Illustration et quatrième de couverture
Le météore de Sibérie @ 2006 Rivière Blanche | Illustration de couverture @ Afif Khaled
En 1906, un corps céleste mystérieux s'abattait sur la Tugunska, en plein coeur de la Sibérie, causant mort et dévastation. Aujourd'hui, l'histoire semble se répéter...
Le journaliste photographe Marc Lucciani et ses confrères américains Oskar Selznick et Frank Matheson décident d'enquêter sur place, mais ils n'ont aucune idée de l'horreur qui les attend au sein de l'énigmatique "camp des étoiles" créé par les autorités russes pour exploiter les abominables secrets du MÉTÉORE DE SIBÉRIE...
Le journaliste photographe Marc Lucciani et ses confrères américains Oskar Selznick et Frank Matheson décident d'enquêter sur place, mais ils n'ont aucune idée de l'horreur qui les attend au sein de l'énigmatique "camp des étoiles" créé par les autorités russes pour exploiter les abominables secrets du MÉTÉORE DE SIBÉRIE...
Fiche de lecture
Lire un livre de Jean-Pierre Andrevon est presque toujours un grand plaisir et celui-ci ne déroge pas à la règle. Deux ouvrages de l'auteur sont disponibles chez Rivière Blanche et j'avais vraiment beaucoup aimé L'affaire du calmar dans le grenier dans la même collection.
En partant d'un fait réel (le fameux météore tombé en Sibérie au début du siècle dernier), Andrevon imagine qu'un nouveau bolide spatial vient s'abattre de nouveau dans la même contrée. Des journalistes décident de se rendre au point d'impact pour enquêter.
Toute cette première partie s'assimile à un roman d'aventures et l'écrivain arrive avec brio à nous réfrigérer tellement ses descriptions du froid polaire sont étonnantes de réalisme. Et puis avec l'intrusion de Marc dans le camp secret russe, les choses sérieuses commencent...
Et là, on retrouve le style inimitable de J.-P. Andrevon, mélange de science-fiction classique avec des scènes horrifiques tout à fait convaincantes. Ici tout est hostile au photographe français. Le climat bien sûr, qui joue un grand rôle dans ce livre et qui rend le cadre du récit particulièrement crédible mais aussi les services secrets russes, l'armée et bien sûr le savant fou. Car il y a bien un savant fou qui pratique d'ignobles expériences sur des humains dans cette base qui ressemble singulièrement à un cercle des enfers ! Et le roman ne cesse de monter en puissance jusqu'à l'apothéose d'un final apocalyptique. Quelques pages de conclusion permettent à l'auteur de nous faire redescendre « en douceur » avec une fin mélancolique très réussie.
Le météore de Sibérie est un bon petit bouquin. Classique dans son fond, il bénéficie de la maîtrise de l'écriture d'Andrevon, vieux briscard de la science-fiction française et se lit d'une traite.
Un bon bouquin de détente qui ne vous décevra pas.
En partant d'un fait réel (le fameux météore tombé en Sibérie au début du siècle dernier), Andrevon imagine qu'un nouveau bolide spatial vient s'abattre de nouveau dans la même contrée. Des journalistes décident de se rendre au point d'impact pour enquêter.
Toute cette première partie s'assimile à un roman d'aventures et l'écrivain arrive avec brio à nous réfrigérer tellement ses descriptions du froid polaire sont étonnantes de réalisme. Et puis avec l'intrusion de Marc dans le camp secret russe, les choses sérieuses commencent...
Et là, on retrouve le style inimitable de J.-P. Andrevon, mélange de science-fiction classique avec des scènes horrifiques tout à fait convaincantes. Ici tout est hostile au photographe français. Le climat bien sûr, qui joue un grand rôle dans ce livre et qui rend le cadre du récit particulièrement crédible mais aussi les services secrets russes, l'armée et bien sûr le savant fou. Car il y a bien un savant fou qui pratique d'ignobles expériences sur des humains dans cette base qui ressemble singulièrement à un cercle des enfers ! Et le roman ne cesse de monter en puissance jusqu'à l'apothéose d'un final apocalyptique. Quelques pages de conclusion permettent à l'auteur de nous faire redescendre « en douceur » avec une fin mélancolique très réussie.
Le météore de Sibérie est un bon petit bouquin. Classique dans son fond, il bénéficie de la maîtrise de l'écriture d'Andrevon, vieux briscard de la science-fiction française et se lit d'une traite.
Un bon bouquin de détente qui ne vous décevra pas.