Notre héros sort du noir pour plonger dans l'inconnu. Et quel inconnu ! De mécanismes et de rouages, le monde autour de lui tourne comme une machinerie folle, prête à broyer les individus, sans d'autre fonction que de les trier, les ranger et les mener au terme d'un parcours implacable. Mais quel est le terme de ce parcours exactement ?
Fiche de lecture
Les premières pages de ce récit sont vraiment intrigantes, parce que l’on ne comprend pas où se trouve ce pauvre narrateur qui se réveille en cage et dans le noir en un lieu qui semble épouvantable. Cet état de fait m’avait laissé imaginer une histoire comme on en trouve dans les épisodes de La quatrième Dimension (je pensais notamment à celui avec les gens qui sont coincés au fond d’une poubelle au cœur d’une grande ville et dont le sort n’est pas enviable) et je m’en réjouissais d’avance.
Attention spoilers
Mais arrivent trop vite des indices gros comme des camions (Pollo, blanc-bec, philosophie oiseuse, …) qui permettent de comprendre de quoi il retourne et donc, qui cassent tout suspens. Du coup, la chute ne fait pas vraiment son effet. De plus, le récit est jalonné de jeux de mots parfois bien tirés par les plumes dont la subtilité me laisse perplexe, comme « l’essentiel est l’essence du ciel ».
Bref, désolée mais « cauchemar à l’abattoir », ce n’est pas mon trip. Questions de goûts, bien sûr.
Un mauvais rêve, glauque, gore et affreusement cruel, un texte qui – à mon humble avis – serait mieux adapté à un tract dénonçant les « Glaucons » qui infligent des souffrances aux animaux dans les abattoirs – acte innommable que je ne tolère pas, étant moi-même végétarienne par conviction - plutôt que dans un petit carnet d’une agence de voyages littéraires.
Attention spoilers
Mais arrivent trop vite des indices gros comme des camions (Pollo, blanc-bec, philosophie oiseuse, …) qui permettent de comprendre de quoi il retourne et donc, qui cassent tout suspens. Du coup, la chute ne fait pas vraiment son effet. De plus, le récit est jalonné de jeux de mots parfois bien tirés par les plumes dont la subtilité me laisse perplexe, comme « l’essentiel est l’essence du ciel ».
Bref, désolée mais « cauchemar à l’abattoir », ce n’est pas mon trip. Questions de goûts, bien sûr.
Un mauvais rêve, glauque, gore et affreusement cruel, un texte qui – à mon humble avis – serait mieux adapté à un tract dénonçant les « Glaucons » qui infligent des souffrances aux animaux dans les abattoirs – acte innommable que je ne tolère pas, étant moi-même végétarienne par conviction - plutôt que dans un petit carnet d’une agence de voyages littéraires.