Terrariums @ 2023 Éditions Critic | Illustration de couverture @ Niko Henrichon
Illustration et quatrième de couverture
Quand Cora revient à elle, seule et amnésique, dans une vallée cernée par quatre murs réfléchissants infranchissables, elle comprend qu’elle est prisonnière. Elle découvre bientôt que d’autres humains survivent dans ce terrarium, ignorants comme elle de la manière dont ils y sont arrivés.
Tandis que tous cherchent à comprendre leur situation, des souvenirs commencent à ressurgir. Les prisonniers du terrarium ont participé à une mission de validation de l’habitabilité d’une planète, Kerana, sur laquelle ils ont, par accident, déclenché un mécanisme alien extrêmement dangereux, et qui pourrait être lié à leur situation présente.
Les questions se multiplient : où sont-ils ? Qui les détient ? Et depuis combien de temps ?
Pour Cora, une seule chose est sûre : des réponses l’attendent, hors du terrarium.
Tandis que tous cherchent à comprendre leur situation, des souvenirs commencent à ressurgir. Les prisonniers du terrarium ont participé à une mission de validation de l’habitabilité d’une planète, Kerana, sur laquelle ils ont, par accident, déclenché un mécanisme alien extrêmement dangereux, et qui pourrait être lié à leur situation présente.
Les questions se multiplient : où sont-ils ? Qui les détient ? Et depuis combien de temps ?
Pour Cora, une seule chose est sûre : des réponses l’attendent, hors du terrarium.
Fiche de lecture
Après avoir exploré ses Pyramides, je m’étais engagé auprès de Romain Benassaya à visiter ses Terrariums (sorti fin 2023) et de consacrer quelques lignes pour exposer mes impressions, mon ressenti. Tout d’abord, il est nécessaire de préciser que depuis deux, trois ans, je ne lis peu ou prou que des nouvelles ou des romans assez courts, privilégiant le plaisir de lecture à la réflexion sociologique et sociétale. En bref, je deviens fainéant.
Ceci étant dit, je dois avouer qu’avec Terrariums, j’ai retrouvé une fulgurance que je n’avais pas revue depuis ma formidable découverte du Jeu des Perles de Verre d’Hermann Hesse et le cycle Des Jardins Statuaires de Jacques Abeille.
Je m’explique. Terrariums fourmille d’idées, il nous oblige à la réflexion. Le monde présenté va au-delà de l’imagination simple et souvent proposée dans les accrolivres. On ne parle plus d’une invention, d’une avancée réalisable dans cent, deux cents années, mais de milliers, de millions voire de milliards d’années. On ne parle pas de voitures volantes ou autres, mais de mettre une image sur l’infini. Rien que ça.
La question qui sert de fil conducteur au roman est : quel est l’avenir de l’espèce humaine ? Vaste interrogation, vous en conviendrez.
Les sujets abordés sont nombreux donc, le transhumanisme, la mort, le clonage, l’espace-temps, les trous de ver, l’intelligence artificielle, les Robots, les peuples extraterrestres… La vie, l’univers et le reste pour reprendre Douglas Adams.
Dès les premières pages, vous êtes emporté dans un maelstrom qui vous bringuebale de tous côtés et vous n’en ressortez que dans le dernier chapitre, les cheveux droits sur la tête et avec des palpitations. Coup de chapeau à Romain Benassaya, il a dû passer des heures, des journées rien qu’à l’élaboration du plan du roman.
Un très bon moment de SF, envoûtant, mystérieux, il fait partie pour moi de ces livres qui vous trottent dans la tête bien après qu’il ait rejoint les rayonnages de votre bibliothèque.
Le seul bémol que j’apporterai tient à tout ce que je viens d’évoquer, le foisonnement d’idées, de situations font de Terrariums un livre exigeant. Si vous lisez trois pages par-ci par-là, la compréhension deviendra difficile.
Ceci étant dit, je dois avouer qu’avec Terrariums, j’ai retrouvé une fulgurance que je n’avais pas revue depuis ma formidable découverte du Jeu des Perles de Verre d’Hermann Hesse et le cycle Des Jardins Statuaires de Jacques Abeille.
Je m’explique. Terrariums fourmille d’idées, il nous oblige à la réflexion. Le monde présenté va au-delà de l’imagination simple et souvent proposée dans les accrolivres. On ne parle plus d’une invention, d’une avancée réalisable dans cent, deux cents années, mais de milliers, de millions voire de milliards d’années. On ne parle pas de voitures volantes ou autres, mais de mettre une image sur l’infini. Rien que ça.
La question qui sert de fil conducteur au roman est : quel est l’avenir de l’espèce humaine ? Vaste interrogation, vous en conviendrez.
Les sujets abordés sont nombreux donc, le transhumanisme, la mort, le clonage, l’espace-temps, les trous de ver, l’intelligence artificielle, les Robots, les peuples extraterrestres… La vie, l’univers et le reste pour reprendre Douglas Adams.
Dès les premières pages, vous êtes emporté dans un maelstrom qui vous bringuebale de tous côtés et vous n’en ressortez que dans le dernier chapitre, les cheveux droits sur la tête et avec des palpitations. Coup de chapeau à Romain Benassaya, il a dû passer des heures, des journées rien qu’à l’élaboration du plan du roman.
Un très bon moment de SF, envoûtant, mystérieux, il fait partie pour moi de ces livres qui vous trottent dans la tête bien après qu’il ait rejoint les rayonnages de votre bibliothèque.
Le seul bémol que j’apporterai tient à tout ce que je viens d’évoquer, le foisonnement d’idées, de situations font de Terrariums un livre exigeant. Si vous lisez trois pages par-ci par-là, la compréhension deviendra difficile.