Affiche et synopsis
Une force mystérieuse fait sortir la Lune de son orbite autour de la Terre et l'envoie à toute vitesse se crasher sur la planète bleue.
À quelques semaines de l'impact et alors que le monde est au bord de l'anéantissement, Jo Fowler (Halle Berry), cadre de la NASA et ancienne astronaute, est convaincue qu'elle détient la clé pour nous sauver tous. Seuls un astronaute de son passé, Brian Harper (Patrick Wilson) et un théoricien du complot, K.C. Houseman (John Bradley) la croient.
Ces héros improbables vont monter une mission impossible de dernière minute dans l'espace, laissant derrière eux tous ceux qu'ils aiment. Ce qu'ils découvriront sur la Lune dépasse tout entendement.
À quelques semaines de l'impact et alors que le monde est au bord de l'anéantissement, Jo Fowler (Halle Berry), cadre de la NASA et ancienne astronaute, est convaincue qu'elle détient la clé pour nous sauver tous. Seuls un astronaute de son passé, Brian Harper (Patrick Wilson) et un théoricien du complot, K.C. Houseman (John Bradley) la croient.
Ces héros improbables vont monter une mission impossible de dernière minute dans l'espace, laissant derrière eux tous ceux qu'ils aiment. Ce qu'ils découvriront sur la Lune dépasse tout entendement.
Avertissement cordial
⚠ Si t'es en train de boire ou de manger, matelot, gaffe-toi à ne pas t'étouffer de rire en lisant ce qui suit !
Présentation
Il y a des réalisateurs qui proposent des films catastrophes qui sont intéressants et font réfléchir, car les événements présentés pourraient se produire un jour. Et puis, il y a Emmerich, mastodonte maître de la démesure. Il ose tout et n’importe quoi ! Il envisage tout et n’importe quoi en super-hyper-méga grand et au diable la cohérence du scénario. Pourvu que ça pète, que ça déchire et que ça jette des briques. C’est sa marque de fabrique.
Visionner un film d’Emmerich exige donc un certain conditionnement. Tu dois te mettre en mode « neurones déconnectés » et, bien calé(e) dans ton fauteuil, prévoir un bidon (oui un bidon, nous aussi on sait faire dans la démesure !) de pop-corn. Tu regardes sans te poser de questions, tu te marres tellement c’est con, tu rouspètes parce que quand même ça ne tient pas la route, tu lèves les yeux au ciel tant les dialogues sont pourris et tu t’exclames quand ça déchire. T’en prends plein les mirettes, tout en te goinfrant.
Pour info, la Lune et moi, on a des comptes à régler. Tandis que la nuit elle s’affiche dans toute sa splendeur et que je me réjouis de l’immortaliser, cette coquine aime à me tourner en bourrique lorsque je la prends en photo, ce qui fait d’ailleurs beaucoup rire mon équipage à qui je dois les intitulés de ces clichés ci-dessous.
De gauche à droite :
- La Lune poussée par Superman
Visionner un film d’Emmerich exige donc un certain conditionnement. Tu dois te mettre en mode « neurones déconnectés » et, bien calé(e) dans ton fauteuil, prévoir un bidon (oui un bidon, nous aussi on sait faire dans la démesure !) de pop-corn. Tu regardes sans te poser de questions, tu te marres tellement c’est con, tu rouspètes parce que quand même ça ne tient pas la route, tu lèves les yeux au ciel tant les dialogues sont pourris et tu t’exclames quand ça déchire. T’en prends plein les mirettes, tout en te goinfrant.
Pour info, la Lune et moi, on a des comptes à régler. Tandis que la nuit elle s’affiche dans toute sa splendeur et que je me réjouis de l’immortaliser, cette coquine aime à me tourner en bourrique lorsque je la prends en photo, ce qui fait d’ailleurs beaucoup rire mon équipage à qui je dois les intitulés de ces clichés ci-dessous.
De gauche à droite :
- La Lune poussée par Superman
- La Lune qui roule en bas la montagne
- Érection lunaire
- La Lune boomerang ou la Lune after sex
Photos de la Lune (on ne rit pas !) @ Koyolite Tseila, avec la caméra de mon SmartPhone
Ces anecdotes pour te dire que lorsque j’ai appris qu’Emmerich allait faire s’écraser la Lune sur la Terre, je n’ai pas voulu manquer ça parce que, de toi à moi, une idée aussi saugrenue ne me serait jamais venue à l’esprit. Je voulais donc me rendre compte de ce que ça donnerait visuellement. Bon, il faut dire aussi que le mastodonte et moi, on n’a pas les mêmes moyens financiers à dispo pour réaliser nos effets spéciaux. Les siens sont nettement plus réussis. Le spectacle est grandiose, faut le dire.
Et alors, ça parle de quoi Moonfall ? Tout est dit dans le synopsis - pas plus large que la ficelle d’un string - ci-dessus, matelot. Je n’ai rien à ajouter. La Lune n’est pas ce que tu crois ! C’est tout. Ah si, j’allais oublier : au passage, tu auras droit à un avertissement contre les IA (ça, j’ai bien aimé) livré, non pas à la louche, mais carrément à coups de pelles.
Le scénario - bourré d’incohérences - est en grande partie un patchwork d’idées recyclées, sans réelle originalité. Forcément, en piochant dans des films médiocres comme Armageddon, Independence Day, 2012 et Le jour d’après, ça ne sera pas mieux, mais tu pourras en rajouter une couche pour que ça dure plus longtemps.
Au niveau des personnages, on est dans la carricature. A part Houseman, théoricien du complot et Docteur en je-ne-sais-trop-quoi autoproclamé, qui m’est sympathique, les autres manquent cruellement de profondeur et de charisme. Leurs dialogues sont souvent creux et font parfois pouffer de rire tellement ils sont WTF (what the fuck). Rien de surprenant, quoi.
En somme, Moonfall est un film catastrophe qui vire en mauvais film de science-fiction. Je n'en suis pas déçue. Je n’en attendais pas autre chose. Emmerich a fait du Emmerich. Pour ma part, j'ai remis les compteurs à zéro en faisant le plein d'absurdités pour les deux prochaines années à venir, c'est ce que je voulais et ça va mieux maintenant ^-^ Si tu es fan du style mammouthesque du réalisateur ou si tu cherches simplement un divertissement de grande taille à visionner en mode « neurones OFF », ce film est pour toi, matelot. Mais si tu recherches un scénario cohérent et des personnages bien écrits, je te conseille de dévier de trajectoire pour éviter de te prendre la Lune sur la tronche ! 😜
Et alors, ça parle de quoi Moonfall ? Tout est dit dans le synopsis - pas plus large que la ficelle d’un string - ci-dessus, matelot. Je n’ai rien à ajouter. La Lune n’est pas ce que tu crois ! C’est tout. Ah si, j’allais oublier : au passage, tu auras droit à un avertissement contre les IA (ça, j’ai bien aimé) livré, non pas à la louche, mais carrément à coups de pelles.
Le scénario - bourré d’incohérences - est en grande partie un patchwork d’idées recyclées, sans réelle originalité. Forcément, en piochant dans des films médiocres comme Armageddon, Independence Day, 2012 et Le jour d’après, ça ne sera pas mieux, mais tu pourras en rajouter une couche pour que ça dure plus longtemps.
Au niveau des personnages, on est dans la carricature. A part Houseman, théoricien du complot et Docteur en je-ne-sais-trop-quoi autoproclamé, qui m’est sympathique, les autres manquent cruellement de profondeur et de charisme. Leurs dialogues sont souvent creux et font parfois pouffer de rire tellement ils sont WTF (what the fuck). Rien de surprenant, quoi.
En somme, Moonfall est un film catastrophe qui vire en mauvais film de science-fiction. Je n'en suis pas déçue. Je n’en attendais pas autre chose. Emmerich a fait du Emmerich. Pour ma part, j'ai remis les compteurs à zéro en faisant le plein d'absurdités pour les deux prochaines années à venir, c'est ce que je voulais et ça va mieux maintenant ^-^ Si tu es fan du style mammouthesque du réalisateur ou si tu cherches simplement un divertissement de grande taille à visionner en mode « neurones OFF », ce film est pour toi, matelot. Mais si tu recherches un scénario cohérent et des personnages bien écrits, je te conseille de dévier de trajectoire pour éviter de te prendre la Lune sur la tronche ! 😜