Affiche et synopsis
Sur une Terre ravagée par la folie des hommes durant les "sept jours de feu", une poignée d'humains a réussi à survivre dans une vallée protégée par le vent. Ce peuple agricole est pourtant menacé par une forêt toxique qui ne cesse de prendre de l'ampleur, forêt où seuls survivent des insectes géants et mutants.
Ces quelques survivants voient un jour leur roi bien aimé assassiné et leur princesse Nausicaä faite prisonnière. Or cette dernière, sensible à la nature et à l'écosystème, est seule capable de communiquer avec les mutants...
Ces quelques survivants voient un jour leur roi bien aimé assassiné et leur princesse Nausicaä faite prisonnière. Or cette dernière, sensible à la nature et à l'écosystème, est seule capable de communiquer avec les mutants...
Présentation
Nausicaä de la Vallée du Vent est un film réalisé par Hayao Miyazaki qui est sorti en 1984 en salles (Japon). Il s'agit d'une adaptation du manga du même nom, que je n'ai pas encore eu le plaisir de découvrir.
Cette histoire se déroule sur Terre, dans un contexte post-apocalyptique. Les habitants de la Vallée du Vent tentent de survivre tant bien que mal entre l'avancée de la forêt renfermant des spores toxiques et les attaques des Tolmèques, leurs venimeux voisins. Nausicaä est une jeune fille, princesse de son royaume. Elle possède un don pour communiquer avec la nature (animaux, insectes, plantes...). Elle est animée par une quête, celle de ramener la paix entre l'Homme et la nature...
Ce film a déjà plus de 30 ans, mais je trouve qu'il est visuellement très agréable à regarder (en comparaison à d'autres dessins animés des années 80 qui ont terriblement mal vieilli). Le scénario est sympa, c'est - en quelque sorte - une fable écologique.
L'héroïne, bien que tout lui réussisse un peu trop facilement (et qu'elle vole sans culotte ?!), est attachante, parce qu'elle a un bon fond, une grande motivation à défendre ses convictions, beaucoup de compassion et de compréhension pour autrui, et un coeur gros comme une montagne. Sa fougue, son enthousiasme, mais aussi sa naïveté, font qu'inévitablement, on l'apprécie. Et on ne peut que lui envier son planeur ! Elle est entourée de personnages secondaires fort sympathiques que je trouve touchants. Et puis sinon, j'ai particulièrement apprécié le rôle des Ômus, ces immenses insectes dotés d'une forte sensibilité.
Dans l'ensemble, j'ai assez bien aimé cette histoire, malgré quelques longueurs. Le côté manichéen des personnages me dérange un peu. Les méchants sont très méchants, et les gentils très gentils. Bref, c'est un peu trop tout noir ou tout blanc à mon goût. Il aurait été intéressant de présenter des antagonistes (et protagonistes) au caractère un peu plus complexe, histoire d'apporter de la nuance au tout.
Beaucoup de gens qualifient ce film de chef-d'oeuvre. Pour ma part, je dirais que c'est un bon film, qui m'a plu, à la fois divertissant et touchant, émouvant.
Cette histoire se déroule sur Terre, dans un contexte post-apocalyptique. Les habitants de la Vallée du Vent tentent de survivre tant bien que mal entre l'avancée de la forêt renfermant des spores toxiques et les attaques des Tolmèques, leurs venimeux voisins. Nausicaä est une jeune fille, princesse de son royaume. Elle possède un don pour communiquer avec la nature (animaux, insectes, plantes...). Elle est animée par une quête, celle de ramener la paix entre l'Homme et la nature...
Ce film a déjà plus de 30 ans, mais je trouve qu'il est visuellement très agréable à regarder (en comparaison à d'autres dessins animés des années 80 qui ont terriblement mal vieilli). Le scénario est sympa, c'est - en quelque sorte - une fable écologique.
L'héroïne, bien que tout lui réussisse un peu trop facilement (et qu'elle vole sans culotte ?!), est attachante, parce qu'elle a un bon fond, une grande motivation à défendre ses convictions, beaucoup de compassion et de compréhension pour autrui, et un coeur gros comme une montagne. Sa fougue, son enthousiasme, mais aussi sa naïveté, font qu'inévitablement, on l'apprécie. Et on ne peut que lui envier son planeur ! Elle est entourée de personnages secondaires fort sympathiques que je trouve touchants. Et puis sinon, j'ai particulièrement apprécié le rôle des Ômus, ces immenses insectes dotés d'une forte sensibilité.
Dans l'ensemble, j'ai assez bien aimé cette histoire, malgré quelques longueurs. Le côté manichéen des personnages me dérange un peu. Les méchants sont très méchants, et les gentils très gentils. Bref, c'est un peu trop tout noir ou tout blanc à mon goût. Il aurait été intéressant de présenter des antagonistes (et protagonistes) au caractère un peu plus complexe, histoire d'apporter de la nuance au tout.
Beaucoup de gens qualifient ce film de chef-d'oeuvre. Pour ma part, je dirais que c'est un bon film, qui m'a plu, à la fois divertissant et touchant, émouvant.