menace reptilienne se portent alors sur le dresseur de raptors Owen Grady et sa cool attitude...
Présentation
Vingt-deux ans après la découverte du premier parc, le rêve de John Hammond se réalise enfin et un immense parc aux dinosaures voit alors le jour, en lieu et place du précédent. Cette fois-ci, les moyens de sécurité sont renforcés et de nombreux visiteurs affluent chaque année pour y découvrir des spécimens ramenés à la vie. Mais, ce qui semblait inédit en 1993 est très vite devenu banal pour la plupart du public. Jurassic World se devait donc d’innover afin de continuer à surprendre et faire des entrées.
Périodiquement, une nouvelle espèce est ainsi introduite pour le plus grand plaisir des petits et des grands. Cependant, pourquoi ne pas aller plus loin et ainsi créer des dinosaures selon ses attentes plutôt que de se limiter à l’ADN que l’on retrouve piégée dans l’ambre ?
Cette question en apparence anodine va ainsi aboutir à la création de l’Indominus Rex, espèce conçue à partir du génome de plusieurs autres. Plus de dents, une taille imposante, des capacités hors du commun, voilà qui devrait occasionner des retombées financières importantes pour le parc. Mais, peut-on vraiment se toiser de maîtriser une créature inconnue et mue par le désir de tuer ? Le nom du parc et l’histoire de la franchise ne devrait guère vous laisser l’ombre d’un doute…
Avant d’entamer cette critique et par honnêteté intellectuelle, je me dois de vous indiquer que j’ai beaucoup apprécié les trois précédents opus et qu’à ce titre je ne considère pas les deux suites que sont les 2 et 3, comme des suites ratées. Ce quatrième film n’a pas dérogé à la règle.
Jurassic World s’inscrit dans la suite directe de la saga et s’offre un retour aux origines. Les références au premier film y sont en effet nombreuses, ce que ne manqueront pas de remarquer les fans aguerris. Certaines sont subtiles, d’autres moins, il y en a donc pour chacun. En outre, on y retrouve tout ce qui a fait le succès de Jurassic Park avec des prises de vue et des effets spéciaux encore plus bluffants qu’il y a 22 ans. Le nouveau parc s’offre un décor à la fois moderne et épuré qui n’est pas sans rappeler nos parcs à thèmes contemporains. Doté des technologies de pointe en matière de communication, l’immersion y est rapide et totale.
Quant au scénario, si celui-ci ne s’écarte pas trop de celui du premier volet, il ouvre néanmoins de nouveaux axes de réflexions notamment sur le plan des applications militaires des dinosaures ressuscités. Le rôle de la génétique y a également une place prépondérante. Notez par ailleurs qu’il est grandement préférable de ne pas avoir suivi toutes les bandes annonces et trailers diffusés au cours de ces derniers mois. Ceux-ci spoilent en effet les trois quarts de l’histoire. Dommage.
Si beaucoup se sont inquiétés des premières images montrant Chris Pratt (alias Owen) en train de dompter des vélociraptors, qu’ils se rassurent, le développement qui en est fait dans le film est cohérent. Mieux encore, il apporte un réel plus à l’histoire d’ensemble sans dénaturer le concept même de Jurassic Park, lequel étant basé sur une opposition humain-dinosaure.
Enfin, on ne manquera pas d’être nostalgique à l’arrivée du thème musical de la saga. C’est par ailleurs, Michael Giacchino qui s’est cette fois-ci occupé de la bande son du film.
En conclusion, la licence Jurassic Park, ne s’est nullement fossilisée avec les années. Alliant renouveau et nostalgie, Jurassic World plaira assurément aux fans inconditionnels du premier opus même si ceux-ci n’ont pas adhéré aux suites. Sans les renier, Jurassic World n’y fait en effet jamais référence. Je vous conseille également d’aller voir le film en 3D tant celle-ci est de bonne qualité et se prête tout particulièrement bien au concept du dinosaure.
Remarque : Il n’y a pas de scène post-générique.
Périodiquement, une nouvelle espèce est ainsi introduite pour le plus grand plaisir des petits et des grands. Cependant, pourquoi ne pas aller plus loin et ainsi créer des dinosaures selon ses attentes plutôt que de se limiter à l’ADN que l’on retrouve piégée dans l’ambre ?
Cette question en apparence anodine va ainsi aboutir à la création de l’Indominus Rex, espèce conçue à partir du génome de plusieurs autres. Plus de dents, une taille imposante, des capacités hors du commun, voilà qui devrait occasionner des retombées financières importantes pour le parc. Mais, peut-on vraiment se toiser de maîtriser une créature inconnue et mue par le désir de tuer ? Le nom du parc et l’histoire de la franchise ne devrait guère vous laisser l’ombre d’un doute…
Avant d’entamer cette critique et par honnêteté intellectuelle, je me dois de vous indiquer que j’ai beaucoup apprécié les trois précédents opus et qu’à ce titre je ne considère pas les deux suites que sont les 2 et 3, comme des suites ratées. Ce quatrième film n’a pas dérogé à la règle.
Jurassic World s’inscrit dans la suite directe de la saga et s’offre un retour aux origines. Les références au premier film y sont en effet nombreuses, ce que ne manqueront pas de remarquer les fans aguerris. Certaines sont subtiles, d’autres moins, il y en a donc pour chacun. En outre, on y retrouve tout ce qui a fait le succès de Jurassic Park avec des prises de vue et des effets spéciaux encore plus bluffants qu’il y a 22 ans. Le nouveau parc s’offre un décor à la fois moderne et épuré qui n’est pas sans rappeler nos parcs à thèmes contemporains. Doté des technologies de pointe en matière de communication, l’immersion y est rapide et totale.
Quant au scénario, si celui-ci ne s’écarte pas trop de celui du premier volet, il ouvre néanmoins de nouveaux axes de réflexions notamment sur le plan des applications militaires des dinosaures ressuscités. Le rôle de la génétique y a également une place prépondérante. Notez par ailleurs qu’il est grandement préférable de ne pas avoir suivi toutes les bandes annonces et trailers diffusés au cours de ces derniers mois. Ceux-ci spoilent en effet les trois quarts de l’histoire. Dommage.
Si beaucoup se sont inquiétés des premières images montrant Chris Pratt (alias Owen) en train de dompter des vélociraptors, qu’ils se rassurent, le développement qui en est fait dans le film est cohérent. Mieux encore, il apporte un réel plus à l’histoire d’ensemble sans dénaturer le concept même de Jurassic Park, lequel étant basé sur une opposition humain-dinosaure.
Enfin, on ne manquera pas d’être nostalgique à l’arrivée du thème musical de la saga. C’est par ailleurs, Michael Giacchino qui s’est cette fois-ci occupé de la bande son du film.
En conclusion, la licence Jurassic Park, ne s’est nullement fossilisée avec les années. Alliant renouveau et nostalgie, Jurassic World plaira assurément aux fans inconditionnels du premier opus même si ceux-ci n’ont pas adhéré aux suites. Sans les renier, Jurassic World n’y fait en effet jamais référence. Je vous conseille également d’aller voir le film en 3D tant celle-ci est de bonne qualité et se prête tout particulièrement bien au concept du dinosaure.
Remarque : Il n’y a pas de scène post-générique.