Le Bazaar K. @ 2024 éditions 1115 | Photo @ Djackdah Riker
Illustration et quatrième de couverture
Destination : les confins du Système solaire, où notre héros a été envoyé par son père pour écrire de la « poésie spatiale », muni d’un stylo quatre-couleurs et d’une quantité limitée de papier. A quelle fin ? Le punir d’une vie de débauche et de farniente. Certainement pas pour l’amener à faire la plus grande découverte de l’humanité. La plus grande, et sans doute également la pire.
Avec « Le Bazaar K. », Clément Rouault nous sert sur un plateau une SF tout à la fois noire et polychrome, cynique et truculente, classique et protéiforme. En somme, un cocktail détonnant qui n’est pas sans rappeler certaines merveilles de la littérature de genre, agrémenté d’un zest de fantaisie à nulle autre pareille.
Brève de lecture
Nouvel embarquement dans la collection Chronopages : le voyage de ce début d’année nous entraîne aux confins du Système solaire, dans un lieu de débauche nommé le Bazaar K. Ici, des milliers, voire des millions de races extraterrestres se retrouvent avec un unique but : se détendre.
Le récit commence comme une punition (le personnage principal est exilé par son père), mais il se transforme rapidement en la première rencontre du troisième type pour l’humanité. Ce moment de lecture détente, auquel la collection nous a déjà habitués, est empreint d’un humour noir jubilatoire.
Avec « Le Bazaar K. », Clément Rouault nous sert sur un plateau une SF tout à la fois noire et polychrome, cynique et truculente, classique et protéiforme. En somme, un cocktail détonnant qui n’est pas sans rappeler certaines merveilles de la littérature de genre, agrémenté d’un zest de fantaisie à nulle autre pareille.
Brève de lecture
Nouvel embarquement dans la collection Chronopages : le voyage de ce début d’année nous entraîne aux confins du Système solaire, dans un lieu de débauche nommé le Bazaar K. Ici, des milliers, voire des millions de races extraterrestres se retrouvent avec un unique but : se détendre.
Le récit commence comme une punition (le personnage principal est exilé par son père), mais il se transforme rapidement en la première rencontre du troisième type pour l’humanité. Ce moment de lecture détente, auquel la collection nous a déjà habitués, est empreint d’un humour noir jubilatoire.