Affiche et synopsis
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Atteignant enfin la Montagne Solitaire, Thorin et les Nains, aidés par Bilbon le Hobbit, ont réussi à récupérer leur royaume et leur trésor. Mais ils ont également réveillé le dragon Smaug qui déchaîne désormais sa colère sur les habitants de Lacville. A présent, les Nains, les Elfes, les Humains mais aussi les Wrags et les Orques menés par le Nécromancien, convoitent les richesses de la Montagne Solitaire. La bataille des cinq armées est imminente et Bilbon est le seul à pouvoir unir ses amis contre les puissances obscures de Sauron...
Présentation
Autant les deux premiers opus m’ont énormément plu, autant celui-ci m’a un peu moins emballée…
Le film débute avec le dragon Smaug qui se dirige vers Lacville pour attaquer celle-ci. On se souvient de toute la mise en place autour du réveil de Smaug et comme il nous aura fait languir dans le film précédent. Et bien ici, à peine a-t-il pris son envol et crache-t-il son feu sur Lacville, qu’en à peine cinq minutes son compte est bon. Une flèche bien décochée, et adieu Smaug.
Générique, et on passe à la suite :
Voici venue « La bataille des cinq armées ». Les Humains, les Elfes, les Nains, les Orques et finalement les Aigles sont engagés dans une bataille épique qui va durer près de 2 heures. Au menu, comme dans toute guerre, de la brutalité, des morts à profusion, des blessés agonisants, de la souffrance, et beaucoup de tristesse.
Au cœur de ce charnier, un Legolas en pleine action filmé à la manière d’un personnage de jeu vidéo (on frise le ridicule), un Thorin subitement contaminé par le mal de l’or qui devient carrément fou et méchant (j’aurais souhaité que ce mystérieux mal soit un peu mieux expliqué, que la transition soit moins subite), un Hobbit toujours aussi attachant et malicieux qui tente de réconcilier les clans ennemis (Nains, Humains et Elfes) entre eux, une histoire d’amour qui vire au drame entre une Elfe et un Nain, …
Le film se conclut fort heureusement plus en légèreté : des alliances se défont mais des réconciliations ont lieu. Puis Bilbon revient chez lui à Cul-de-Sac dans la Comté. Les paysages reprennent une couleur vive, et sur nos lèvres un sourire se dessine enfin, alors que notre cher Hobbit remet les pieds dans sa maison. La toute dernière scène, dans laquelle Bilbon est âgé, appartient déjà à la trilogie suivante… La boucle est bouclée.
En conclusion, un troisième opus sombre et brutal, qui finit néanmoins sur une note de douceur, et qui permet de faire le lien avec la trilogie « Le Seigneur des Anneaux ». Dans l’ensemble, même si j’ai un peu moins apprécié ce dernier film, j’ai bien aimé la trilogie « Le Hobbit », surtout pour ces personnages très attachants (les Nains et Bilbon) et pour ses paysages magnifiques.
Le film débute avec le dragon Smaug qui se dirige vers Lacville pour attaquer celle-ci. On se souvient de toute la mise en place autour du réveil de Smaug et comme il nous aura fait languir dans le film précédent. Et bien ici, à peine a-t-il pris son envol et crache-t-il son feu sur Lacville, qu’en à peine cinq minutes son compte est bon. Une flèche bien décochée, et adieu Smaug.
Générique, et on passe à la suite :
Voici venue « La bataille des cinq armées ». Les Humains, les Elfes, les Nains, les Orques et finalement les Aigles sont engagés dans une bataille épique qui va durer près de 2 heures. Au menu, comme dans toute guerre, de la brutalité, des morts à profusion, des blessés agonisants, de la souffrance, et beaucoup de tristesse.
Au cœur de ce charnier, un Legolas en pleine action filmé à la manière d’un personnage de jeu vidéo (on frise le ridicule), un Thorin subitement contaminé par le mal de l’or qui devient carrément fou et méchant (j’aurais souhaité que ce mystérieux mal soit un peu mieux expliqué, que la transition soit moins subite), un Hobbit toujours aussi attachant et malicieux qui tente de réconcilier les clans ennemis (Nains, Humains et Elfes) entre eux, une histoire d’amour qui vire au drame entre une Elfe et un Nain, …
Le film se conclut fort heureusement plus en légèreté : des alliances se défont mais des réconciliations ont lieu. Puis Bilbon revient chez lui à Cul-de-Sac dans la Comté. Les paysages reprennent une couleur vive, et sur nos lèvres un sourire se dessine enfin, alors que notre cher Hobbit remet les pieds dans sa maison. La toute dernière scène, dans laquelle Bilbon est âgé, appartient déjà à la trilogie suivante… La boucle est bouclée.
En conclusion, un troisième opus sombre et brutal, qui finit néanmoins sur une note de douceur, et qui permet de faire le lien avec la trilogie « Le Seigneur des Anneaux ». Dans l’ensemble, même si j’ai un peu moins apprécié ce dernier film, j’ai bien aimé la trilogie « Le Hobbit », surtout pour ces personnages très attachants (les Nains et Bilbon) et pour ses paysages magnifiques.