Martin Gibson, célèbre auteur de science-fiction, fait une visite sur la planète rouge pour réaliser un reportage sur la petite colonie humaine établie là-bas. Mars et ses habitants lui réservent bien de surprises...
Fiche de lecture
Il n'y a pas grand chose de meilleur que la vieille science-fiction. Si, en plus, c'est un livre de mon auteur favori qu'on sort des oubliettes, je me jette dessus sans modération.
Ce roman a été écrit dans les années 50. Et comme le dit si bien Clarke dans la nouvelle préface : "je suis désolé". De quoi ? Des erreurs scientifiques. Mais on lui pardonne bien volontiers. Car si ce livre est bourré d'erreurs, elles sont tout à fait compréhensibles vu l'époque de sa rédaction. Ou alors, il faut jeter le vieux Jules aux orties...
Et si l'histoire est un peu naïve, les dialogues n'en sont que plus jouissifs, avec ce charme désuets des 50's.
Le voyage vers Mars est émaillé de petites péripéties. Le suspens est un peu naïf, à moins que ce ne soit notre époque qui soit blasée. Le héros est trop héros, on en fait plus des comme ça.
Mais il en ressort une impression d'optimisme, celui d'une époque où le mot progrès avait encore un sens !
Ce roman a été écrit dans les années 50. Et comme le dit si bien Clarke dans la nouvelle préface : "je suis désolé". De quoi ? Des erreurs scientifiques. Mais on lui pardonne bien volontiers. Car si ce livre est bourré d'erreurs, elles sont tout à fait compréhensibles vu l'époque de sa rédaction. Ou alors, il faut jeter le vieux Jules aux orties...
Et si l'histoire est un peu naïve, les dialogues n'en sont que plus jouissifs, avec ce charme désuets des 50's.
Le voyage vers Mars est émaillé de petites péripéties. Le suspens est un peu naïf, à moins que ce ne soit notre époque qui soit blasée. Le héros est trop héros, on en fait plus des comme ça.
Mais il en ressort une impression d'optimisme, celui d'une époque où le mot progrès avait encore un sens !