
Une adolescente réalise que son nouvel ami robot, doux mais étrange, lui a en fait été envoyé par son frère disparu. Elle et le robot partent à la recherche du garçon, découvrant ainsi une vaste conspiration...
Présentation
Production Netflix à 300 millions de dollars transposée à l'écran par Netflix et les frères Russo à partir des œuvres graphiques de l'artiste suédois Simon Stålenhag, The Electric State est - sans trop de surprise - tout à fait insipide.
Comme toujours avec les produits formatés des gros studios et plateformes, on ne prend pas de risque, comme Marvel, on fait le choix d'avoir un cahier des charges rigide, une formule unique pour toujours satisfaire la masse des consommateurs. Avec Netflix, c'est un peu pareil, sauf que chaque blockbuster ira allègrement piller les références du cinéma populaire.
Et donc cet Electric State, qui bien entendu ne respecte en rien l'atmosphère de son inspiration graphique, pioche allègrement dans la version de Spielberg A.I. Intelligence artificielle, avec des clins d'œil très appuyés à E.T. L'extra-terrestre et une multitude de clichés reconnaissables sans problème.
Côté casting, Millie Bobby Brown et Chris Pratt se donnent la réplique. On s'ennuie un peu, mais pas plus qu'avec cette intrigue mollassonne faite de bric et de broc, un méchant tellement méchant.
Comme d'habitude, le film n'est pas nul, il est juste ennuyeux, vu déjà mille fois, et je me dis que des gens ne connaissant pas la puissance évocatrice des œuvres graphiques de Simon Stålenhag pourront même passer un bon moment.
Comme toujours avec les produits formatés des gros studios et plateformes, on ne prend pas de risque, comme Marvel, on fait le choix d'avoir un cahier des charges rigide, une formule unique pour toujours satisfaire la masse des consommateurs. Avec Netflix, c'est un peu pareil, sauf que chaque blockbuster ira allègrement piller les références du cinéma populaire.
Et donc cet Electric State, qui bien entendu ne respecte en rien l'atmosphère de son inspiration graphique, pioche allègrement dans la version de Spielberg A.I. Intelligence artificielle, avec des clins d'œil très appuyés à E.T. L'extra-terrestre et une multitude de clichés reconnaissables sans problème.
Côté casting, Millie Bobby Brown et Chris Pratt se donnent la réplique. On s'ennuie un peu, mais pas plus qu'avec cette intrigue mollassonne faite de bric et de broc, un méchant tellement méchant.
Comme d'habitude, le film n'est pas nul, il est juste ennuyeux, vu déjà mille fois, et je me dis que des gens ne connaissant pas la puissance évocatrice des œuvres graphiques de Simon Stålenhag pourront même passer un bon moment.