Illustration et quatrième de couverture
La Cité diaphane @ 2023 éditions Argyll | Illustration de couverture @ Xavier Collette
Merveille architecturale élancée vers le ciel, Roche-Étoile a connu la splendeur et la chute. La cité sainte de la déesse sans visage est maudite, réduite à l’état de nécropole brumeuse depuis que les eaux de son lac et de ses puits se sont changées en poison mortel.
Sept ans après le drame, l’archiviste d’un royaume voisin se rend dans la cité défunte avec pour mission de reconstituer le récit de ses derniers jours. Mais il s’avère bientôt que Roche-Étoile abrite encore quelques âmes, en proie à la souffrance ou à la folie, et celles-ci ne semblent guère disposées à livrer leur témoignage.
Un jeu de dupe commence alors entre l’archiviste et ces esprits égarés, dans les dédales d’une cité où la vérité ne se dessine qu’en clair-obscur, où dénouer la toile du passé peut vite devenir un piège cruel.
Note : illustrations intérieures d'Anouck Faure
Sept ans après le drame, l’archiviste d’un royaume voisin se rend dans la cité défunte avec pour mission de reconstituer le récit de ses derniers jours. Mais il s’avère bientôt que Roche-Étoile abrite encore quelques âmes, en proie à la souffrance ou à la folie, et celles-ci ne semblent guère disposées à livrer leur témoignage.
Un jeu de dupe commence alors entre l’archiviste et ces esprits égarés, dans les dédales d’une cité où la vérité ne se dessine qu’en clair-obscur, où dénouer la toile du passé peut vite devenir un piège cruel.
Note : illustrations intérieures d'Anouck Faure
Fiche de lecture
C’est un véritable coup de cœur que j’ai ressenti pour ce très beau premier roman d’Anouck Faure : La Cité diaphane, paru chez Argyll.
La couverture, magnifiquement illustrée par Xavier Collette, reflète à la perfection l’ambiance de l’histoire. Il s’agit d’un roman de fantaisie pour adulte, gothique et sombre, se déroulant à Roche-Étoile, une cité érigée au milieu d’un lac. Il y a sept ans, un mal mystérieux a emporté tous ses habitants. Un archiviste d’un royaume voisin est mandaté pour recueillir les récits écrits des derniers instants. Il ira de surprise en surprise tout comme le lecteur.
Que vous dire de plus, pour vous donner envie de lire ce livre, sans trop en dévoiler ? Que la plume poétique de l’autrice m’a emportée ? Que je me suis surprise à lire à voix haute les phrases pour mieux les goûter ? Que j’ai été impressionnée par la qualité des illustrations intérieures réalisées de la main même de l’autrice ? Que j’aurais aimé détester le narrateur, mais que je n’y suis pas arrivée, bien au contraire ? Que j’avais un mal fou à poser le livre le soir, tant Anouck Faure sait jouer avec la curiosité du lecteur ?
J’espère vous avoir convaincu. Sincèrement, cela serait dommage de passer à côté de ce très beau roman !
Retrouvez le premier chapitre ainsi qu’une interview de l’autrice sur la page de l’éditeur : https://argyll.fr/tag/anouck-faure/
La couverture, magnifiquement illustrée par Xavier Collette, reflète à la perfection l’ambiance de l’histoire. Il s’agit d’un roman de fantaisie pour adulte, gothique et sombre, se déroulant à Roche-Étoile, une cité érigée au milieu d’un lac. Il y a sept ans, un mal mystérieux a emporté tous ses habitants. Un archiviste d’un royaume voisin est mandaté pour recueillir les récits écrits des derniers instants. Il ira de surprise en surprise tout comme le lecteur.
Que vous dire de plus, pour vous donner envie de lire ce livre, sans trop en dévoiler ? Que la plume poétique de l’autrice m’a emportée ? Que je me suis surprise à lire à voix haute les phrases pour mieux les goûter ? Que j’ai été impressionnée par la qualité des illustrations intérieures réalisées de la main même de l’autrice ? Que j’aurais aimé détester le narrateur, mais que je n’y suis pas arrivée, bien au contraire ? Que j’avais un mal fou à poser le livre le soir, tant Anouck Faure sait jouer avec la curiosité du lecteur ?
J’espère vous avoir convaincu. Sincèrement, cela serait dommage de passer à côté de ce très beau roman !
Retrouvez le premier chapitre ainsi qu’une interview de l’autrice sur la page de l’éditeur : https://argyll.fr/tag/anouck-faure/