Illustration @ Les plus beaux Récits merveilleux | Editions Gründ, 1982 | Photo @ Koyolite Tseila, édition privée
Parmi mes rêves d'enfant, il y avait l'envie de pouvoir voler à bord d'un navire, d'embarquer mes amis avec moi, pour aller toujours plus haut, plus loin, en direction des étoiles, pour y vivre une grande aventure riche de découvertes et de partages.
M'envoler vers ces mers étoilées, dans le lointain, à la recherche de nouveaux mondes, vers un futur où personne n'est jamais allé...
C'est un rêve qui ne m'a pas quittée et qui, jusqu'à mon dernier souffle, m'animera.
⚔ Koyolite Tseila ⚔
M'envoler vers ces mers étoilées, dans le lointain, à la recherche de nouveaux mondes, vers un futur où personne n'est jamais allé...
C'est un rêve qui ne m'a pas quittée et qui, jusqu'à mon dernier souffle, m'animera.
⚔ Koyolite Tseila ⚔
Le Vaisseau volant (Alexandre Afanassiev)
Il était une fois un homme et une femme qui avaient trois fils, deux raisonnables, mais le troisième était un vrai sot. La mère aimait beaucoup les deux premiers, les dorlotait, les habillait joliment, mais le troisième était toujours négligé ; pauvrement vêtu, il portait toujours une chemise noire. Un jour, on entendit dire que le tsar donnerait sa fille en mariage à celui qui construirait un vaisseau qui pourrait voler...
En 1982, je reçus pour mon anniversaire un recueil de contes intitulé Les plus beaux récits merveilleux. Pour la petite fille de 8 ans que j'étais, il y avait là matière à rêver.
Parmi ces 28 contes, je tombai littéralement en admiration en lisant celui qui s'appelait Le Vaisseau volant.
Ce qui me fascina surtout, c'était d'imaginer ce beau bateau qui pouvait voler, transportant dans les airs celui qui méritait de le piloter, et qui lui apportait tout au long de son chemin, de sa quête, l'amitié, le courage, la force de persévérer et l'amour.
Ce n'est donc peut-être pas tout à fait un hasard si depuis, je rêve d'un galion qui parcourrait les étoiles...
Parmi ces 28 contes, je tombai littéralement en admiration en lisant celui qui s'appelait Le Vaisseau volant.
Ce qui me fascina surtout, c'était d'imaginer ce beau bateau qui pouvait voler, transportant dans les airs celui qui méritait de le piloter, et qui lui apportait tout au long de son chemin, de sa quête, l'amitié, le courage, la force de persévérer et l'amour.
Ce n'est donc peut-être pas tout à fait un hasard si depuis, je rêve d'un galion qui parcourrait les étoiles...