Illustration et quatrième de couverture
La Tentation des fous : Dispersion @ 2024 Arkuiris | Illustration de couverture @ Loan Treca & Violaine Treca
Dans ce roman-monde d'une ambition inédite, rien n'est vraiment ce qu'il paraît.
Tarja-Al, la Secrétaire générale de la Confédération des Objets Astraux Habitables, éprouve bien des difficultés à gérer ses cinq planètes.
L'équilibre est fragile entre Taylo la productiviste et Fatna la commerçante où tout semble permis. La confrérie des Banquiers contemplatifs d'Icarius prône l'inertie et les éleveurs de coquillages des atolls-flottants du Panocéan d'Atolu ne s'en soucient guère. Quant aux Avalonais, ils subissent le joug d'une étonnante puissance que tous appellent Graal.
Qu'espère donc trouver la corvette du planétoïde minier Freeport dans le monde aride et lointain vers lequel elle se dirige ?
Les tiroirs s'ouvrent peu à peu sur des complots et des manipulations qui n'engagent pas seulement les êtres humains, mais aussi d'autres formes d'intelligence.
Tarja-Al, la Secrétaire générale de la Confédération des Objets Astraux Habitables, éprouve bien des difficultés à gérer ses cinq planètes.
L'équilibre est fragile entre Taylo la productiviste et Fatna la commerçante où tout semble permis. La confrérie des Banquiers contemplatifs d'Icarius prône l'inertie et les éleveurs de coquillages des atolls-flottants du Panocéan d'Atolu ne s'en soucient guère. Quant aux Avalonais, ils subissent le joug d'une étonnante puissance que tous appellent Graal.
Qu'espère donc trouver la corvette du planétoïde minier Freeport dans le monde aride et lointain vers lequel elle se dirige ?
Les tiroirs s'ouvrent peu à peu sur des complots et des manipulations qui n'engagent pas seulement les êtres humains, mais aussi d'autres formes d'intelligence.
Fiche de lecture
Vous aimez le Space Opera ? Voici un échantillon de cosmos où chaque monde ne ressemble ni à son voisin, ni même à rien de connu. Étonnement garanti. À noter déjà ce détail curieux : Icar est à la fois le pseudo de l’auteur de ce bout d’univers et le nom d’un des « personnages », l’un des guides artificiels de la transhumance intersidérale, lesquels guides, après plus de 300 ans de voyage, serviront leurs maîtres en les asservissant.
En effet, le système planétaire mérakien a été colonisé grâce à une vaste migration en provenance d’un « berceau » qui a irrémédiablement périclité. Ce système s’est organisé en une Confédération des objets astraux habitables dirigée depuis Concordia par une secrétaire générale consensuelle, mais à son insu sur un siège éjectable.
Le récit nous fait fréquenter les planètes de ce système, chacune jalouse de ses spécificités, l’une par exemple, imposant le plaisir, l’autre la productivité, une autre encore la contemplation.
Mais vous n’avez encore rien vu....
Voici un monde qui tue tout explorateur qui ose mettre le pied sur son sol.
Voici une Terre qui perpétue l’époque féodale avec toutes ses atrocités, sous le joug du Graal et dont le souverain déchu ne recule devant rien pour récupérer son trône.
Voici une planète qui contrôle les intentions de ses habitants grâce à des « Egotuteurs » quasi-greffés ou encore cette autre qui divertit sa population grâce à des « Fenêtres d’échappée mentale ».
On côtoie un tyran tortionnaire, un conspirateur en lutte contre le temps que lui laisse son squelette en dégénérescence, espérant extorquer le secret de longévité d’une femme millénaire toujours jeune et superbe.
On rejoint aussi quelques résistants fragiles, vulnérables, en quête de vérité, à la recherche de clés pour ouvrir ce qui est caché depuis la fin de l’exode primal, au risque d’être « décatégorisés », donc confinés dans une zone de misère intégrale. En tout cas, ces contestataires semblent les seuls à croire que les autorités s’ingénient à dissimuler la réalité pour mieux manipuler leurs citoyens dans l’ignorance.
Et si la civilisation sur ces planètes n’était que le fruit d’un bourrage de crâne ? Bien sûr, il revient aux hommes la mission de donner sens à la lumière des astres. Mais si l’IA s’en chargeait, quitte à aveugler les humains par l’illusion ?
Confier son sort à une intelligence bien supérieure à la sienne, n’est-ce pas là la pire des tentations, la tentation des fous ?
Dans ce roman de plus de 600 pages, premier tome d’une trilogie, un feu d’artifice de trouvailles, un vocabulaire pointu, foisonnant. Sitôt après la parade des planètes et de leurs prétendus maîtres, le thriller sombre se déploie pour vous retenir dans les filets de son firmament.
En effet, le système planétaire mérakien a été colonisé grâce à une vaste migration en provenance d’un « berceau » qui a irrémédiablement périclité. Ce système s’est organisé en une Confédération des objets astraux habitables dirigée depuis Concordia par une secrétaire générale consensuelle, mais à son insu sur un siège éjectable.
Le récit nous fait fréquenter les planètes de ce système, chacune jalouse de ses spécificités, l’une par exemple, imposant le plaisir, l’autre la productivité, une autre encore la contemplation.
Mais vous n’avez encore rien vu....
Voici un monde qui tue tout explorateur qui ose mettre le pied sur son sol.
Voici une Terre qui perpétue l’époque féodale avec toutes ses atrocités, sous le joug du Graal et dont le souverain déchu ne recule devant rien pour récupérer son trône.
Voici une planète qui contrôle les intentions de ses habitants grâce à des « Egotuteurs » quasi-greffés ou encore cette autre qui divertit sa population grâce à des « Fenêtres d’échappée mentale ».
On côtoie un tyran tortionnaire, un conspirateur en lutte contre le temps que lui laisse son squelette en dégénérescence, espérant extorquer le secret de longévité d’une femme millénaire toujours jeune et superbe.
On rejoint aussi quelques résistants fragiles, vulnérables, en quête de vérité, à la recherche de clés pour ouvrir ce qui est caché depuis la fin de l’exode primal, au risque d’être « décatégorisés », donc confinés dans une zone de misère intégrale. En tout cas, ces contestataires semblent les seuls à croire que les autorités s’ingénient à dissimuler la réalité pour mieux manipuler leurs citoyens dans l’ignorance.
Et si la civilisation sur ces planètes n’était que le fruit d’un bourrage de crâne ? Bien sûr, il revient aux hommes la mission de donner sens à la lumière des astres. Mais si l’IA s’en chargeait, quitte à aveugler les humains par l’illusion ?
Confier son sort à une intelligence bien supérieure à la sienne, n’est-ce pas là la pire des tentations, la tentation des fous ?
Dans ce roman de plus de 600 pages, premier tome d’une trilogie, un feu d’artifice de trouvailles, un vocabulaire pointu, foisonnant. Sitôt après la parade des planètes et de leurs prétendus maîtres, le thriller sombre se déploie pour vous retenir dans les filets de son firmament.