Affiche et synopsis
A Metropolis, humains et robots cohabitent, cantonnés dans des espaces de vie bien définis. Mais des soulèvements anti-robots se multiplient, menaçant l'équilibre de la ville.
Parallèlement, deux policiers, sont envoyés à la recherche du créateur de Tima, un robot ultra-perfectionné.
En même temps que la cachette du génial savant, ils découvrent que ce dernier est protégé par un homme énigmatique et puissant qui projette d'utiliser Tima pour régner sur la population des robots.
Parallèlement, deux policiers, sont envoyés à la recherche du créateur de Tima, un robot ultra-perfectionné.
En même temps que la cachette du génial savant, ils découvrent que ce dernier est protégé par un homme énigmatique et puissant qui projette d'utiliser Tima pour régner sur la population des robots.
Présentation
Metropolis est inspiré du chef-d’œuvre du même nom de Fritz Lang (1927). Ce film d'animation de Rintaro et également inspiré du manga Metropolis d’Osamu Tezuka (1949). Osamu Tezuka aurait eu l’idée de créer ce manga à partir d'une photo du fameux film Metropolis, d'où une différence d'histoire malgré un univers commun.
Ici, on retrouve donc des éléments du film Metropolis, c'est-à-dire une société rétro-futuriste avec des humains voulant détruire les robots qui leur « piquent » leur travail, une ville futuriste en plusieurs couches (zones) mille-feuilles, etc.
Agréable musique un peu jazzy, beaux décors, du steampunk, des ambiances bien rendues, une fin émouvante, mais malheureusement au milieu, un scénario un peu mou et des personnages peu attachants...
Pourtant, l’histoire démarrait plutôt bien, mais rapidement, elle s’enlise dans une interminable course-poursuite et des combats, ce qui fait que mon intérêt s’est gentiment, mais sûrement envolé au fil du film, pour revenir un peu vers la fin.
Mon avis est donc mitigé. Il m’est difficile de qualifier cette œuvre, car elle comporte tout aussi bien d’excellentes choses, que de moins bonnes. Difficile donc de balancer le tout pour trouver un bon équilibre, un juste milieu. Ni bonne, ni mauvaise, elle me laisse ni chaude, ni froide. Je dirais simplement que je ne regrette pas de l’avoir vue, mais je n’y retournerai pas une deuxième fois.
Ici, on retrouve donc des éléments du film Metropolis, c'est-à-dire une société rétro-futuriste avec des humains voulant détruire les robots qui leur « piquent » leur travail, une ville futuriste en plusieurs couches (zones) mille-feuilles, etc.
Agréable musique un peu jazzy, beaux décors, du steampunk, des ambiances bien rendues, une fin émouvante, mais malheureusement au milieu, un scénario un peu mou et des personnages peu attachants...
Pourtant, l’histoire démarrait plutôt bien, mais rapidement, elle s’enlise dans une interminable course-poursuite et des combats, ce qui fait que mon intérêt s’est gentiment, mais sûrement envolé au fil du film, pour revenir un peu vers la fin.
Mon avis est donc mitigé. Il m’est difficile de qualifier cette œuvre, car elle comporte tout aussi bien d’excellentes choses, que de moins bonnes. Difficile donc de balancer le tout pour trouver un bon équilibre, un juste milieu. Ni bonne, ni mauvaise, elle me laisse ni chaude, ni froide. Je dirais simplement que je ne regrette pas de l’avoir vue, mais je n’y retournerai pas une deuxième fois.