Les voies d'Anubis, réédition @ 2013 Bragelonne | Illustration de couverture @ Didier Graffet
Illustration et quatrième de couverture
Lorsque le professeur Brendan Doyle accepte de donner une conférence sur le poète anglais Coleridge, il est loin d'imaginer qu'il ne va pas tarder à le rencontrer en personne... en 1810 ! Car après avoir accepté l'offre d'un millionnaire ayant percé les mystères du voyage dans le temps, le voilà plongé dans une aventure rocambolesque, traversant un Londres peuplé de bohémiens, de mendiants douteux et de sorciers terrifiants, tel ce clown macabre qui règne sur le monde souterrain. Et pour couronner le tout, Doyle ne peut revenir à son époque, à moins de déjouer les plans malfaisants de mages égyptiens qui veulent ramener leurs anciens dieux à la vie. Mais osera-t-il prendre le risque de changer le cours de l'Histoire ?
Fiche de lecture
Ceci est ma deuxième incursion dans un univers de Tim Powers. Et comment dire…
Pour moi, un bon livre c’est comme un bon plat, cela se savoure et se mange avec plaisir. Un met appétissant, pas une tambouille qu’on se force à avaler avec un sourire jaune aux lèvres, parce que tout le monde vous dit que c’est bon, ou dans le cas présent, que c'est une oeuvre majeure du genre steampunk.
Avec Sur des mers plus ignorées, j’avais déjà dit que je trouvais le style lourd, mais je ne sais toujours pas si cela provient de la traduction française ou pas. Ici c’est pareil. Le style est lourd de chez lourd, et l’histoire, franchement laborieuse.
De ce fait, je ne peux pas parler de « lecture plaisir ». Je n’aime pas ce style. Je ne dis pas que c’est mauvais, mais en ce qui me concerne, je ne veux pas de cela. Je n’ai pas envie de me forcer à lire un texte qui me rebute. Donc après trois tentatives, je laisse tomber, sous peine de finir écœurée.
J’avais été séduite par la belle couverture du livre réalisée par Didier Graffet, une édition superbe au look steampunk. En tant qu’amatrice de livres papier, je me suis laissée séduire par l’extérieur, mais le contenu me déçoit. C’est dommage. Et c’est là que l’on voit, une fois de plus, à quel point la couverture d’un livre peut avoir un impact sur son achat ou pas.
Bref, en ce qui me concerne, Tim Powers c’est bon, j’ai vu. Il est temps de passer à autre chose…
Pour moi, un bon livre c’est comme un bon plat, cela se savoure et se mange avec plaisir. Un met appétissant, pas une tambouille qu’on se force à avaler avec un sourire jaune aux lèvres, parce que tout le monde vous dit que c’est bon, ou dans le cas présent, que c'est une oeuvre majeure du genre steampunk.
Avec Sur des mers plus ignorées, j’avais déjà dit que je trouvais le style lourd, mais je ne sais toujours pas si cela provient de la traduction française ou pas. Ici c’est pareil. Le style est lourd de chez lourd, et l’histoire, franchement laborieuse.
De ce fait, je ne peux pas parler de « lecture plaisir ». Je n’aime pas ce style. Je ne dis pas que c’est mauvais, mais en ce qui me concerne, je ne veux pas de cela. Je n’ai pas envie de me forcer à lire un texte qui me rebute. Donc après trois tentatives, je laisse tomber, sous peine de finir écœurée.
J’avais été séduite par la belle couverture du livre réalisée par Didier Graffet, une édition superbe au look steampunk. En tant qu’amatrice de livres papier, je me suis laissée séduire par l’extérieur, mais le contenu me déçoit. C’est dommage. Et c’est là que l’on voit, une fois de plus, à quel point la couverture d’un livre peut avoir un impact sur son achat ou pas.
Bref, en ce qui me concerne, Tim Powers c’est bon, j’ai vu. Il est temps de passer à autre chose…
