Intégrale
Rien ne va plus à Havreville. Les jouets enchantés et les pains d'épices fabriqués par les elfes risquent de manquer cette année à Noël ! Le maître fromager Jonathan Bing, accompagné par le professeur Wurzle et le jeune Dooley, a pour mission de descendre en radeau le fleuve Oriel jusqu'à la cité portuaire de Maremme et de déjouer les forces maléfiques à l'origine de ce problème d'approvisionnement.
Oriel
1. Le Vaisseau elfique The Elfin Ship, 1982)
2. Le Nain qui disparaissait (The Disappearing Dwarf, 1983)
3. Le Géant de pierre (The Stone Giant, 1989)
2. Le Nain qui disparaissait (The Disappearing Dwarf, 1983)
3. Le Géant de pierre (The Stone Giant, 1989)
Fiche de lecture
Trois histoires reliées, mais qui peuvent être lues séparément, la dernière se déroulant chronologiquement avant les deux autres.
Un livre que j'ai trouvé très surprenant, essentiellement de par sa narration. Dès le début, le lecteur est plongé dans une ambiance de conte. Au lieu de lire, on a l'impression d'entendre une voix nous raconter cette histoire, avec des apartés, quelques petites réflexions et une certaine complicité avec l'auditoire. Le résultat donne un livre atypique, dont les deux premiers tomes oscillent entre d'un côté de la Fantasy et de l'aventure, de l'autre côté cet aspect conte pour enfants. Au final, le résultat est un peu ambigu, quelque part entre les deux styles, pas désagréable à lire mais pas enthousiasmant non plus.
Le troisième tome, en revanche, est plus classique. Il se passe avant les autres, mais doit être lu après, si on veut garder la cohérence de la narration. Cette fois-ci, on est réellement dans l'aventure et l'aspect « conte », s'il est toujours présent, est beaucoup moins fort que dans les deux tomes précédents.
Oriel est une lecture sympathique, mais sans plus. Le cycle se lit vite et fait passer un bon moment, mais ne marquera pas les mémoires, je le crains.
Un livre que j'ai trouvé très surprenant, essentiellement de par sa narration. Dès le début, le lecteur est plongé dans une ambiance de conte. Au lieu de lire, on a l'impression d'entendre une voix nous raconter cette histoire, avec des apartés, quelques petites réflexions et une certaine complicité avec l'auditoire. Le résultat donne un livre atypique, dont les deux premiers tomes oscillent entre d'un côté de la Fantasy et de l'aventure, de l'autre côté cet aspect conte pour enfants. Au final, le résultat est un peu ambigu, quelque part entre les deux styles, pas désagréable à lire mais pas enthousiasmant non plus.
Le troisième tome, en revanche, est plus classique. Il se passe avant les autres, mais doit être lu après, si on veut garder la cohérence de la narration. Cette fois-ci, on est réellement dans l'aventure et l'aspect « conte », s'il est toujours présent, est beaucoup moins fort que dans les deux tomes précédents.
Oriel est une lecture sympathique, mais sans plus. Le cycle se lit vite et fait passer un bon moment, mais ne marquera pas les mémoires, je le crains.