Titanium Wars @ 2013 Euphoria Games
Titanium Wars ! Il s’agit d’un jeu de Frédéric Guérard, en son temps édité par Euphoria Games. C’est un jeu de cartes dans lequel de 3 à 5 adversaires vont devoir conquérir des planètes grâce à des flottes de vaisseaux qu’ils devront constituer en dépensant à chaque tour de précieux, et bien entendu trop rares, crédits. Tout ça pour collecter le rare titanium. Voilà, c’est tout...
... oui sauf que pour conquérir une planète, il est possible de conclure des alliances, et même de faire les gros yeux (possibilité de bander les muscles, mais le ludovore moyen étant rarement adepte de la salle de muscu, mieux vaut s’en tenir aux gros yeux). Et il y a également des niveaux technologiques, demandant encore des investissements, et débloquant de fantastiques choses que l’on pourra ensuite ajouter sous forme de cartes à ses vaisseaux, personnalisant ainsi sa flotte. Les capacités du leader comptent également dans l’élaboration d’une stratégie de pose de cartes, ou pas.
Cet ensemble de petites choses offre un large choix de tactiques. Flottille de croiseurs lourdement blindés ? Nuée de chasseurs-kamikaze ? Ze big destroyer avec des lasers partout ? Et bien entendu, il y a toujours une parade à ces choix, souvent difficile à mettre en place, mais pouvant soudainement réduire celui ou celle faisant le chaud(e)-bouillant(e) à pas grand-chose.
Bon alors attention tout de même, ce n’est pas du Through the ages ! Les tactiques sont généralement efficaces quelques tours, d’autant plus qu’il faut également jouer en maximisant ses cartes Tactiques – justement – donnant, le temps d’un combat, les forces engageables et engagées. Titanium Wars reste un jeu se voulant bref, 60-90mn, et c’est un format idéal pour la bagarre spatiale.
Une extension existe, Confrontation, qui apporte de nouvelles cartes et affine encore certaines tactiques, je n’ose pas dire pour jouer plus en finesse, car ce jeu ne se prête pas aux stratégies défensives. Il faut aller chercher les planètes, et toutes les combinaisons ultimes pouvant s’annuler, il faut savoir adapter ses forces régulièrement.
Côté illustrations, nous avons toute une équipe de qualité : Caroline Hirbec, Igor Polouchine (Môssieur Shaan Renaissance), Matthieu Rebuffat, et monsieur Alexey Yakovlev. A eux quatre, ils offrent un très bel univers SF, où les planètes aux paysages paradisiaques et étranges font un grand contraste avec les design des vaisseaux et de leurs améliorations.
... oui sauf que pour conquérir une planète, il est possible de conclure des alliances, et même de faire les gros yeux (possibilité de bander les muscles, mais le ludovore moyen étant rarement adepte de la salle de muscu, mieux vaut s’en tenir aux gros yeux). Et il y a également des niveaux technologiques, demandant encore des investissements, et débloquant de fantastiques choses que l’on pourra ensuite ajouter sous forme de cartes à ses vaisseaux, personnalisant ainsi sa flotte. Les capacités du leader comptent également dans l’élaboration d’une stratégie de pose de cartes, ou pas.
Cet ensemble de petites choses offre un large choix de tactiques. Flottille de croiseurs lourdement blindés ? Nuée de chasseurs-kamikaze ? Ze big destroyer avec des lasers partout ? Et bien entendu, il y a toujours une parade à ces choix, souvent difficile à mettre en place, mais pouvant soudainement réduire celui ou celle faisant le chaud(e)-bouillant(e) à pas grand-chose.
Bon alors attention tout de même, ce n’est pas du Through the ages ! Les tactiques sont généralement efficaces quelques tours, d’autant plus qu’il faut également jouer en maximisant ses cartes Tactiques – justement – donnant, le temps d’un combat, les forces engageables et engagées. Titanium Wars reste un jeu se voulant bref, 60-90mn, et c’est un format idéal pour la bagarre spatiale.
Une extension existe, Confrontation, qui apporte de nouvelles cartes et affine encore certaines tactiques, je n’ose pas dire pour jouer plus en finesse, car ce jeu ne se prête pas aux stratégies défensives. Il faut aller chercher les planètes, et toutes les combinaisons ultimes pouvant s’annuler, il faut savoir adapter ses forces régulièrement.
Côté illustrations, nous avons toute une équipe de qualité : Caroline Hirbec, Igor Polouchine (Môssieur Shaan Renaissance), Matthieu Rebuffat, et monsieur Alexey Yakovlev. A eux quatre, ils offrent un très bel univers SF, où les planètes aux paysages paradisiaques et étranges font un grand contraste avec les design des vaisseaux et de leurs améliorations.