Affiche et synopsis
Autre(s) article(s) :
James Parker et Harry Holt, deux commerçants anglais résidant au Congo nourrissent depuis des années le désir de quitter l'Afrique mais également de faire fortune et c'est pourquoi ils cherchent désespérément à trouver le mythique et légendaire cimetière des éléphants.
Par la suite, Jane Parker, la fille de James Parker, débarque et souhaite prendre part à leur expédition, son père refuse dans un premier temps mais finit par accepter. Le convoi se compose de James, Harry et Jane, ainsi qu'une dizaine de porteurs.
Le cimetière des éléphants se trouverait sur une terre méconnue, par delà une chaîne de montagnes, appelée par les natifs, Mutia. Cette dernière est considérée comme tabou. L'escalader ou même y porter son regard encourt la mort pour tout indigène qui transgresserait la règle.
Après moult péripéties, Jane rencontre Tarzan...
Par la suite, Jane Parker, la fille de James Parker, débarque et souhaite prendre part à leur expédition, son père refuse dans un premier temps mais finit par accepter. Le convoi se compose de James, Harry et Jane, ainsi qu'une dizaine de porteurs.
Le cimetière des éléphants se trouverait sur une terre méconnue, par delà une chaîne de montagnes, appelée par les natifs, Mutia. Cette dernière est considérée comme tabou. L'escalader ou même y porter son regard encourt la mort pour tout indigène qui transgresserait la règle.
Après moult péripéties, Jane rencontre Tarzan...
Présentation
Tarzan Seigneur de la Junge | Livre
Il est de ces héros légendaires qui laissent à jamais leur empreinte dans nos mémoires. En Suisse, nous avons Guillaume Tell. Dans l’empire Austro-Hongrois, ils ont Johann Peter Weissmüller, ou si vous préférez : Johnny Weissmuller.
Pour la petite histoire, c’est en 1904 qu’est né ce beau bébé. Mais à l’âge de 9 ans, le petit Johnny contracte la poliomyélite. Pour vaincre la maladie, le médecin de la famille, à présent émigrée aux Etats-Unis, recommande de pratiquer de la natation. Miracle : Johnny guérit et continue à exercer ce sport avec zèle, où il excelle. En 1924, il participe même aux Jeux Olympiques où il remporte des médailles. C’est que le bel athlète ne passe pas inaperçu ! En 1929, il est mannequin pour des sous-vêtements masculin, puis il joue dans un film vêtu d’une simple… feuille de vigne. C’est en 1932 que le rôle de Tarzan, célèbre héros créé par Edgar Rice Burroughs en 1912, lui est proposé. Il est alors le sixième acteur à incarner Tarzan à l’écran, mais il est le premier Tarzan parlant (même s’il ne dit pas grand-chose dans ce premier opus). Par la suite, il jouera dans 12 films de Tarzan ! Et c’est Johnny Weissmuller qui le premier a poussé le fameux cri mythique : ooooooooohooooohooooohohohohoooohoo….
Mais revenons à nos moutons, ou plutôt, à notre jungle, au Congo plus précisément. Voici donc l’histoire fascinante d’une fille courageuse, qui au cœur de la jungle, trouvera l’amour dans les bras musclés d’un homme-singe ^-^
Gardons bien à l’esprit que le film est sorti en 1932. Enfant du milieu des années 70, j’ai adoré cette histoire, même si le film me paraissait déjà vieux en ce temps (noir et blanc, son médiocre). Et surtout, mon âme – encore - innocente ne percevait pas tous ces défauts, qui aujourd’hui me font rire et que je trouve charmants.
En revoyant donc ce film presque 35 ans plus tard (bon sang, ça ne me rajeunit pas ça !), je dois dire que j’ai eu beaucoup de peine à me concentrer sur le scénario, tant les imperfections visuelles et scénaristiques me sautent aux yeux. Je me dois de préciser que ceci n’est pas dit de manière négative, parce que cela m’a franchement bien amusée. C’est distrayant à souhait ! Mais je doute que ce soit l’effet voulu…
Au programme il y a donc : les indigènes qui passent sur un écran en fond (derrière les acteurs, alors que le acteurs sont censés être parmi eux), les éléphants qui ne sont pas les bons (comprenez par-là que ce ne sont pas des éléphants d’Afrique, mais pas de souci, il suffit de leur coller des grandes oreilles pour faire plus vrai), les dialogues que l’on peut qualifier de nos jours de « ridicules » (mais qui aujourd’hui font sourire), les acteurs qui surjouent leur rôle (on ne tombe pas dans le vide, on saute dans le vide pour plus d’effet), les animaux qui sont bien effrayants et que l’on canarde à gogo avant même d’avoir pris la peine de les observer (ça, c’est triste, heureusement les mentalités ont changé), des raccords de scènes tout bizarres, des voix qui changent en cours de route (ça c’est un problème lié à l’édition DVD), etc., etc.
Pour préserver intact le souvenir d’une histoire qui m’avait transportée dans des contrées sauvages et émue à l’époque, je n’aurais pas dû chercher à revoir le film. C’était une erreur, car à présent mon regard sur cette œuvre a changé : j’y vois plutôt quelque chose d’humoristique et de charmant. Dans tous les cas, je suis quand même bien contente d’avoir un exemplaire DVD du film avec celui qui, dans mon cœur, restera à jamais LE seul et unique Tarzan : Johnny Weissmuller.
ooooooooohooooohooooohohohohoooohoo…. !!!
Pour aller plus loin, je vous invite à lire ce passionnant article de l'auteur Philippe Lemaire :
👉 Site de Philippe Lemaire, auteur de fantastique. - La légende de Tarzan (google.com)
Pour la petite histoire, c’est en 1904 qu’est né ce beau bébé. Mais à l’âge de 9 ans, le petit Johnny contracte la poliomyélite. Pour vaincre la maladie, le médecin de la famille, à présent émigrée aux Etats-Unis, recommande de pratiquer de la natation. Miracle : Johnny guérit et continue à exercer ce sport avec zèle, où il excelle. En 1924, il participe même aux Jeux Olympiques où il remporte des médailles. C’est que le bel athlète ne passe pas inaperçu ! En 1929, il est mannequin pour des sous-vêtements masculin, puis il joue dans un film vêtu d’une simple… feuille de vigne. C’est en 1932 que le rôle de Tarzan, célèbre héros créé par Edgar Rice Burroughs en 1912, lui est proposé. Il est alors le sixième acteur à incarner Tarzan à l’écran, mais il est le premier Tarzan parlant (même s’il ne dit pas grand-chose dans ce premier opus). Par la suite, il jouera dans 12 films de Tarzan ! Et c’est Johnny Weissmuller qui le premier a poussé le fameux cri mythique : ooooooooohooooohooooohohohohoooohoo….
Mais revenons à nos moutons, ou plutôt, à notre jungle, au Congo plus précisément. Voici donc l’histoire fascinante d’une fille courageuse, qui au cœur de la jungle, trouvera l’amour dans les bras musclés d’un homme-singe ^-^
Gardons bien à l’esprit que le film est sorti en 1932. Enfant du milieu des années 70, j’ai adoré cette histoire, même si le film me paraissait déjà vieux en ce temps (noir et blanc, son médiocre). Et surtout, mon âme – encore - innocente ne percevait pas tous ces défauts, qui aujourd’hui me font rire et que je trouve charmants.
En revoyant donc ce film presque 35 ans plus tard (bon sang, ça ne me rajeunit pas ça !), je dois dire que j’ai eu beaucoup de peine à me concentrer sur le scénario, tant les imperfections visuelles et scénaristiques me sautent aux yeux. Je me dois de préciser que ceci n’est pas dit de manière négative, parce que cela m’a franchement bien amusée. C’est distrayant à souhait ! Mais je doute que ce soit l’effet voulu…
Au programme il y a donc : les indigènes qui passent sur un écran en fond (derrière les acteurs, alors que le acteurs sont censés être parmi eux), les éléphants qui ne sont pas les bons (comprenez par-là que ce ne sont pas des éléphants d’Afrique, mais pas de souci, il suffit de leur coller des grandes oreilles pour faire plus vrai), les dialogues que l’on peut qualifier de nos jours de « ridicules » (mais qui aujourd’hui font sourire), les acteurs qui surjouent leur rôle (on ne tombe pas dans le vide, on saute dans le vide pour plus d’effet), les animaux qui sont bien effrayants et que l’on canarde à gogo avant même d’avoir pris la peine de les observer (ça, c’est triste, heureusement les mentalités ont changé), des raccords de scènes tout bizarres, des voix qui changent en cours de route (ça c’est un problème lié à l’édition DVD), etc., etc.
Pour préserver intact le souvenir d’une histoire qui m’avait transportée dans des contrées sauvages et émue à l’époque, je n’aurais pas dû chercher à revoir le film. C’était une erreur, car à présent mon regard sur cette œuvre a changé : j’y vois plutôt quelque chose d’humoristique et de charmant. Dans tous les cas, je suis quand même bien contente d’avoir un exemplaire DVD du film avec celui qui, dans mon cœur, restera à jamais LE seul et unique Tarzan : Johnny Weissmuller.
ooooooooohooooohooooohohohohoooohoo…. !!!
Pour aller plus loin, je vous invite à lire ce passionnant article de l'auteur Philippe Lemaire :
👉 Site de Philippe Lemaire, auteur de fantastique. - La légende de Tarzan (google.com)