Tome 1 - Le Cauchemar de Cassandre (2012)
Cassandre est la cible de Kolber, un tueur de légende, infaillible, insoupçonnable, invisible.
Aidée par de mystérieuses créatures, la jeune femme parvient à le mettre en échec et à s’enfuir. L’assassin doit la retrouver à tout prix et honorer son contrat avant qu’elle ne dévoile son identité. Car à présent, elle connaît son secret.
Ce revers inattendu de Kolber, permet aux hommes de la Police Judiciaire de se rapprocher de l’assassin. Cependant, ils ne sont plus seuls sur les traces des deux fuyards. Un flic, aussi ambitieux qu’inexpérimenté, et un prêtre exorciste envoyé par le Vatican, se lancent également à leur poursuite.
Une cavale sauvage et cruelle où chasseurs et gibiers se confondent. Des personnages en proie à leur destin, ébranlés au plus profond de leurs convictions.
Tous au cœur d’un complot millénaire...
Aidée par de mystérieuses créatures, la jeune femme parvient à le mettre en échec et à s’enfuir. L’assassin doit la retrouver à tout prix et honorer son contrat avant qu’elle ne dévoile son identité. Car à présent, elle connaît son secret.
Ce revers inattendu de Kolber, permet aux hommes de la Police Judiciaire de se rapprocher de l’assassin. Cependant, ils ne sont plus seuls sur les traces des deux fuyards. Un flic, aussi ambitieux qu’inexpérimenté, et un prêtre exorciste envoyé par le Vatican, se lancent également à leur poursuite.
Une cavale sauvage et cruelle où chasseurs et gibiers se confondent. Des personnages en proie à leur destin, ébranlés au plus profond de leurs convictions.
Tous au cœur d’un complot millénaire...
Fiche de lecture
Un tueur à gages abat un chef d’entreprise à la sortie d’une boîte échangiste… Alors qu’il est en train de fermer son église, un curé au physique de rugbyman surprend plusieurs étranges jeunes femmes se livrant à des pratiques obscènes… Pour pouvoir avancer dans son enquête, un jeune policier ambitieux cherche à entrer en contact avec un médium par le biais d’un site internet… Ancien gradé de services de police prestigieux, Nathaniel Dresde qui s’est fait affecter dans un commissariat de quartier, reste un exemple et une énigme pour tous ses collègues.
« Le cauchemar de Cassandre » est un gros pavé (735 pages) de thriller fantastique tout à fait original à la fois par sa construction très séquencée et cinématographique et par son intrigue très axée sur le paranormal, l’ésotérisme et le satanisme.
Au long de cette histoire inachevée, les cadavres s’accumulent dans une ambiance glauque, gore, empestant le stupre et le soufre. Plusieurs scènes d’horreur pourront être à déconseiller aux âmes sensibles.
Cet ouvrage aurait pu être une belle réussite dans la lignée de Stephan King ou de Dean Koontz si l’auteur avait un peu moins tiré à la ligne, répétant deux à trois fois le même épisode ou se laissant aller à divers développements philosophiques ou théologiques qui ralentissent l’action un peu trop à mon goût.
Le style de l’auteur est fluide, efficace et agréable si on ne tient pas compte de quelques concordances de temps erratiques, d’erreurs syntaxiques et autres coquilles entachant parfois la lecture. On note également la présence et l’utilisation d’un Minitel, ce qui date un peu beaucoup.
Au total, un ouvrage intéressant et qui ne laisse pas indifférent dans la mesure où le lecteur s’attache au personnage de la malheureuse Cassandre, ex-top-model persécuté par les engeances sataniques et beaucoup moins au flic psychopathe.
Reste à savoir si J.B. Leblanc transformera l’essai dans le deuxième tome de la trilogie.
« Le cauchemar de Cassandre » est un gros pavé (735 pages) de thriller fantastique tout à fait original à la fois par sa construction très séquencée et cinématographique et par son intrigue très axée sur le paranormal, l’ésotérisme et le satanisme.
Au long de cette histoire inachevée, les cadavres s’accumulent dans une ambiance glauque, gore, empestant le stupre et le soufre. Plusieurs scènes d’horreur pourront être à déconseiller aux âmes sensibles.
Cet ouvrage aurait pu être une belle réussite dans la lignée de Stephan King ou de Dean Koontz si l’auteur avait un peu moins tiré à la ligne, répétant deux à trois fois le même épisode ou se laissant aller à divers développements philosophiques ou théologiques qui ralentissent l’action un peu trop à mon goût.
Le style de l’auteur est fluide, efficace et agréable si on ne tient pas compte de quelques concordances de temps erratiques, d’erreurs syntaxiques et autres coquilles entachant parfois la lecture. On note également la présence et l’utilisation d’un Minitel, ce qui date un peu beaucoup.
Au total, un ouvrage intéressant et qui ne laisse pas indifférent dans la mesure où le lecteur s’attache au personnage de la malheureuse Cassandre, ex-top-model persécuté par les engeances sataniques et beaucoup moins au flic psychopathe.
Reste à savoir si J.B. Leblanc transformera l’essai dans le deuxième tome de la trilogie.
Tome 2 - L'Ère du Diable (2013)
Plusieurs mois se sont écoulés depuis la tragédie de l'hôtel Bavaria et l'enquête du commandant Marchegiani piétine. De son côté, traqué par son ancien collègue, Nathaniel Dresde va retrouver son instinct de chasseur. Aidé en cela par une nonne aux vertus insoupçonnables, il va répondre aux sollicitations du Vatican et se lancer à la poursuite d'un ennemi très puissant... Peut-être le plus puissant...
La suite du Cauchemar de Cassandre, tout aussi addictive, prenante, passionnante, un univers terrifiant.
La suite du Cauchemar de Cassandre, tout aussi addictive, prenante, passionnante, un univers terrifiant.
Fiche de lecture
Au Brésil, Cesare, prêtre exorciste est assassiné à l’intérieur d’une église. En France, Coraline, prostituée, s’intéresse à un client un peu étrange qui n’est autre que Nathaniel Dresde. En Italie, quatre hauts responsables du Vatican se réunissent en secret pour faire le point : le père Cesare est le troisième exorciste assassiné en très peu de temps. C’est très inquiétant et ne peut pas être une simple coïncidence. D’autant plus que le père Fantino, autre exorciste, a disparu de façon mystérieuse. Quant au commandant Marchegiani, il ne se remet pas de son échec dans l’affaire Kolber. Il est persuadé de la culpabilité de Dresde mais, sans preuve indiscutable, il ne peut rien faire…
« L’ère du Diable » est le deuxième tome de la trilogie paranormale proposée par J.B. Leblanc. Cette histoire relève du thriller ésotérique et fantastique avec un nouveau palier franchi dans l’horreur et l’épouvante.
Contrairement au premier tome où l’on revenait souvent en arrière, cette fois, cela se produit beaucoup moins souvent, ce qui permet un bien meilleur rythme de narration. Les évènements s’enchainent à toute allure, l’horreur s’amplifie, le complot luciférien prend de l’ampleur. Le diable ne s’attaque plus seulement à l’Église catholique mais aussi à l’islam et même au judaïsme ! Il se permet une véritable hécatombe d’exorcistes et toutes sortes de destructions improbables comme dans la scène du pont Charles.
Les personnages, et particulièrement celui de Nataniel Dresde, prennent de l’épaisseur, de l’ampleur et de l’intérêt. L’intrigue est haletante et menée avec brio.
Seul petit reproche : encore des approximations lexicales et des coquilles qui agacent un peu le lecteur attaché à la précision de la langue.
Au bout du compte, un très bon et très effrayant ouvrage à déconseiller aux cartésiens et aux âmes sensibles quand même !
« L’ère du Diable » est le deuxième tome de la trilogie paranormale proposée par J.B. Leblanc. Cette histoire relève du thriller ésotérique et fantastique avec un nouveau palier franchi dans l’horreur et l’épouvante.
Contrairement au premier tome où l’on revenait souvent en arrière, cette fois, cela se produit beaucoup moins souvent, ce qui permet un bien meilleur rythme de narration. Les évènements s’enchainent à toute allure, l’horreur s’amplifie, le complot luciférien prend de l’ampleur. Le diable ne s’attaque plus seulement à l’Église catholique mais aussi à l’islam et même au judaïsme ! Il se permet une véritable hécatombe d’exorcistes et toutes sortes de destructions improbables comme dans la scène du pont Charles.
Les personnages, et particulièrement celui de Nataniel Dresde, prennent de l’épaisseur, de l’ampleur et de l’intérêt. L’intrigue est haletante et menée avec brio.
Seul petit reproche : encore des approximations lexicales et des coquilles qui agacent un peu le lecteur attaché à la précision de la langue.
Au bout du compte, un très bon et très effrayant ouvrage à déconseiller aux cartésiens et aux âmes sensibles quand même !
Tome 3 - La Porte (2014)
Le diable s'est dévoilé. Un vent d'apocalypse souffle sur le monde. L'Enfer est sur le point de se déverser sur Terre. Une course contre la montre est lancée pour organiser les défenses. Les hommes doivent s'unir pour combattre le mal. Mais la marge de manoeuvre est mince et il ne reste que peu d'espoir pour libérer l'humanité. Il faut trouver... la Porte...
Fiche de lecture
Alors qu’au Vatican, l’ambassadeur tchèque tente d’en savoir plus auprès des autorités pontificales au sujet de la scandaleuse affaire du pont Charles, en Bourgogne, un certain Charles Ravière, sorcier wiccan autoproclamé, s’installe dans un petit village pour y créer sa secte. Patrick Sullen, flic des Renseignements Généraux, en voulant enquêter sur le phénomène, tombe à sa merci et se retrouve nu et enchainé au pilier en béton d’une cave sordide… Au cours d’une messe noire particulièrement glauque, Ravier le transforme en disciple de Lucifer…
« La porte » est le troisième et dernier tome d’une série tout ce qu’il y a de gore et de plus en plus axée sur le « hard » satanisme. Rien n’est épargné au lecteur, outre les meurtres habituels des thrillers, tortures en tous genres, cannibalisme, messes noires et apparitions de monstres sortis des enfers.
Attention, ces livres ne sont pas à mettre entre toutes les mains. Il est fortement conseillé aux âmes sensibles de s’abstenir. Cauchemars garantis pour les amateurs.
En effet, ce dernier opus termine en crescendo et s’achemine vers une fin aussi terrible que laborieuse. Le héros, Nataniel Dresde, a une peine folle à rouvrir la porte des enfers qu’il a malencontreusement fermée. Et le rythme en souffre nettement.
Dans l’ensemble, un ouvrage glaçant d’épouvante proche de l’univers de Dean Koontz, lequel aurait d’ailleurs su raconter la même histoire en trois fois moins de pages…
« La porte » est le troisième et dernier tome d’une série tout ce qu’il y a de gore et de plus en plus axée sur le « hard » satanisme. Rien n’est épargné au lecteur, outre les meurtres habituels des thrillers, tortures en tous genres, cannibalisme, messes noires et apparitions de monstres sortis des enfers.
Attention, ces livres ne sont pas à mettre entre toutes les mains. Il est fortement conseillé aux âmes sensibles de s’abstenir. Cauchemars garantis pour les amateurs.
En effet, ce dernier opus termine en crescendo et s’achemine vers une fin aussi terrible que laborieuse. Le héros, Nataniel Dresde, a une peine folle à rouvrir la porte des enfers qu’il a malencontreusement fermée. Et le rythme en souffre nettement.
Dans l’ensemble, un ouvrage glaçant d’épouvante proche de l’univers de Dean Koontz, lequel aurait d’ailleurs su raconter la même histoire en trois fois moins de pages…