Affiche et synopsis
Un raid en camions se déroule dans un futur proche. Monstre, un camion équipé d'une haute technologie, est piloté par « Gus », une jeune femme qui doit rejoindre Terminus avant ses adversaires. Elle est arrêtée par des soudards qui la mettent hors-jeu. Elle passe le relais à Manchot. Mais en réalité, la course est un leurre, afin de permettre l'entrée d'un engin qui collecte du sang humain pour des expériences de clonage menées par les maîtres de Terminus...
Source : Terminus (film, 1987) — Wikipédia (wikipedia.org)
Source : Terminus (film, 1987) — Wikipédia (wikipedia.org)
Présentation
J'imagine que de nos jours, ce film doit être difficile à visionner pour de jeunes yeux, mais à l'époque, c'était tout de même bien intrigant !
Pensez donc : Johnny Hallyday en camionneur post-apocalyptique, équipé d'une prothèse cybernétique piquée sur un tournage de série live action type Bioman et pilotant un énorme camion nommé Monstre, avec une bouche genre Téléchat sur le tableau de bord. Oui je sais, tout cela n'envoie pas beaucoup de rêve.
Un film de Pierre-William Glenn voulant marcher dans les traces d'un Mad Max mais se contentant de tituber. La french touch est bien là, mais comme d'habitude, pas de budget répondant à l'ambition et donc, les habituelles bouts de ficelles pour faire du décor futuriste crasseux.
On voit bien le propos, avec le prétexte d'une course sans rythme ni ampleur, la tentative d'imitation du modèle américain est loupée, bien entendu, mais je ressens comme une sorte de tendresse pour cet essai foireux.
Ah oui ! Et le méchant est joué par Jürgen Prochnow qui, entre autres, pilote un camion avec un champ de camouflage, mais que l'on ne voit pas beaucoup, le budget effets spéciaux ayant dû être englouti par le machin.
Film à voir ? Bof, peut-être par les fans hardcore de Jean-Philippe Smet (alias Johnny Hallyday) aimant la science-fiction sans moyens.
Pensez donc : Johnny Hallyday en camionneur post-apocalyptique, équipé d'une prothèse cybernétique piquée sur un tournage de série live action type Bioman et pilotant un énorme camion nommé Monstre, avec une bouche genre Téléchat sur le tableau de bord. Oui je sais, tout cela n'envoie pas beaucoup de rêve.
Un film de Pierre-William Glenn voulant marcher dans les traces d'un Mad Max mais se contentant de tituber. La french touch est bien là, mais comme d'habitude, pas de budget répondant à l'ambition et donc, les habituelles bouts de ficelles pour faire du décor futuriste crasseux.
On voit bien le propos, avec le prétexte d'une course sans rythme ni ampleur, la tentative d'imitation du modèle américain est loupée, bien entendu, mais je ressens comme une sorte de tendresse pour cet essai foireux.
Ah oui ! Et le méchant est joué par Jürgen Prochnow qui, entre autres, pilote un camion avec un champ de camouflage, mais que l'on ne voit pas beaucoup, le budget effets spéciaux ayant dû être englouti par le machin.
Film à voir ? Bof, peut-être par les fans hardcore de Jean-Philippe Smet (alias Johnny Hallyday) aimant la science-fiction sans moyens.