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Affiche et synopsis
Dave Lizewski est un adolescent sans rien de particulier, dans un lycée quelconque de New York. Gavé de B.D. de super-héros, il se demande pourquoi on ne croise pas de "vrais" super-héros dans la vie réelle. Avec toute la candeur de son âge, il décide donc d'en devenir un. Evidemment, comme il n'a aucun pouvoir, les choses ne se déroulent pas comme dans les livres qu'il lit. Ses débuts, catastrophiques, l'envoient d'ailleurs à l'hôpital pour un temps. Il ne renonce pas pour autant, et sauve ensuite la vie d'un homme, un peu par hasard, sous les yeux de quelques spectateurs qui sortent leurs GSM pour filmer la scène. On ne parle désormais plus que de ce mystérieux Kick-Ass, ce qui n'est pas fait pour déplaire à Dave. Mais cela ne va pas que lui apporter de bonnes choses. Un duo d'autres "super-héros", autrement mieux préparés, entrent dans la danse, animés par une vengeance, tandis que la mafia locale se décide à supprimer ce gêneur de Kick-Ass.
Présentation
Et si un garçon ordinaire se décidait à faire régner la justice armé uniquement de 2 bâtons et caché sous un costume ridicule ? C'est ce qui se passe dans ce film, tiré d'une B.D. du même nom.
Voilà un film qu'on ne conseillera pas aux âmes sensibles ni aux plus jeunes... Le film est violent, trash et les mots châtiés y sont légion. Néanmoins, le film n'est pas dénué de qualités. Il faut aller au-delà du premier degré et "lire entre les lignes".
Les clins d'oeil sont nombreux : le héros perd sa mère d'une rupture d'anévrisme (pas parce que le super-vilain l'a tuée - donc pas de motivation par la vengeance pour le héros), "sans grand pouvoir, pas de grande responsabilité" (l'inverse de Spiderman), le héros tente de se jauger en sautant entre deux immeubles (toujours Spiderman) avant de s'arrêter juste au bord, ...
On y trouve aussi, implicitement, une critique des jeux virtuels, quand on voit la jeune super-héroïne du film éliminer toute une série d'hommes de main : la scène est montrée à travers les yeux du personnage, comme si vous teniez la manette de votre console de jeux.
L'ennui, c'est qu'on fait tellement la part belle à la violence qu'on ne perçoit guère ce qui se cache derrière. Une chose qui a d'ailleurs généré pas mal de polémique, vu le jeune âge d'une des actrices (Chloë Moretz, 11 ans), qui a un des rôles les plus violents du film.
Voilà un film qu'on ne conseillera pas aux âmes sensibles ni aux plus jeunes... Le film est violent, trash et les mots châtiés y sont légion. Néanmoins, le film n'est pas dénué de qualités. Il faut aller au-delà du premier degré et "lire entre les lignes".
Les clins d'oeil sont nombreux : le héros perd sa mère d'une rupture d'anévrisme (pas parce que le super-vilain l'a tuée - donc pas de motivation par la vengeance pour le héros), "sans grand pouvoir, pas de grande responsabilité" (l'inverse de Spiderman), le héros tente de se jauger en sautant entre deux immeubles (toujours Spiderman) avant de s'arrêter juste au bord, ...
On y trouve aussi, implicitement, une critique des jeux virtuels, quand on voit la jeune super-héroïne du film éliminer toute une série d'hommes de main : la scène est montrée à travers les yeux du personnage, comme si vous teniez la manette de votre console de jeux.
L'ennui, c'est qu'on fait tellement la part belle à la violence qu'on ne perçoit guère ce qui se cache derrière. Une chose qui a d'ailleurs généré pas mal de polémique, vu le jeune âge d'une des actrices (Chloë Moretz, 11 ans), qui a un des rôles les plus violents du film.