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Affiche et synopsis
Hill Valley est une petite ville tranquille des USA. Son personnage le plus remarquable est le Dr Emmett Brown, un scientifique loufoque. Son seul ami est un jeune homme d'une famille banale : Marty McFly. Quand il invente la machine à voyager dans la temps, c'est tout naturellement que Doc invite Marty à être le témoin de son triomphe. Mais l'expérience va mal tourner et Marty se retrouve coincé en 1955. Là, il va devoir affronter une époque étrange et, surtout, faire en sorte que ses parents tombe amoureux afin qu'il puisse exister dans le futur. Il devra aussi convaincre le Doc de 1955 de l'aider à le renvoyer dans le futur.
Présentation
« Retour vers le Futur » est à la fois un classique du cinéma des années 80 et une référence universelle en matière de voyages dans la temps. Avec lui, Zemeckis signe son premier gros succès au box office, signe d'une carrière prometteuse.
Evidemment, à nos yeux de spectateur du XXIe siècle, ce film regorge d'effets spéciaux tout pourris. Mais ça n'enlève rien à son charme, bien au contraire. C'est avec un bonheur non feint que je me laisse immerger dans l'ambiance des années 80, puis des années 50. Quand on a connu ces vêtements fluos, la mode du skate board, l'invention du « diet coke » et les années Reagan, on ne peut pas s'empêcher de ressentir de la nostalgie. Surtout, rien ne peut effacer les points forts de ce film :
- Un scénario original malgré le pitch basique.
- Des personnages attachants bien servis par un duo d'acteurs magnifiques.
- Des scènes d’anthologie comme celle du délire de Marty sur scène.
- Des répliques qui sont restées gravées dans la mémoires (« nom de Zeus »...)
Pour moi, ce film (et la trilogie qui va avec) mérite de figurer au panthéon des meilleures oeuvres de SF.
Evidemment, à nos yeux de spectateur du XXIe siècle, ce film regorge d'effets spéciaux tout pourris. Mais ça n'enlève rien à son charme, bien au contraire. C'est avec un bonheur non feint que je me laisse immerger dans l'ambiance des années 80, puis des années 50. Quand on a connu ces vêtements fluos, la mode du skate board, l'invention du « diet coke » et les années Reagan, on ne peut pas s'empêcher de ressentir de la nostalgie. Surtout, rien ne peut effacer les points forts de ce film :
- Un scénario original malgré le pitch basique.
- Des personnages attachants bien servis par un duo d'acteurs magnifiques.
- Des scènes d’anthologie comme celle du délire de Marty sur scène.
- Des répliques qui sont restées gravées dans la mémoires (« nom de Zeus »...)
Pour moi, ce film (et la trilogie qui va avec) mérite de figurer au panthéon des meilleures oeuvres de SF.