Affiche et synopsis
Une mine qui explose au coeur du désert marocain et, des années plus tard, une balle perdue qui vient se loger dans son cerveau... Bazil n'a pas beaucoup de chance avec les armes. La première l'a rendu orphelin, la deuxième peut le faire mourir subitement à tout instant. À sa sortie de l'hôpital, Bazil se retrouve à la rue. Par chance, ce doux rêveur, à l'inspiration débordante, est recueilli par une bande de truculents chiffonniers aux aspirations et aux talents aussi divers qu'inattendus, vivant dans une véritable caverne d'Ali-Baba. Un jour, en passant devant deux bâtiments imposants, Bazil reconnaît le sigle des deux fabricants d'armes qui ont causé ses malheurs. Aidé par sa bande d'hurluberlus, il décide de se venger...
Présentation
Dany Boon est actuellement au sommet du cinéma français. Il suffit que son nom apparaisse à l'affiche d'un film et il attire automatiquement l'attention. Ici, il est secondé par une belle brochette de partenaires qui, s'ils ne sont pas de stars, sont des acteurs confirmés reconnus par la critique. Et tous sont à la hauteur, y compris les moins connus. Ils servent à merveille un scénario totalement délirant, avec une intrigue un peu prévisible mais qui réserve quand même son lot de belles surprises. Mais la grande qualité du film tien à son ambiance typiquement "jean-pierre jeunesque". On reconnait aisément la patte du réalisateur : cadrage surréaliste, ambiances magiques, couleurs rehaussées, contrastes forts... Si vous avez aimé Amélie Poulain, vous aimerez Micmacs à Tire-Larigot.
Je terminerai cette critique par un questionnement. J'ai vu ce film et j'ai lu Le Miroir de Cassandre (Werber) en l'espace d'un mois. Et force est de constater qu'il y a de nombreux points communs. Je n'en dis pas plus pour ne pas gâcher le plaisir. Mais si vous comparez les deux oeuvres c'est une évidence. Alors les deux auteurs/réalisateurs ont-ils puisé dans des idées qui étaient dans le temps, ont-il une source unique ou l'un a-t-il eu vent des projets de l'autre ? Je ne fais aucun procès, aucun reproche, je me pose juste la question.
Je terminerai cette critique par un questionnement. J'ai vu ce film et j'ai lu Le Miroir de Cassandre (Werber) en l'espace d'un mois. Et force est de constater qu'il y a de nombreux points communs. Je n'en dis pas plus pour ne pas gâcher le plaisir. Mais si vous comparez les deux oeuvres c'est une évidence. Alors les deux auteurs/réalisateurs ont-ils puisé dans des idées qui étaient dans le temps, ont-il une source unique ou l'un a-t-il eu vent des projets de l'autre ? Je ne fais aucun procès, aucun reproche, je me pose juste la question.