Illustration et quatrième de couverture
Rossignol @ 2023 Le Bélial' | Illustration de couverture @ Aurélien Police
Lointain futur. Espace profond.
Plus qu’une prouesse technologique, la station est une expérience. Politique, sociale, économique, philosophique. Ainsi, au sein de ce gigantesque assemblage minier peuplé d’espèces venues de tous horizons, les stationniens se définissent moins en fonction de leurs origines que de leurs pourcentages génétiques. Melting-pot utopique, la station offre de fait un refuge de tolérance unique au cœur de la Galaxie — une vie en symbiose gérée par les Paramètres qui adaptent l’environnement aux différentes morphologies, aux contraintes physiques, à toutes les essences du vivant. Ou du moins offrait…
De profonds désaccords entre les Spéciens, favorables à la séparation interespèce, et les Fusionnistes, qui œuvrent pour davantage de métissage, cristallisent les tensions.
Au milieu de ces courants qu’elle ne maîtrise pas, une femme, stationnienne insignifiante, va devoir choisir son camp, et par là même, peut-être, peser sur le devenir de la station et sa myriade d’habitants.
Brève de lecture
📺 Extrait du monologue d'introduction de la saison 1 de la série TV Babylon5 (1993-1998) :
📘 Extrait du texte de la quatrième de couverture de Rossignol :
Bonjour et merci à ma série télévisée de science-fiction favorite d'avoir "prêté" sa station spatiale comme décor pour une nouvelle histoire... L'emprunt est évident, cependant cela ne me dérange pas outre mesure, bien qu'une mention de la source d'inspiration aurait été appréciée.
J'ai lu une bonne partie de cette novella, puis j'ai finalement déclaré forfait pour plusieurs raisons…
Inventer du vocabulaire, c'est bien, c'est une bonne idée même. Proposer un petit lexique pour que le lecteur s'y retrouve, ça serait encore mieux et très utile !
Ce qui m’a également déroutée, ce sont les changements d'époques, avec cette alternance entre le présent et le passé, pas tout à fait clairs. De plus, les constructions de phrases laborieuses qui demandent à être relues pour en saisir le sens et le style pas toujours fluide m’ont considérablement freinée dans cette lecture.
Ces divers éléments ont fait que je n'ai pas pu m'immerger ni me projeter dans cette histoire comme je l'aurais souhaité, ne sachant pas trop ce que je lisais...
PS : J’adore cette très belle illustration de couverture d’Aurélien Police !
Plus qu’une prouesse technologique, la station est une expérience. Politique, sociale, économique, philosophique. Ainsi, au sein de ce gigantesque assemblage minier peuplé d’espèces venues de tous horizons, les stationniens se définissent moins en fonction de leurs origines que de leurs pourcentages génétiques. Melting-pot utopique, la station offre de fait un refuge de tolérance unique au cœur de la Galaxie — une vie en symbiose gérée par les Paramètres qui adaptent l’environnement aux différentes morphologies, aux contraintes physiques, à toutes les essences du vivant. Ou du moins offrait…
De profonds désaccords entre les Spéciens, favorables à la séparation interespèce, et les Fusionnistes, qui œuvrent pour davantage de métissage, cristallisent les tensions.
Au milieu de ces courants qu’elle ne maîtrise pas, une femme, stationnienne insignifiante, va devoir choisir son camp, et par là même, peut-être, peser sur le devenir de la station et sa myriade d’habitants.
Brève de lecture
📺 Extrait du monologue d'introduction de la saison 1 de la série TV Babylon5 (1993-1998) :
C'était l'aube du troisième âge de l'Humanité, dix ans après la guerre entre les Terriens et les Minbaris. Le Projet Babylon était un rêve qui s'était concrétisé. L'objectif était d'éviter une autre guerre en créant un lieu où Humains et extra-terrestres cohabiteraient dans le respect de leurs différences. C'était une escale, une seconde maison pour tous : diplomates, affairistes, innovateurs, et vagabonds. Des Humains et des extra-terrestres dans une coque de métal de 2'500'000 tonnes, tournoyant seule au coeur des ténèbres. Cet endroit pouvait être dangereux, mais c'était notre ultime espoir de paix.
📘 Extrait du texte de la quatrième de couverture de Rossignol :
Lointain futur. Espace profond. Plus qu’une prouesse technologique, la station est une expérience. Politique, sociale, économique, philosophique. Ainsi, au sein de ce gigantesque assemblage minier peuplé d’espèces venues de tous horizons, les stationniens se définissent moins en fonction de leurs origines que de leurs pourcentages génétiques. Melting-pot utopique, la station offre de fait un refuge de tolérance unique au cœur de la Galaxie — une vie en symbiose gérée par les Paramètres qui adaptent l’environnement aux différentes morphologies, aux contraintes physiques, à toutes les essences du vivant.
Bonjour et merci à ma série télévisée de science-fiction favorite d'avoir "prêté" sa station spatiale comme décor pour une nouvelle histoire... L'emprunt est évident, cependant cela ne me dérange pas outre mesure, bien qu'une mention de la source d'inspiration aurait été appréciée.
J'ai lu une bonne partie de cette novella, puis j'ai finalement déclaré forfait pour plusieurs raisons…
Inventer du vocabulaire, c'est bien, c'est une bonne idée même. Proposer un petit lexique pour que le lecteur s'y retrouve, ça serait encore mieux et très utile !
Ce qui m’a également déroutée, ce sont les changements d'époques, avec cette alternance entre le présent et le passé, pas tout à fait clairs. De plus, les constructions de phrases laborieuses qui demandent à être relues pour en saisir le sens et le style pas toujours fluide m’ont considérablement freinée dans cette lecture.
Ces divers éléments ont fait que je n'ai pas pu m'immerger ni me projeter dans cette histoire comme je l'aurais souhaité, ne sachant pas trop ce que je lisais...
PS : J’adore cette très belle illustration de couverture d’Aurélien Police !