Affiche et synopsis
Dans une paisible forêt, les reliefs d'un pique-nique déclenchent une guerre sans merci entre deux bandes rivales de fourmis convoitant le même : une boîte de sucres !
C'est dans cette tourmente qu'une jeune coccinelle va se lier d'amitié avec une fourmi noire et l'aider à sauver son peuple des terribles fourmis rouges.
C'est dans cette tourmente qu'une jeune coccinelle va se lier d'amitié avec une fourmi noire et l'aider à sauver son peuple des terribles fourmis rouges.
Présentation
Ce film, inspiré d'une série animée (Minuscule : La Vie privée des Insectes), joue à fond la carte qu'il a choisie : celle de l'enchantement !
Ce qui m'a frappé au premier regard, c'est son concept graphique novateur : l'inclusion d'images de synthèse (insectes...) dans des prises de vue réelles. On a ainsi des coccinelles toutes mimi et des fourmis patibulaires au milieu d'un univers d'herbes et de cailloux réaliste. Ce parti pris représentait un risque certain. Mais le risque, parfois, ça paie ! Et c'est le cas avec Minuscule. On plonge avec délice dans cet univers visuel charmant et frais.
Le deuxième parti pris, tout aussi risqué, c'est l'absence totale de voix humaines. Les insectes s'expriment, mais par le truchement de mimiques, de mimes et de mélodies. Une mouche klaxonne une insulte, une fourmi siffle un ordre, la coccinelle trompette une suggestion. Et tout cela se fait le plus naturellement du monde.
Le scénario, quant à lui, concilie le besoin de simplicité des enfants avec le désir des parents d'avoir une véritable histoire. Quelques rebondissements souvent suffisent à éviter une linéarité dont, il faut quand même le dire, on n'est pas passé très loin. Mais tout à mon émerveillement, j'ai failli ne pas le remarquer !
La cerise sur le gâteau, c'est l'humour omniprésent. Ce film ne se prend pas au sérieux et il y gagne en crédibilité. Paradoxe quand tu nous tiens !
En conclusion, je le recommande à tous les enfants, y compris à ceux qui sommeillent dans le coeur de chaque adulte.
Ce qui m'a frappé au premier regard, c'est son concept graphique novateur : l'inclusion d'images de synthèse (insectes...) dans des prises de vue réelles. On a ainsi des coccinelles toutes mimi et des fourmis patibulaires au milieu d'un univers d'herbes et de cailloux réaliste. Ce parti pris représentait un risque certain. Mais le risque, parfois, ça paie ! Et c'est le cas avec Minuscule. On plonge avec délice dans cet univers visuel charmant et frais.
Le deuxième parti pris, tout aussi risqué, c'est l'absence totale de voix humaines. Les insectes s'expriment, mais par le truchement de mimiques, de mimes et de mélodies. Une mouche klaxonne une insulte, une fourmi siffle un ordre, la coccinelle trompette une suggestion. Et tout cela se fait le plus naturellement du monde.
Le scénario, quant à lui, concilie le besoin de simplicité des enfants avec le désir des parents d'avoir une véritable histoire. Quelques rebondissements souvent suffisent à éviter une linéarité dont, il faut quand même le dire, on n'est pas passé très loin. Mais tout à mon émerveillement, j'ai failli ne pas le remarquer !
La cerise sur le gâteau, c'est l'humour omniprésent. Ce film ne se prend pas au sérieux et il y gagne en crédibilité. Paradoxe quand tu nous tiens !
En conclusion, je le recommande à tous les enfants, y compris à ceux qui sommeillent dans le coeur de chaque adulte.