Tome 1 - Esmeralda (2018)
Dans un futur plus ou moins lointain, après une de ces guerres spatiales absurdes qui a vu la Terre triompher de Mars, les hommes partent explorer d'autres galaxies parce qu'ils en ont les moyens. Ainsi Marko débarque sur Esmeralda. Une planète-jungle hostile, peuplée d'êtres monstrueux, mi-animaux mi-végétaux. Les colons y survivent à peine et se débattent dans une utopie pathétique ; ils savent qu'ils ne partiront pas de la planète et ajoutent à la violence endémique des lieux l'injustice propre à l'espèce humaine. C'est dans ce contexte que Marko espère durer... jusqu'à ce que, traqué par les colons, il s'enfonce dans la jungle d'Esmeralda.
Fiche de lecture
Un livre assez court de 250 pages qui a ce don particulier de vous entraîner dans sa spirale dès les premières pages. L'écriture est très fluide, très incisive, très prenante.
Ce livre pourrait être une version bis d'Avatar, mais les idées développées sont remarquablement différentes et très bien suivies. La structure, d'ailleurs, du roman est étonnamment bien construite, d'une cohérence sans faille. Le scénario est d'une grande rigueur.
Et puis, j'aime beaucoup le personnage qui a été un vrai méchant dans sa vie antérieure mais au fond est un vrai gentil, sans être gnangnan du tout.
Un livre assez jubilatoire qui, et c'est assez exceptionnel, se termine sur un tournant intéressant, réfléchi, et un peu en apothéose. D'une apothéose simple et profonde.
Ce livre pourrait être une version bis d'Avatar, mais les idées développées sont remarquablement différentes et très bien suivies. La structure, d'ailleurs, du roman est étonnamment bien construite, d'une cohérence sans faille. Le scénario est d'une grande rigueur.
Et puis, j'aime beaucoup le personnage qui a été un vrai méchant dans sa vie antérieure mais au fond est un vrai gentil, sans être gnangnan du tout.
Un livre assez jubilatoire qui, et c'est assez exceptionnel, se termine sur un tournant intéressant, réfléchi, et un peu en apothéose. D'une apothéose simple et profonde.
Tome 2 - Donoma (2019)
Dans un futur plus ou moins lointain, après une de ces guerres spatiales absurdes qui a vu la Terre triompher de Mars, les hommes partent coloniser des planètes, parce que la Terre est mourante et qu’ils en ont encore les moyens.
Les expéditions, voyages sans retour puisqu’il s’agit de coloniser des exoplanètes très lointaines, sont à chaque fois composées de trois types de population : des colons, des militaires et des scientifiques.
Après la lutte pour la survie que le colon Marko a vécu sur Esmeralda, on suit les aventures de Rand Duncan, le militaire, chargé d’assurer la sécurité des colons sur Donoma, une planète désertique du système de Gamma Serpentis, où apparemment rien ne vit.
Apparemment.
Après Esmeralda, Donoma est le deuxième volet du tryptique des Voyages sans retour. Océania complétera ce magistral Space Opera.
Les expéditions, voyages sans retour puisqu’il s’agit de coloniser des exoplanètes très lointaines, sont à chaque fois composées de trois types de population : des colons, des militaires et des scientifiques.
Après la lutte pour la survie que le colon Marko a vécu sur Esmeralda, on suit les aventures de Rand Duncan, le militaire, chargé d’assurer la sécurité des colons sur Donoma, une planète désertique du système de Gamma Serpentis, où apparemment rien ne vit.
Apparemment.
Après Esmeralda, Donoma est le deuxième volet du tryptique des Voyages sans retour. Océania complétera ce magistral Space Opera.
Tome 3 - Océania (2021)
Dans un futur plus ou moins lointain, après une de ces guerres spatiales absurdes qui a vu la Terre triompher de Mars, les humains partent coloniser d’autres planètes parce que Terra est mourante. Ana Da Silva, biologiste moléculaire, est poussée au départ par le manque de perspectives et de sécurité. Elle est envoyée sur Océania, une planète où l’élément liquide domine et entoure un continent unique. L’Océan est peuplé de microbes et de bactéries qui assurent une concentration suffisante d’oxygène dans l’atmosphère, mais aucune forme de vie intelligente n’est à signaler. Alors qu’une équipe de scientifiques cherche à mieux comprendre l’écosystème de cette planète, Ana apprend que son destin est sur le point de basculer.
Dans ce troisième tome du Cycle des Voyages sans retour, Bernard Fischli continue son exploration imaginaire d’une Humanité confrontée à des environnements inconnus et aux possibles utopiques offerts par l’établissement sur une nouvelle planète. Océania est un roman chargé d’émotions, mais également de nostalgies - de saudade à la portugaise - pour ceux et celles qui sont restés sur Terra ou qui sont disséminés dans le Cosmos. C’est une Ode à l’Humanité et à la capacité à se reconstruire après la catastrophe.
Dans ce troisième tome du Cycle des Voyages sans retour, Bernard Fischli continue son exploration imaginaire d’une Humanité confrontée à des environnements inconnus et aux possibles utopiques offerts par l’établissement sur une nouvelle planète. Océania est un roman chargé d’émotions, mais également de nostalgies - de saudade à la portugaise - pour ceux et celles qui sont restés sur Terra ou qui sont disséminés dans le Cosmos. C’est une Ode à l’Humanité et à la capacité à se reconstruire après la catastrophe.