Affiche et synopsis
T.S. Spivet vit dans un ranch isolé du Montana avec ses parents, sa soeur Gracie et son frère Layton. Petit garçon surdoué et passionné de science, il a inventé la machine à mouvement perpétuel, ce qui lui vaut de recevoir le très prestigieux prix Baird du Musée Smithsonian de Washington. Sans rien dire à sa famille, il part, seul, chercher sa récompense et traverse les Etats-Unis sur un train de marchandises. Mais personne là-bas n'imagine que l'heureux lauréat n'a que dix ans et qu'il porte un bien lourd secret...
Présentation
La famille Spivet vit dans un ranch, au milieu des vertes prairies du Montana. Les parents sont on ne peut plus différents : le père, taciturne, est un nostalgique de l’époque des cowboys qu’il aurait aimé connaître, tandis que la mère, passionnée d’entomologie, passe ses journées à récolter et répertorier toutes sortes d’insectes. Parmi leurs enfants, le jeune T.S. (10 ans) est un véritable génie, au cerveau toujours en éveil. Mais comme la plupart des génies, il ne se sent pas toujours à l’aise ni à sa place, des sentiments encore renforcés depuis un récent drame familial.
Lorsqu’il assiste à une présentation consacrée à la recherche du mouvement perpétuel, T.S. se décide à résoudre ce problème. Le jeune garçon finit par trouver la réponse, là où de nombreux chercheurs avaient pourtant échoués. Sa découverte lui vaut de remporter un prestigieux prix accordé par le Smithsonian Museum, à Washington. Ayant caché son jeune âge, il est invité à la cérémonie de remise du prix.
Sans en parler à personne, T.S. commence alors un voyage en solitaire jusqu’à la capitale américaine...
Jean-Pierre Jeunet, à qui l’on doit, entre autres, le célébrissime « Fabuleux Destin d'Amélie Poulain », signe ici un nouveau petit bijou. L’adaptation du roman de l’Américain Reif Larsen n’a rien d’une partie de plaisir. Non seulement, il faut transposer à l’écran la multitude de dessins sensés, entre autres, visualiser les pensées du personnage principal, et qui truffent l’œuvre écrite, mais le tournage lui-même est largement perturbé par l’absence fréquente de Kyle Catlett (T.S. Spivet), engagé à son insu par son agent par une autre production au même moment !
Récompensé d’un César, « T.S. Spivet », sensé se dérouler aux USA, mais principalement tourné au Canada, réunit aussi une distribution internationale (USA, Canada, Angleterre, Australie) et une équipe de tournage franco-canadienne.
Hélas, le succès n’a pas été au rendez-vous, les entrées en salle couvrant moins du tiers du budget. Un grand regret, car le film mérite largement le détour (ayant eu la chance de la croiser, par hasard, j’ai pu constater combien Helena Bonham Carter, qui interprète le mère de T.S., regrettait également le peu de succès rencontré par le film).
Mais il n’est pas trop tard pour le découvrir en DVD, dont on espérera que les ventes renfloueront quelque peu les caisses !
Lorsqu’il assiste à une présentation consacrée à la recherche du mouvement perpétuel, T.S. se décide à résoudre ce problème. Le jeune garçon finit par trouver la réponse, là où de nombreux chercheurs avaient pourtant échoués. Sa découverte lui vaut de remporter un prestigieux prix accordé par le Smithsonian Museum, à Washington. Ayant caché son jeune âge, il est invité à la cérémonie de remise du prix.
Sans en parler à personne, T.S. commence alors un voyage en solitaire jusqu’à la capitale américaine...
Jean-Pierre Jeunet, à qui l’on doit, entre autres, le célébrissime « Fabuleux Destin d'Amélie Poulain », signe ici un nouveau petit bijou. L’adaptation du roman de l’Américain Reif Larsen n’a rien d’une partie de plaisir. Non seulement, il faut transposer à l’écran la multitude de dessins sensés, entre autres, visualiser les pensées du personnage principal, et qui truffent l’œuvre écrite, mais le tournage lui-même est largement perturbé par l’absence fréquente de Kyle Catlett (T.S. Spivet), engagé à son insu par son agent par une autre production au même moment !
Récompensé d’un César, « T.S. Spivet », sensé se dérouler aux USA, mais principalement tourné au Canada, réunit aussi une distribution internationale (USA, Canada, Angleterre, Australie) et une équipe de tournage franco-canadienne.
Hélas, le succès n’a pas été au rendez-vous, les entrées en salle couvrant moins du tiers du budget. Un grand regret, car le film mérite largement le détour (ayant eu la chance de la croiser, par hasard, j’ai pu constater combien Helena Bonham Carter, qui interprète le mère de T.S., regrettait également le peu de succès rencontré par le film).
Mais il n’est pas trop tard pour le découvrir en DVD, dont on espérera que les ventes renfloueront quelque peu les caisses !