Illustration et quatrième de couverture
Jacques Clavisse, étudiant en rupture d’université, noie un chagrin d’amour dans la bière quand il décroche un poste de libraire à Lebenburg, une petite localité touristique des Ardennes belges. Il se rend en fin d’été dans cette cité médiévale difficile d’accès, comme oubliée par le temps. Accueilli par Luce, la jolie secrétaire du bourgmestre, il y rencontre une communauté artisanale qui lui plaît et emménage.
Il découvre bientôt que les habitants respectent d’étranges coutumes. Le guet ferme les portes de la ville au crépuscule et personne ne sort la nuit. Les résidents opèrent de curieux commerces. Sur la place pentagonale trône la statue des fondateurs de la cité, le Margrave et l’Enchanteur, censés avoir lancé sur Lebenburg et sa population un sort bénéfique. Jacques sourit à l’évocation de cette légende sous le soleil d’été. Mais lorsque l’hiver isole la ville et que les phénomènes étranges se multiplient, la peur l’envahit lentement.
Il découvre bientôt que les habitants respectent d’étranges coutumes. Le guet ferme les portes de la ville au crépuscule et personne ne sort la nuit. Les résidents opèrent de curieux commerces. Sur la place pentagonale trône la statue des fondateurs de la cité, le Margrave et l’Enchanteur, censés avoir lancé sur Lebenburg et sa population un sort bénéfique. Jacques sourit à l’évocation de cette légende sous le soleil d’été. Mais lorsque l’hiver isole la ville et que les phénomènes étranges se multiplient, la peur l’envahit lentement.
Présentation de mon roman
Jacques Clavisse, un étudiant en journalisme qui s'est perdu depuis des mois dans les vapeurs de l'alcool après une déception amoureuse, reçoit coup sur coup deux lettres: une de son père qui l'avertit qu'il lui coupe les fonds et une de l'Office National de L'Emploi belge qui lui offre un poste de libraire à Lebenburg, petite localité des Ardennes. Fortement incité à se reprendre en main, il accepte un emploi qu'il découvre avec surprise très bien payé. Lors de sa visite sur place, à la fin de l'été, Luce, la jolie secrétaire du bourgmestre, le convainc de signer un contrat temporaire et il emménage bientôt dans son logement de fonction situé au-dessus de la librairie. Peu à peu, derrière le décor rassurant d'un bourg vaguement écolo qui vit à la fois du tourisme et de l'artisanat, il découvre une réalité plus sombre, une localité régie par des lois bizarres telles que l'interdiction formelle de quitter son domicile après le coucher du soleil. Il constate que le contenu des ouvrages qu'il vend très cher à des clients discrets flirte avec la magie la plus noire et que les activités des autres boutiques présentent des côtés qui fleurent le souffre. Quand vient l'hiver, la neige coupe toute communication entre Lebenburg et les localités environnantes. Pris au piège, Jacques Clavisse découvre le journal que tenait son prédécesseur disparu et commence sérieusement à s'inquiéter.
Ce roman présente une nouvelle facette du fantastique belge, un domaine où se sont illustrés des auteurs tels que Jean Ray ou Thomas Owen. "Les mystères de Lebenburg" constitue une plongée lente dans un monde sinistre et un projet effarant. Le passage du banal à l’étrange s’effectue par de petites touches qui constituent comme les fragments d’un puzzle que le personnage principal, épris de rationalité et aveuglé par des intérêts immédiats, se refuse longtemps à intégrer.
Ce roman présente une nouvelle facette du fantastique belge, un domaine où se sont illustrés des auteurs tels que Jean Ray ou Thomas Owen. "Les mystères de Lebenburg" constitue une plongée lente dans un monde sinistre et un projet effarant. Le passage du banal à l’étrange s’effectue par de petites touches qui constituent comme les fragments d’un puzzle que le personnage principal, épris de rationalité et aveuglé par des intérêts immédiats, se refuse longtemps à intégrer.