Les Hommes sans futur @ 1981-1985 Pocket | Illustrations de couvertures des livres @ Wojtek Siudmak | Montage @ Le Galion des Etoiles
Tome 1 : Les Mangeurs d'argile (1981)
Les Mangeurs d'argile @ 1981 Pocket | Illustration de couverture @ Wojtek Siudmak
Quatrième de couverture
Caïne, l'homme-bois-bonheur, porte chance aux futures mères. Au besoin, il les aide à devenir mères. Avec lui, impossible d'accoucher d'un Autre. Mais Lice, cette gamine trop nerveuse, ne veut pas de lui. Elle est sûre que les Autres vont faire mourir les mangeurs d'argile. Elle communique sa hantise à Kildred, un vieil homme presque aveugle qui l'a recueillie parce qu'elle ressemble à sa fille disparue. Ensemble, ils quittent Little Rock où Kildred a passé toute sa vie. Atteindront-ils la cité perdue de l'éternel désir ? Ou buteront-ils contre le mur de l'invisible peur ? En attendant, ils risquent gros ; il y a de tout dans la cambrousse, y compris ceux qui ont muté, mais en se trompant de direction. Caïne se décide à les suivre ; sans doute a-t-il ses raisons. Pour survivre, il faut être dégueulasse quelquefois. Et en baver plus qu'à son tour.
Brève de lecture
Pierre Pelot nous livre une nouvelle série où tout est dit dans le résumé, enfin presque, car j'espérais une suite. Elle est de fait, mais je vous laisserai découvrir par vous-même l'inattendu.
Enfin de la bonne science-fiction, comme on n'en fait plus, sans prétention mais bien construite.
Une série à posséder obligatoirement.
Brève de lecture
Pierre Pelot nous livre une nouvelle série où tout est dit dans le résumé, enfin presque, car j'espérais une suite. Elle est de fait, mais je vous laisserai découvrir par vous-même l'inattendu.
Enfin de la bonne science-fiction, comme on n'en fait plus, sans prétention mais bien construite.
Une série à posséder obligatoirement.
Tome 2 : Saison de rouille (1982)
Saison de rouille @ 1982 Pocket | Illustration de couverture @ Wojtek Siudmak
Quatrième de couverture
La Méditerranée n'est plus ce qu'elle était. Elle est devenue la Mer Damnée, balayée par le froid et la Pourriture. Pourriture sur la mer, à la surface boueuse. Pourriture sur les hommes dévorés de cloques, crucifiés par des brûlures insoutenables. Un programme est en cours pour vaincre le fléau. On rassemble les habitants : les malades sont abattus, les autres sont évacués en attendant la désinfection. A moins qu'on ne dise pas toute la vérité aux gens... Polynésie, cette petite fille, le comprendra très vite. Hierro le chasseur mettra plus longtemps. Et pourtant il est pressé. Il a attrapé la Pourriture.
Brève de lecture
Deuxième tome de cette série sur les hommes sans futur et pas besoin d'avoir lu le premier pour l'ingurgiter (j'utilise ce terme car vers les derniers chapitres, j'ai eu du mal à décrocher).
Mais je conseille quand même de lire le premier tome. Les deux ne se passent pas sur le même continent. Celui-ci est plus impitoyable que le premier. Nous avançons dans le temps.
Brève de lecture
Deuxième tome de cette série sur les hommes sans futur et pas besoin d'avoir lu le premier pour l'ingurgiter (j'utilise ce terme car vers les derniers chapitres, j'ai eu du mal à décrocher).
Mais je conseille quand même de lire le premier tome. Les deux ne se passent pas sur le même continent. Celui-ci est plus impitoyable que le premier. Nous avançons dans le temps.
Tome 3 : Soleils hurlants (1983)
Soleils hurlants @ 1983 Pocket | Illustration de couverture @ Wojtek Siudmak
Quatrième de couverture
Lui, c'est Man Cheval Joke. Son camion, c'est un Ken. 18 roues, 60 tonnes de poids en charge, 600 tonnes d'arrachement en puissance brute. Et le feu au cul. Pourquoi ? Parce que tout fout le camp. Les Supérieurs ont d'abord confisqué le ciel australien, ce qui a donné du travail aux camionneurs. Mais ils se font envahissants. Alors les éleveurs abattent leur bétail. Et Man charge son dernier fret : quelques dizaines de tonnes de viande. Pour une course folle à travers tout un continent. Le temps des flics est terminé. Chacun roule pour lui. Pour arriver au territoire de la mort, à l'autre horizon des anciens aborigènes. Pour rien. Ou peut-être pour comprendre, simplement.
Brève de lecture
Troisième volume de cette série où l'homme dit "mangeur d'argile" subit son déclin à travers les continents. Nous sommes en Australie, là où le ciel lui est interdit, là où les Supérieurs ont sûrement décidés de se l'accaparer en totalité. Reste les routiers qui vont devoir effectuer un dernier transport. Je ne dévoilerai rien de plus, c'est à vous de le découvrir...
Brève de lecture
Troisième volume de cette série où l'homme dit "mangeur d'argile" subit son déclin à travers les continents. Nous sommes en Australie, là où le ciel lui est interdit, là où les Supérieurs ont sûrement décidés de se l'accaparer en totalité. Reste les routiers qui vont devoir effectuer un dernier transport. Je ne dévoilerai rien de plus, c'est à vous de le découvrir...
Tome 4 : Le Père de feu (1984)
Le Père de feu @ 1984 Pocket | Illustration de couverture @ Wojtek Siudmak
Quatrième de couverture
La terre tremble toutes les semaines ; d'innommables taudis poussent sur les ruines. Cuerda, le padre, est là comme un poisson dans l'eau ; il sait toujours ce qu'il faut dire aux pelados. Et le signe arrive : en Terre de Feu, les humains ressuscitent. Serait-ce la fin des temps ? Cuerda n'en doute pas ; il veut conduire Nieve dans cette île du bout du monde ; la belle orpheline y retrouverait sa mère disparue. Rien n'arrête le padre ; quand le gouvernement fait dire que les miracles sont l'œuvre des Supérieurs, il prêche la croisade et entraîne les pelados vers le sud. Sans être contredit par Nieve, qui est aveugle et muette ; ni par son père, qui boit trop de tequila.
Brève de lecture
L'aventure désastreuse de l'homme ancien continue. Nous sommes à l’extrême sud de l’Amérique du Sud et plus rien ne va, bien qu'un drôle de phénomène ait eu lieu, même si personne ne peut l'expliquer.
Quatrième volume d'une très bonne saga.
Brève de lecture
L'aventure désastreuse de l'homme ancien continue. Nous sommes à l’extrême sud de l’Amérique du Sud et plus rien ne va, bien qu'un drôle de phénomène ait eu lieu, même si personne ne peut l'expliquer.
Quatrième volume d'une très bonne saga.
Tome 5 : Le Chien courait sur l'autoroute en criant son nom (1984)
Le Chien courait sur l'autoroute en criant son nom @ 1984 | Illustration de couverture @ Wojtek Siudmak
Quatrième de couverture
Les chasseurs comme Cutlass traquent leurs proies. Les tollmen, c'est différent. Autrefois, ils percevaient le péage à l'entrée des autoroutes. Puis sont venus les tremblements de terre et San Francisco s'est transformée en archipel. Les tollmen sont restés, rançonnant les voyageurs et tenant le pays. Mais les marées folles rongent leur domaine, et la racaille demi-nue des ruines n'a plus rien à leur donner.
Seuls les chiens trafiqués valent encore de l'argent. Le gouvernement y cherche un moyen de surprendre les mystères des Supérieurs. La prime attire tous les pouilleux d'échangeurs, tous les grouilleurs de ponts suspendus, toute la vermine des cimetières de bagnoles... et aussi Brent Cutlass, le tueur au demi-sourire. Dans ce monde sans pitié, il faut savoir pourquoi on se bat. Seulement, il y a aussi des secrets qui font mal.
Brève de lecture
Cinquième volet de cette fantastique série sur la fin annoncée de notre humanité, désignée sous le nom des "mangeurs d'argile". Une nouvelle race prend notre place : les Supérieurs. Et l'on découvre qu'ils se permettent des expériences pas très orthodoxes.
Nous ne sommes pas très loin de Demain les chiens, mais en plus glauque.
Seuls les chiens trafiqués valent encore de l'argent. Le gouvernement y cherche un moyen de surprendre les mystères des Supérieurs. La prime attire tous les pouilleux d'échangeurs, tous les grouilleurs de ponts suspendus, toute la vermine des cimetières de bagnoles... et aussi Brent Cutlass, le tueur au demi-sourire. Dans ce monde sans pitié, il faut savoir pourquoi on se bat. Seulement, il y a aussi des secrets qui font mal.
Brève de lecture
Cinquième volet de cette fantastique série sur la fin annoncée de notre humanité, désignée sous le nom des "mangeurs d'argile". Une nouvelle race prend notre place : les Supérieurs. Et l'on découvre qu'ils se permettent des expériences pas très orthodoxes.
Nous ne sommes pas très loin de Demain les chiens, mais en plus glauque.
Tome 6 : Ce chasseur-là (1985)
Ce chasseur-là @ 1985 Pocket | Illustration de couverture @ Wojtek Siudmak
Quatrième de couverture
Il y a une fissure dans le programme. Wendy Donnelly s'est enfuie dans le désert de glace aux commandes d'un snow-cat. Elle a brûlé tout ce qui restait de P 45, ce mystérieux « corps humain » qui servait de sujet d'expérience. Elle a craqué. Elle veut en savoir davantage... ou aller jusqu'au bout de son destin. Elle est repartie et on voit bien où. Pas d'autre solution que de contacter Jap Reyk, ce type qui a déjà fait le voyage avec elle un an avant. Conclure avec lui un nouveau contrat de chasse. Lui offrir encore plus d'argent, comme si c'était le problème. Lui, il pense au regard vert de Wendy, à sa crinière soyeuse, à cette lourde mèche qui lui mange le front. A la folie embusquée au fond de cette jolie tête. Depuis un an, il regarde le nord. Et voici qu'en quelques minutes, tout devient rouge. Il est sur les rails de la bonne voie. La bonne, parce que la seule.
Brève de lecture
Fin de cette excellente série sur ces hommes sans futur. Il est vrai qu'elle aurait pu continuer puisqu'aucun de ces volumes ne se suit, bien qu'étant sur la même ligne narrative.
Dans celui-ci, on découvrira que les Supérieurs peuvent aussi avoir des ratés, à vous de voir lesquels.
On pourra constater que les résumés ne laissent pas beaucoup de place à une description personnelle des livres, mais qu'importe, une chose est sûre, Pierre Pelot est impitoyable avec le genre humain. Il n'y a pas de salut dans cette série. L'auteur ne laisse aucune chance à cette vieille humanité.
Et je le précisais en introduction : dépêchez-vous d'acquérir cette série, elle devient introuvable !
Brève de lecture
Fin de cette excellente série sur ces hommes sans futur. Il est vrai qu'elle aurait pu continuer puisqu'aucun de ces volumes ne se suit, bien qu'étant sur la même ligne narrative.
Dans celui-ci, on découvrira que les Supérieurs peuvent aussi avoir des ratés, à vous de voir lesquels.
On pourra constater que les résumés ne laissent pas beaucoup de place à une description personnelle des livres, mais qu'importe, une chose est sûre, Pierre Pelot est impitoyable avec le genre humain. Il n'y a pas de salut dans cette série. L'auteur ne laisse aucune chance à cette vieille humanité.
Et je le précisais en introduction : dépêchez-vous d'acquérir cette série, elle devient introuvable !