Le Chevalier Émouchet revient chez lui après dix ans de bannissement. Sur place, il apprend que le roi est mort et que la nouvelle reine, dont il était le précepteur avant son départ, est sur le point de mourir elle aussi. Seul un très puissant sort lancé par les Chevaliers Pandions, l'ordre auquel appartient Émouchet, la maintient en vie. Mais pour combien de temps et à quel prix ? Les quatre ordres combattants, opposés à la régence mise en place, décident de conjuguer leurs efforts pour trouver un remède et remettre sur son trône la jeune reine Ehlana.
La Trilogie des Joyaux
1. Le Trône de Diamant (The Diamond Throne, 1989)
2. Le Chevalier de Rubis (The Ruby Knight, 1990)
3. La Rose de Saphir (The Sapphire Rose, 1991)
2. Le Chevalier de Rubis (The Ruby Knight, 1990)
3. La Rose de Saphir (The Sapphire Rose, 1991)
« La Pierre Sacrée Perdue » est une appellation qui n'est pas très usitée. Par abus de langage, on parlera plus souvent des « Émouchet », du nom du personnage principal. L'histoire se compose de deux cycles :
« La Trilogie des Joyaux » est l'histoire d'origine. Elle doit être lue en premier et le lecteur peut éventuellement s'arrêter là (ce qui serait tout de même regrettable). « La Trilogie des Périls » raconte ce qui se passe après « La Trilogie des Joyaux ». Même si le premier cycle semblait complet, on découvre ici la réelle fin de l'histoire.
Fiche de lecture
Chevalerie, magie et intrigue politique sont les fondements de cette histoire. L'ensemble servi par le style très fluide du couple Eddings et par leur extraordinaire talent pour faire vivre les personnages.
Tout comme avec « La Belgariade », nous sommes en présence d'un groupe soudé et complémentaire, à la recherche d'un élément qui puise ses origines très loin dans le passé. Les points communs avec « La Belgariade » ne s'arrêtent d'ailleurs pas là, mais se manifestent dans une multitude de tous petits détails. L'histoire est très différente, mais on retrouve quelques petits traits de caractère, quelques événements, quelques « éléments de décor » qui trahissent la patte des Eddings.
« La Trilogie des Joyaux » n'est pas une œuvre aussi majeure que « La Belgariade », mais elle reste une lecture de haut niveau et très agréable.
Tout comme avec « La Belgariade », nous sommes en présence d'un groupe soudé et complémentaire, à la recherche d'un élément qui puise ses origines très loin dans le passé. Les points communs avec « La Belgariade » ne s'arrêtent d'ailleurs pas là, mais se manifestent dans une multitude de tous petits détails. L'histoire est très différente, mais on retrouve quelques petits traits de caractère, quelques événements, quelques « éléments de décor » qui trahissent la patte des Eddings.
« La Trilogie des Joyaux » n'est pas une œuvre aussi majeure que « La Belgariade », mais elle reste une lecture de haut niveau et très agréable.