Synopsis
De mystérieux signes apparaissent sur les murs de Londres, provoquant la mort des individus qui les ont vus. Mais quel est le point commun entre la salle de marché d'une prestigieuse banque d'affaires, le musée national des antiquités, et un cirque itinérant chinois ?
Présentation
A l’inverse du premier épisode « Une Etude en Rose », ce second volet n’est pas inspiré d’un seul livre de Sir Arthur Conan Doyle, mais plutôt de deux romans : « La Vallée de la Peur » et « Les Hommes dansants ».
Cette adaptation très libre nous plonge dans une série de meurtres, que bien sûr, le détective Dimmock de Scotland Yard ne parvient pas à résoudre sans l’aide de Sherlock Holmes. En effet, les mystérieux symboles chinois tagués contre les murs de Londres déconcertent la police. En parallèle, Waston, quelque peu à court d’argent, va faire la rencontre de la charmante et sympathique Sarah, alors qu’il cherche du travail.
Malgré tout le sérieux de l’enquête qui préoccupe Sherlock Holmes, ce second épisode ne manque pas d’humour : entre les répliques pince-sans-rire du célèbre détective et les situations cocasses dans lesquelles se retrouve son ami Watson bien malgré lui, il y a de quoi sourire.
Le duo formé par les deux acteurs est vraiment excellent et l’improbable amitié qui lie les deux protagonistes va en s’épanouissant. Ce tandem confère une très bonne dynamique à la série, et ces énigmes transposées à notre époque sont des plus réussies.
Les puristes auront peut-être les cheveux qui se dressent sur la tête à la vue de cette adaptation moderne de l’œuvre de Conan Doyle, mais pour ma part, ça me fait plaisir de suivre les aventures d’un Holmes à l’allure élégante et sexy (plutôt que pantouflarde !) et d’un Watson marrant à l’esprit vif (plutôt qu’éternel souffre-douleur d’Holmes). Je suis conquise par cette adaptation !
Cette adaptation très libre nous plonge dans une série de meurtres, que bien sûr, le détective Dimmock de Scotland Yard ne parvient pas à résoudre sans l’aide de Sherlock Holmes. En effet, les mystérieux symboles chinois tagués contre les murs de Londres déconcertent la police. En parallèle, Waston, quelque peu à court d’argent, va faire la rencontre de la charmante et sympathique Sarah, alors qu’il cherche du travail.
Malgré tout le sérieux de l’enquête qui préoccupe Sherlock Holmes, ce second épisode ne manque pas d’humour : entre les répliques pince-sans-rire du célèbre détective et les situations cocasses dans lesquelles se retrouve son ami Watson bien malgré lui, il y a de quoi sourire.
Le duo formé par les deux acteurs est vraiment excellent et l’improbable amitié qui lie les deux protagonistes va en s’épanouissant. Ce tandem confère une très bonne dynamique à la série, et ces énigmes transposées à notre époque sont des plus réussies.
Les puristes auront peut-être les cheveux qui se dressent sur la tête à la vue de cette adaptation moderne de l’œuvre de Conan Doyle, mais pour ma part, ça me fait plaisir de suivre les aventures d’un Holmes à l’allure élégante et sexy (plutôt que pantouflarde !) et d’un Watson marrant à l’esprit vif (plutôt qu’éternel souffre-douleur d’Holmes). Je suis conquise par cette adaptation !