Présentation du conte d'Alexandre Afanassiev
Illustration @ Les plus beaux Récits merveilleux | Editions Gründ, 1982 | Collection privée
Il était une fois un homme et une femme qui avaient trois fils, deux raisonnables, mais le troisième était un vrai sot. La mère aimait beaucoup les deux premiers, les dorlotait, les habillait joliment, mais le troisième était toujours négligé ; pauvrement vêtu, il portait toujours une chemise noire. Un jour, on entendit dire que le tsar donnerait sa fille en mariage à celui qui construirait un vaisseau qui pourrait voler...
En 1982, je reçus pour mon anniversaire un recueil de contes intitulé « Les plus beaux récits merveilleux ». Pour la petite fille âgée de 8 ans que j'étais, il y avait là matière à rêver.
Parmi ces 28 contes, je tombai littéralement en admiration en lisant celui qui s'appelait « Le Vaisseau volant ».
Ce qui me fascina surtout, c'était d'imaginer ce beau bateau qui pouvait voler, transportant dans les airs celui qui méritait de le piloter, et qui lui apportait tout au long de son chemin, de sa quête, l'amitié, le courage, la force de persévérer et l'amour.
Ce n'est donc peut-être pas tout à fait un hasard si depuis, je rêve d'un galion qui parcourait les étoiles...
Parmi ces 28 contes, je tombai littéralement en admiration en lisant celui qui s'appelait « Le Vaisseau volant ».
Ce qui me fascina surtout, c'était d'imaginer ce beau bateau qui pouvait voler, transportant dans les airs celui qui méritait de le piloter, et qui lui apportait tout au long de son chemin, de sa quête, l'amitié, le courage, la force de persévérer et l'amour.
Ce n'est donc peut-être pas tout à fait un hasard si depuis, je rêve d'un galion qui parcourait les étoiles...