Une guerre atomique dévaste la planète, et dans la France détruite, un groupe de survivants s'organise en communauté sédentaire derrière les remparts d'une forteresse. Le groupe arrivera-t-il à surmonter les dangers qui naissent chaque jour de sa situation, de l'indiscipline de ses membres, de leurs différences idéologiques, et surtout des bandes armées qui convoitent leurs réserves et leur «nid crénelé» ?
Fiche de lecture
Mettons tout de suite les choses au point : d'une certaine manière, j'ai découvert la littérature par Malevil. Plus exactement, le plaisir et la jouissance dans la littérature. Inutile de chercher une quelconque forme d'objectivité dans les mots qui vont suivre, il n'y en a pas.
Malevil, c'est tout ce que j'aime dans un roman : de l'aventure, une écriture flamboyante et miraculeuse, un héros qui en est un, une subtilité constante, et de la matière à réfléchir pour les 400 ans à venir.
Depuis la place de la femme dans la société jusqu'à la fonction d'une religion en passant par l'importance des valeurs et de la connaissance, les thèmes que l'on peut dénicher dans ce roman sont pratiquement sans fin. Même si ce n'est absolument pas ce point qui m'a englouti dans son tourbillon d'émotion.
Malevil, c'est le livre que tout un chacun rêve d'écrire : une manière si positive et naturelle de dérouler l'histoire que le lecteur la vit plus que la lit. Chose que l'on retrouve très rarement mais qui procure des moments d'extase presque charnelle.
Malevil, c'est une truculence qui vous prend aux yeux et vous engloutit dans un tourbillon de jouissance. Un mélange de chaleur humaine et de proximité, de combats épiques et de liberté qui vous prend aux tripes et ne vous lâche plus jusqu'aux derniers mots.
Malevil, c'est la plongée dans un monde imaginaire, cruel et neuf, apocalyptique et possible qui sonne comme une fantastique charge d'humanité à nos oreilles.
Malevil, c'est tout ce que j'aime dans un roman : de l'aventure, une écriture flamboyante et miraculeuse, un héros qui en est un, une subtilité constante, et de la matière à réfléchir pour les 400 ans à venir.
Depuis la place de la femme dans la société jusqu'à la fonction d'une religion en passant par l'importance des valeurs et de la connaissance, les thèmes que l'on peut dénicher dans ce roman sont pratiquement sans fin. Même si ce n'est absolument pas ce point qui m'a englouti dans son tourbillon d'émotion.
Malevil, c'est le livre que tout un chacun rêve d'écrire : une manière si positive et naturelle de dérouler l'histoire que le lecteur la vit plus que la lit. Chose que l'on retrouve très rarement mais qui procure des moments d'extase presque charnelle.
Malevil, c'est une truculence qui vous prend aux yeux et vous engloutit dans un tourbillon de jouissance. Un mélange de chaleur humaine et de proximité, de combats épiques et de liberté qui vous prend aux tripes et ne vous lâche plus jusqu'aux derniers mots.
Malevil, c'est la plongée dans un monde imaginaire, cruel et neuf, apocalyptique et possible qui sonne comme une fantastique charge d'humanité à nos oreilles.