Affiche et synopsis
Hantée par la mort de son fils de huit ans, Sam, décédé dans un accident d'avion quatorze mois auparavant, Telly décide de consulter un psychiatre pour tenter de surmonter sa douleur. Le docteur Munce lui apprend alors que son fils n'a jamais existé, et qu'elle est sujette aux hallucinations. Elle s'est, selon lui, forgé ses souvenirs de toutes pièces... Telly pense devenir folle jusqu'à ce qu'elle rencontre Ash Correll, le père d'une autre victime du crash. Ensemble, ils vont essayer de prouver que leurs enfants ont bien existé pour mettre fin au cauchemar...
Présentation
Il y a un peu plus d'un an, Telly Paretta a vécu un horrible drame : l'avion à bord duquel voyageait son fils Sam, en compagnie d'autres enfants, s'est écrasé, ne laissant aucun survivant. Les séances de thérapie ne permettent pas à la jeune mère de surmonter le choc. Mais les choses prennent une étrange tournure quand son mari et son psychiatre lui font soudain comprendre que ce drame n'a jamais eu lieu! Ou plutôt qu'il est différent : Telly n'a jamais eu d'enfant ! Elle s'est créée toute cette illusion suite à une fausse couche...
Pourtant, la jeune femme est sûre de se souvenir de son fils. Mais même les photos disparaissent et les cassettes vidéo de Sam sont vides. Les tiroirs qui contenaient les affaires de l'enfant sont remplis d'autres objets. Telly prend la fuite et rencontre Ash Correll, le père d'une autre enfant disparue dans l'accident d'avion et amie de Sam. Pourtant, l'homme semble avoir oublié jusqu'à l'existence de sa fille. Jusqu'au moment où ils arrachent le papier peint dans une pièce de son appartement et découvrent qu'il s'agissait de la chambre de sa gamine...
S'agit-il d'un complot ? Non, d'une expérience menée par des êtres étranges ...
Pourtant, la jeune femme est sûre de se souvenir de son fils. Mais même les photos disparaissent et les cassettes vidéo de Sam sont vides. Les tiroirs qui contenaient les affaires de l'enfant sont remplis d'autres objets. Telly prend la fuite et rencontre Ash Correll, le père d'une autre enfant disparue dans l'accident d'avion et amie de Sam. Pourtant, l'homme semble avoir oublié jusqu'à l'existence de sa fille. Jusqu'au moment où ils arrachent le papier peint dans une pièce de son appartement et découvrent qu'il s'agissait de la chambre de sa gamine...
S'agit-il d'un complot ? Non, d'une expérience menée par des êtres étranges ...
Au départ, tout indique qu'il s'agit d'un film dramatique, qui va nous faire suivre les errements de Terry (Julianne Moore), dépressive après la disparition de son fils, pour qui les séances auprès de son psy (Gary Sinise) ne sont d'aucune aide. Ce n'est que graduellement que des éléments nous permettent de découvrir que nous sommes bien dans le fantastique.
Dès ce moment-là, le film change, passant du drame à la recherche de ce que l'on cache aux personnages. L'ambiance n'en reste pas moins lourde, les personnages portant, par exemple, uniquement du noir tout au long de l'histoire.
« The Forgotten » (littéralement, "Les oubliés") a reçu une critique négative à sa sortie, ce qui ne l'empêcha pas d'obtenir une bonne audience, étant même en tête des box-offices pour le week-end à sa sortie dans les salles.
Le film porte, en anglais, le même titre que la série télévisée « Portés Disparus ». Il est la dernière réalisation de J. Ruben, à qui on doit d'autres « ambiances lourdes », comme « Le Beau-Père » (Stepfather) ou « Les nuits avec mon ennemi ».
Dès ce moment-là, le film change, passant du drame à la recherche de ce que l'on cache aux personnages. L'ambiance n'en reste pas moins lourde, les personnages portant, par exemple, uniquement du noir tout au long de l'histoire.
« The Forgotten » (littéralement, "Les oubliés") a reçu une critique négative à sa sortie, ce qui ne l'empêcha pas d'obtenir une bonne audience, étant même en tête des box-offices pour le week-end à sa sortie dans les salles.
Le film porte, en anglais, le même titre que la série télévisée « Portés Disparus ». Il est la dernière réalisation de J. Ruben, à qui on doit d'autres « ambiances lourdes », comme « Le Beau-Père » (Stepfather) ou « Les nuits avec mon ennemi ».